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Un Mariage de Façade, un Amour Interdit

Un Mariage de Façade, un Amour Interdit

Gavin

5.0
avis
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18
Chapitres

Le mariage de Jeanne Dubois avec Antoine Lefevre, le maréchal le plus prometteur du royaume, était l'envie de tous, une union de pouvoir et de grâce. Elle l'aimait d'un amour patient, espérant que sa froideur s'estomperait avec le temps, n' imaginant pas le secret qu' il cachait. Un jour de pluie, inquiète, elle le suivit au temple abandonné et les mots qu' elle entendit derrière l'autel brisèrent son monde : « Elle est ta femme ! Elle porte ton nom ! Et moi, que suis-je ? Je suis ta sœur aux yeux du monde, mais dans l\'ombre, je suis ton amante. » C' était Sophie, sa sœur adoptive, mais bien plus que cela. De retour au manoir, trempée et le cœur en miettes, Antoine, sans un mot sur son état, l'accusa froidement : « Sophie est malade à cause de toi. Sais-tu ce que tu as fait ? » La menace était claire : « Si un seul mot de ce que tu as entendu sort de cette maison... non seulement ta vie sera un enfer, mais celle de ta famille aussi. » Comment avait-elle pu être si aveugle ? Deux ans de dévotion, de patience, et d'efforts réduits à néant. Elle n'était qu'un paravent, un bouclier pour leur amour interdit. Le simple objet de sa douleur était une cithare, cadeau de sa mère, détruit par Sophie, et qu'Antoine méprisait devant elle. Elle décida de ne plus se taire. Au banquet d'anniversaire où il l'avait ignorée, la laissant se noyer, elle allait demander l'annulation de leur mariage, certaine qu'il ne pourrait refuser. C' était la fin d' un cauchemar et le début de sa libération.

Introduction

Le mariage de Jeanne Dubois avec Antoine Lefevre, le maréchal le plus prometteur du royaume, était l'envie de tous, une union de pouvoir et de grâce. Elle l'aimait d'un amour patient, espérant que sa froideur s'estomperait avec le temps, n' imaginant pas le secret qu' il cachait.

Un jour de pluie, inquiète, elle le suivit au temple abandonné et les mots qu' elle entendit derrière l'autel brisèrent son monde : « Elle est ta femme ! Elle porte ton nom ! Et moi, que suis-je ? Je suis ta sœur aux yeux du monde, mais dans l\'ombre, je suis ton amante. » C' était Sophie, sa sœur adoptive, mais bien plus que cela.

De retour au manoir, trempée et le cœur en miettes, Antoine, sans un mot sur son état, l'accusa froidement : « Sophie est malade à cause de toi. Sais-tu ce que tu as fait ? » La menace était claire : « Si un seul mot de ce que tu as entendu sort de cette maison... non seulement ta vie sera un enfer, mais celle de ta famille aussi. »

Comment avait-elle pu être si aveugle ? Deux ans de dévotion, de patience, et d'efforts réduits à néant. Elle n'était qu'un paravent, un bouclier pour leur amour interdit. Le simple objet de sa douleur était une cithare, cadeau de sa mère, détruit par Sophie, et qu'Antoine méprisait devant elle.

Elle décida de ne plus se taire. Au banquet d'anniversaire où il l'avait ignorée, la laissant se noyer, elle allait demander l'annulation de leur mariage, certaine qu'il ne pourrait refuser. C' était la fin d' un cauchemar et le début de sa libération.

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Pendant huit ans, j'ai vécu dans l'ombre de Jean-Luc Moreau, sacrifiant ma carrière pour devenir sa muse invisible. La nuit de nos noces, je les ai vus, lui et sa jeune nièce Camille, s'embrassant sur notre lit conjugal. « Camille... Avec Élise comme paravent, je peux enfin t'aimer librement... » J'étais un paravent, un leurre pour masquer leur relation incestueuse. Quelques jours plus tard, Camille s'est suicidée, un test de grossesse positif en main. Jean-Luc, dévasté, a retourné sa fureur contre moi dans son atelier. « Si tu ne m'avais pas harcelé pour que je t'épouse, Camille ne serait pas morte ! Tout est de ta faute ! » La première balle a frappé mon épaule, juste là où j'avais reçu le couteau pour lui autrefois. D'autres tirs ont suivi, le sang se mêlant à la peinture sous mon corps. Alors que ma vie s'échappait, je l'ai vu pointer l'arme sur sa tempe. « Camille, n'aie pas peur, ton oncle arrive... Si je renais, je ne te lâcherai plus jamais ! » Ma conscience s'est éteinte dans une brume rouge et froide. « Si je renais, je n'aimerai plus jamais Jean-Luc Moreau ! » Mes yeux se sont brusquement ouverts. La lumière familière de mon ancien appartement m'a accueillie, mon corps intact. La télévision annonçait une nouvelle qui a fait battre mon cœur. « ...le célèbre artiste peintre Jean-Luc Moreau vient d'annoncer ses fiançailles avec sa collaboratrice de longue date, l'historienne de l'art Élise Dubois. » J'étais revenue, juste avant le début du cauchemar. Cette fois, je ne serais pas sa victime. Sans la moindre hésitation, j'ai composé le numéro de Marc Dubois, le plus grand rival de Jean-Luc. « Allô, Marc Dubois. » Ma voix était ferme, débarrassée de toute trace du passé. « Monsieur Dubois, c'est Élise. Votre proposition de mariage, est-elle toujours d'actualité ? »

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Le téléphone a sonné à trois heures du matin, me tirant brutalement d'un sommeil léger. « Madame Margot ? » Une voix d'homme, grave, à l'autre bout du fil. « Votre fiancé, Monsieur Antoine Dubois, est décédé. » Le choc aurait dû me foudroyer, me jeter dans des flots de larmes et de désespoir. Mais il n'a rien eu de tout ça. Dans ma tête, ce n'était pas le chagrin qui résonnait, mais un déclic sec et précis, comme la fermeture d'un piège. Le soulagement, pur et subversif, a inondé chaque fibre de mon être. Pendant des années, j'avais porté le masque de la fiancée dévouée, planifiant sans relâche la destruction de l'homme qui avait fauché la vie de ma mère et que son père avait impunément protégé. La vengeance était mon oxygène, mon unique raison d'être. « Une tempête. Il a tenté de secourir une femme. Ils se sont noyés tous les deux. » La voix de l'officier continuait, mais mes pensées s'envolaient. Camille. Sa maîtresse. Évidemment. Il avait le chic pour s'entourer de catastrophes. Je suis restée assise dans le noir, le téléphone encore à la main, le silence rompu seulement par le cliquetis de mes projets s'ajustant. Mon plan était simple, implacable, et Antoine venait de m'en offrir le raccourci le plus spectaculaire. Au lieu des sanglots attendus, j'ai rempli une flûte du champagne le plus cher d'Antoine. Le bouchon a sauté avec un bruit joyeux. Fini. Enfin. Mais au crématorium, alors que je jubile en vendant les biens de mon défunt fiancé aux enchères, une figure improbable surgit. Une femme. Avec un enfant. Et elle se présente comme Camille, la maîtresse, présumée morte. Et ce n'est pas tout. Elle prétend que l'enfant est le fils d'Antoine. Son héritier. Un coup de théâtre qui pourrait tout anéantir. Comment cette femme, annoncée noyée, peut-elle être vivante ? Et d'où sort cet enfant ? Surtout quand je sais qu'Antoine était stérile. Je dois découvrir la vérité, et vite. Cette mascarade ne gâchera pas ma vengeance. La partie ne fait que commencer.

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Le soleil de Provence brûle ma peau, mais c' est le feu de l' injustice qui ravage mon âme. Mon mari, Marc, un vigneron passionné, est en prison, accusé d' un crime qu' il n' a pas commis. Notre domaine, notre paradis, est devenu ma prison à ciel ouvert. Delacroix, notre puissant voisin, le véritable bourreau, se pavane sur nos terres, me souriant de sa fausse sympathie alors qu' il me propose de racheter à vil prix ce qui nous a été volé. Il me voit brisée, prête à céder, comme il m' a vue pleurer et m' isoler, victime des regards accusateurs du village. Mais alors que ses mots empoisonnés résonnent, mon regard se pose sur un vieux cep de vigne, d' où s' échappe une pousse verte, tenace, défiant la sécheresse et la chaleur. Ce simple geste, s' agenouiller pour la toucher, le monde entier disparaît. C' est Marc, c' est notre espoir, c' est tout ce qu' il me reste. Mon refus silencieux le blesse à vif, sa fureur éclate et sa main frappe le piquet, manquant d' arracher ma fragile pousse. Je la protège de mon corps, sentant une force nouvelle naître en moi, une détermination froide et dure. Il ne gagnera pas. Delacroix m' entraîne de force au village, me parade comme son trophée, et me laisse humilier publiquement sous les yeux du monde, ma robe blanche souillée de vin rouge par sa propre fille, Céline. Il me crie dessus, frappant la table avec une violence qui me glace le sang, détruisant le peu de dignité qu' il me restait. Lors de sa réception, Céline me fait passer pour folle, et Delacroix me menace en approchant une flamme de mes cheveux, avant de tenter de me forcer à accepter un nouveau sabotge via notre ami Jean. « Une aide serait la bienvenue, je suppose. Un contrat pour me vendre vos raisins à un très bon prix, par exemple… il suffirait de si peu de choses pour l'obtenir. » La trahison de Jean, surprise en flagrant délit, m' anéantit, mais une vieille clé ornée me tombe de la poche, une ancre inattendue dans mon désespoir. Puis, alors que Delacroix et Céline se moquent de la chute de Jean, ma compassion me pousse à l' aider, un geste qu' il interprète comme une tentative de séduction tordue. Je n' ai plus qu' une seule réponse. Je m' agenouille devant ma vigne, et devant Delacroix et Céline, je murmure: « Ne t'inquiète pas. On va s'en sortir. Toi et moi. Je ne te laisserai jamais tomber. » Je sens son corps se raidir dans mon dos. « Tu vas arrêter ce jeu. Cette vigne… Je vais te l' arracher. Je vais tout arracher. Tu m' entends ? » Mes yeux le défient. « Touchez-la, et je vous jure que vous le regretterez toute votre vie. » La guerre est déclarée.

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Je cherchais la boîte à bijoux de ma mère dans le débarras quand mon coude a heurté une étagère. Un petit objet noir est tombé avec un bruit mat. C'était une caméra minuscule. Mon sang s'est glacé. Puis, j'en ai trouvé une autre dans le détecteur de fumée, une troisième dans un faux livre, une quatrième sous une armoire de cuisine, et la cinquième… dans notre salle de bain, juste en face de la douche. Cinq yeux. Cinq caméras me regardant vivre, respirer, dormir. Je me suis assise sur le lit, les genoux tremblants. Marc. Ça ne pouvait être que Marc. Mon mari. La porte d'entrée s'est ouverte, sa voix enjouée résonnant dans le couloir : « Sophie, entre donc, ne reste pas sur le paillasson. » Sophie. Son assistante. J'ai caché les caméras sous l'oreiller, feignant de dormir. Mon corps était raide de tension. « Elle dort encore ? » a demandé Sophie d'une voix basse et moqueuse. « Oui, la pauvre. Depuis son accident, elle est toujours fatiguée. Son corps ne s'en est jamais vraiment remis. » Mon accident. La chute stupide il y a deux ans qui m'a fait perdre mon odorat, mon don de parfumeuse. Ma carrière s'était arrêtée net ce jour-là. J'ai entendu le bruit d'un baiser, long et humide. J'ai serré les poings sous la couverture. « Tu es sûr qu'elle ne nous entend pas ? » a chuchoté Sophie. « Même si elle nous entendait, elle ne pourrait rien faire. Elle dépend entièrement de moi maintenant. Elle est comme une jolie poupée cassée, » a répondu Marc, sa voix empreinte d'un mépris à peine voilé. Un silence. Puis la voix triomphante de Sophie : « Marc, je dois te dire quelque chose. » « Quoi donc ? » « Je suis enceinte. » Le monde s'est arrêté de tourner. Chaque son, chaque souffle a disparu. Seuls ces mots, suspendus dans l'air de ma propre chambre. J'ai entendu le rire bas et satisfait de Marc : « C'est merveilleux, ma chérie. Absolument merveilleux. » « Et Camille ? » « Camille ne saura rien. Nous trouverons un moyen. Cet enfant sera mon héritier. Il aura tout. Tu auras tout. Je m'en occupe. » J'ai fermé les yeux. Pas de larmes. Juste une froideur terrible. Une certitude glaciale. L'amour n'était plus qu'une ruine. La passion, une cendre froide. Trahison. Manipulation. Surveillance. Allongée dans ce lit, cette maison devenue ma prison, j'ai pris ma décision. Je ne pleurerais pas. Je ne crierais pas. J'allais partir. Je reconstruirais ma vie, loin de ce mensonge. Et avant de partir, je m'assurerais qu'il paierait pour chaque seconde de cette mascarade. Mon cerveau, autrefois embrumé par la tristesse, s'est éclairci. J'ai ouvert discrètement mon téléphone, activé le mode de navigation privée. J'ai cherché des offres d'emploi pour des parfumeurs. À l'étranger. Le plus loin possible. Le premier pas était fait.

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Cela faisait trois ans que mon mariage avec Alan était une coquille vide, une pièce glaciale où le silence régnait en maître, tandis que je m'accrochais à l'idée qu'il était simplement "réservé" ou "sous pression". Puis j'ai surpris une conversation glaçante : Alan avouant son amour éternel à ma "meilleure amie" Juliette, sa sœur adoptive, la même qui avait méticuleusement orchestré notre mariage pour masquer leur liaison. Le choc fut brutal, suivi d'une série d'humiliations : contrainte de donner mon sang pour sauver Juliette sur l'insistance d'Alan, il a ensuite accepté, sans la moindre hésitation ni désir, d'honorer nos "devoirs conjugaux" comme un vulgaire marché. Il a signé nos papiers de divorce à la va-vite, pressé de rejoindre Juliette, et m'a abandonnée à ma mort imminente lors d'une réaction allergique, ne se souciant que de la sécurité de sa maîtresse. Chaque fois, c'était elle qu'il choisissait, elle qu'il protégeait, elle qu'il consolait, me laissant seule face à la douleur et à l'indifférence. Comment avais-je pu être si aveugle ? Comment ma meilleure amie pouvait-elle être une manipulatrice aussi cruelle ? La trahison me dévorait, et une question lancinante me brûlait l'esprit : après tant de sacrifices, pourquoi étais-je si insignifiante à leurs yeux ? Mon cœur brisé, mais l'esprit enfin clair, j'ai pris ma décision. Aidée par mon frère Robert - qui m'a révélé un amour pur, si différent de ce que j'avais connu -, j'ai entrepris ma libération. Et lorsque Alan, manipulé une dernière fois par Juliette, a tenté de me reconquérir, il a trouvé face à lui une femme résolue, prête à embrasser un avenir loin de leur toxicité.

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