L'Épouse Infidèle, Ma Ruine

L'Épouse Infidèle, Ma Ruine

Gavin

5.0
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Mon téléphone vibre, me tirant d'un jeu vidéo passionnant, et une nouvelle fois, c'est mon père qui m'appelle pour une urgence familiale. Puis, le choc : 50 000 euros ont disparu de notre compte joint, virés à Jean Bernard, le frère de ma femme Sophie. Une somme colossale, prélevée sans mon consentement, alors que mes propres parents ont besoin d'aide médicale, et il s'avère que ce n'est pas la première fois que Sophie dépouille nos économies pour ce parasite. Comment Sophie, ma femme, peut-elle dilapider de telles sommes, notre épargne pour une maison, pour financer les caprices de son frère, tout en me laissant croire que tout va bien ? C'en est trop. J'ai enduré des années de cet abus, mais cette fois, la corde a cassé : je démissionne, et le jeu macabre ne fait que commencer. Le lendemain, mon refus de chercher un emploi plonge Sophie, ma femme, dans la panique la plus totale, malgré ses tentatives pour me rabaisser. Devant son regard désemparé, je lui annonce que nous n'avons plus un sou, la forçant à se confronter à la réalité de nos finances. Devant son aveuglement, je lui rappelle avec une froide précision l'ampleur de ce qu'elle a jeté par les fenêtres pour son frère. L'argent ? Ce n'est qu'un détail pour elle. Mais pour moi, c'est le point de rupture. Elle doit bien comprendre que je ne suis plus le pigeon qu'elle peut plumer à sa guise, et que je n'hésiterai pas à la pousser dans ses derniers retranchements pour qu'elle comprenne la gravité de la situation. Je décide d'en finir pour de bon. Un plan audacieux se dessine : simuler ma propre ruine financière pour me débarrasser des vautours qui m'entourent, y compris ma femme. Première étape : je feins le remords, la supériorité de ma femme se renforce, la rendant plus vulnérable à mon coup monté. J'annonce à ma famille ma décision de divorce, et ils acceptent de m'aider dans mon plan machiavélique. De retour à la maison, je joue le rôle du mari repenti, offrant même un sac à main de luxe à Sophie. Je mets en scène ma "recherche d'emploi", alternant la bibliothèque et les faux entretiens, pendant que Sophie contacte d'autres banques pour obtenir le prêt qui scellera sa perte. Puis, je ramène des « gains » de prétendus investissements, et Sophie, aveuglée par l'appât du gain, se vante auprès de sa mère d'avoir le « pigeon » sous contrôle, ignorant le piège qui se referme sur elle. Le piège se referme : je simule la défaite de mon « investissement », des « usuriers » (des acteurs) frappent à la porte. Puis, dans la terreur, Sophie s' enfuit comme une lâche, abandonnant même Chloé dans son désarroi. Je contacte ma belle-mère et simule la panique, la laissant croire que je suis en fuite, ruiné et traqué, pour la convaincre de me laisser tranquille. Le moment de la vérité est proche, celui où Sophie et sa famille, devant la perspective d'une ruine partagée, seront acculées à faire leur choix. Trois jours plus tard, alors que ma mère découvre Chloé abandonnée et affamée par la famille de Sophie qui pille l'appartement, ma colère éclate, et je décide de passer à l'action. Je simule ma détresse financière, faisant croire à ma femme et à ma belle-mère que notre maison sera saisie, tout en les piégeant dans l'appartement en flagrant délit. Je leur lance un ultimatum : rembourser l'argent qu'elles m'ont volé ou partager la dette colossale que j'ai (faussement) contractée. La gifle de Sophie est le signal : le procès est terminé, le véritable combat commence. J'ai gagné : j'obtiens l'appartement, la garde de Chloé, et je force la famille de Sophie à me rembourser toutes les sommes qu'elles m'ont volées au fil des ans. Un mois plus tard, la somme est virée, le divorce est signé, et je me sens enfin libre. Je me suis séparé des vautours. La vie reprend son cours, douce et paisible, dans notre nouvel appartement. Puis l'appel : Sophie, brisée, m'implore de l'aide, seule et sans ressources. Elle a tout perdu avec son frère, Jean : leur vie dissolue a mené à la pauvreté et au vol, et leur sort pathétique n'attire que le dégoût. Je regarde le ciel bleu, main dans la main avec Chloé, qui respire enfin la joie de vivre, et je réalise que notre avenir commun est là, à portée de main.

Introduction

Mon téléphone vibre, me tirant d'un jeu vidéo passionnant, et une nouvelle fois, c'est mon père qui m'appelle pour une urgence familiale.

Puis, le choc : 50 000 euros ont disparu de notre compte joint, virés à Jean Bernard, le frère de ma femme Sophie.

Une somme colossale, prélevée sans mon consentement, alors que mes propres parents ont besoin d'aide médicale, et il s'avère que ce n'est pas la première fois que Sophie dépouille nos économies pour ce parasite.

Comment Sophie, ma femme, peut-elle dilapider de telles sommes, notre épargne pour une maison, pour financer les caprices de son frère, tout en me laissant croire que tout va bien ?

C'en est trop. J'ai enduré des années de cet abus, mais cette fois, la corde a cassé : je démissionne, et le jeu macabre ne fait que commencer.

Le lendemain, mon refus de chercher un emploi plonge Sophie, ma femme, dans la panique la plus totale, malgré ses tentatives pour me rabaisser.

Devant son regard désemparé, je lui annonce que nous n'avons plus un sou, la forçant à se confronter à la réalité de nos finances.

Devant son aveuglement, je lui rappelle avec une froide précision l'ampleur de ce qu'elle a jeté par les fenêtres pour son frère.

L'argent ? Ce n'est qu'un détail pour elle. Mais pour moi, c'est le point de rupture.

Elle doit bien comprendre que je ne suis plus le pigeon qu'elle peut plumer à sa guise, et que je n'hésiterai pas à la pousser dans ses derniers retranchements pour qu'elle comprenne la gravité de la situation.

Je décide d'en finir pour de bon.

Un plan audacieux se dessine : simuler ma propre ruine financière pour me débarrasser des vautours qui m'entourent, y compris ma femme.

Première étape : je feins le remords, la supériorité de ma femme se renforce, la rendant plus vulnérable à mon coup monté.

J'annonce à ma famille ma décision de divorce, et ils acceptent de m'aider dans mon plan machiavélique.

De retour à la maison, je joue le rôle du mari repenti, offrant même un sac à main de luxe à Sophie.

Je mets en scène ma "recherche d'emploi", alternant la bibliothèque et les faux entretiens, pendant que Sophie contacte d'autres banques pour obtenir le prêt qui scellera sa perte.

Puis, je ramène des « gains » de prétendus investissements, et Sophie, aveuglée par l'appât du gain, se vante auprès de sa mère d'avoir le « pigeon » sous contrôle, ignorant le piège qui se referme sur elle.

Le piège se referme : je simule la défaite de mon « investissement », des « usuriers » (des acteurs) frappent à la porte.

Puis, dans la terreur, Sophie s' enfuit comme une lâche, abandonnant même Chloé dans son désarroi.

Je contacte ma belle-mère et simule la panique, la laissant croire que je suis en fuite, ruiné et traqué, pour la convaincre de me laisser tranquille.

Le moment de la vérité est proche, celui où Sophie et sa famille, devant la perspective d'une ruine partagée, seront acculées à faire leur choix.

Trois jours plus tard, alors que ma mère découvre Chloé abandonnée et affamée par la famille de Sophie qui pille l'appartement, ma colère éclate, et je décide de passer à l'action.

Je simule ma détresse financière, faisant croire à ma femme et à ma belle-mère que notre maison sera saisie, tout en les piégeant dans l'appartement en flagrant délit.

Je leur lance un ultimatum : rembourser l'argent qu'elles m'ont volé ou partager la dette colossale que j'ai (faussement) contractée.

La gifle de Sophie est le signal : le procès est terminé, le véritable combat commence.

J'ai gagné : j'obtiens l'appartement, la garde de Chloé, et je force la famille de Sophie à me rembourser toutes les sommes qu'elles m'ont volées au fil des ans.

Un mois plus tard, la somme est virée, le divorce est signé, et je me sens enfin libre.

Je me suis séparé des vautours. La vie reprend son cours, douce et paisible, dans notre nouvel appartement.

Puis l'appel : Sophie, brisée, m'implore de l'aide, seule et sans ressources.

Elle a tout perdu avec son frère, Jean : leur vie dissolue a mené à la pauvreté et au vol, et leur sort pathétique n'attire que le dégoût.

Je regarde le ciel bleu, main dans la main avec Chloé, qui respire enfin la joie de vivre, et je réalise que notre avenir commun est là, à portée de main.

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