Sept ans d'un mariage vide. Sept ans passés à être le "mari de façade", celui qu'on laisse à la maison pendant que ma femme, Juliette, s'envole chaque année avec son premier amour, Alan, pour des "voyages d'inspiration". Le septième cadeau, un atelier de parfumerie, était une nouvelle insulte à notre septième anniversaire de mariage, alors qu'elle s'apprêtait à me mentir encore une fois sur sa destination. Ce n'était plus de la douleur, mais un vide immense quand Alan, son éternel amant, est venu me narguer, brandissant une photo de Juliette et lui, joyeux, alors que j'étais seul à l'hôpital. Il m'a dit que je n'étais qu'un "lot de consolation", qu'elle le choisirait toujours, un constat que j'ai longtemps refusé mais qui résonnait désormais avec une cruelle vérité. Mais cette fois, Joseph le "paysan adopté", l'homme qui se sentait redevable et le digne héritier d'une lignée de parfumeurs, a refusé de jouer le rôle. Alors qu'elle paniquait de ne plus avoir de mes nouvelles, j'ai décroché le téléphone dans le train, ma voie calme, et j'ai dit : "C'est fini. La dette est payée." Comment une femme peut-elle piétiner sept ans de mon amour par culpabilité, et comment puis-je enfin me libérer de cette prison dorée ? Mon véritable voyage ne faisait que commencer.
Sept ans d'un mariage vide.
Sept ans passés à être le "mari de façade", celui qu'on laisse à la maison pendant que ma femme, Juliette, s'envole chaque année avec son premier amour, Alan, pour des "voyages d'inspiration".
Le septième cadeau, un atelier de parfumerie, était une nouvelle insulte à notre septième anniversaire de mariage, alors qu'elle s'apprêtait à me mentir encore une fois sur sa destination.
Ce n'était plus de la douleur, mais un vide immense quand Alan, son éternel amant, est venu me narguer, brandissant une photo de Juliette et lui, joyeux, alors que j'étais seul à l'hôpital.
Il m'a dit que je n'étais qu'un "lot de consolation", qu'elle le choisirait toujours, un constat que j'ai longtemps refusé mais qui résonnait désormais avec une cruelle vérité.
Mais cette fois, Joseph le "paysan adopté", l'homme qui se sentait redevable et le digne héritier d'une lignée de parfumeurs, a refusé de jouer le rôle.
Alors qu'elle paniquait de ne plus avoir de mes nouvelles, j'ai décroché le téléphone dans le train, ma voie calme, et j'ai dit : "C'est fini. La dette est payée."
Comment une femme peut-elle piétiner sept ans de mon amour par culpabilité, et comment puis-je enfin me libérer de cette prison dorée ?
Mon véritable voyage ne faisait que commencer.
Autres livres par Gavin
Voir plus