Il était 3h07 du matin lorsque je me suis réveillée, après ce qui semblait être une soirée raclette tout à fait normale entre colocataires. Le silence étrange de l'appartement m'a tout de suite frappée, remplacé par une odeur douceâtre et métallique. Puis, je les ai vues : mes cinq colocataires gisaient sans vie dans le salon, mortes. Calmement, j'ai appelé la police, me croyant la seule survivante d'une tragédie inexplicable. Mais rapidement, les policiers m'ont désignée comme la suspecte numéro un. Les portes et fenêtres étaient verrouillées de l'intérieur, aucune effraction. Le comble de l'horreur ? Un enregistrement sur le téléphone d'une victime, où j'entends leurs cris de terreur, appelant mon nom avec désespoir juste avant leur mort. Elles avaient peur de moi. Malgré mes souvenirs d'une nuit de sommeil paisible, une colère froide monte en moi quand je découvre les messages de mes colocataires : des mois de harcèlement, de mépris et de moqueries cachées dans un groupe dont j'ignorais l'existence, culminant avec un message d'Ella, la veille du drame, se moquant de moi et planifiant de s'amuser "une fois que j'irai me coucher". Le médecin légiste révèle alors une vérité glaçante : Darlene, l'une d'entre elles, était morte des heures avant les autres, tenant un mot troublant : "Elle n'est pas elle". Mon carnet de croquis révèle une note manuscrite, datée de la veille du meurtre : "Ce n'est pas une fin, c'est une libération." Et un mystérieux message sur mon portable m'interroge : "Elle n'est pas elle. As-tu oublié ce qui s'est passé après cette dépression hivernale ?" Les dossiers médicaux confirment que j'ai été hospitalisée des mois en clinique psychiatrique pour des "épisodes dissociatifs", et une séance enregistrée me montre une voix froide, la mienne, déclarant vouloir le silence en "les faisant taire". La preuve ultime vient d' une caméra de surveillance, me filmant en pyjama, mon sweat à capuche imprégné de poison ayant été retrouvé dans une poubelle, en train de regarder les corps à travers le judas de ma porte, avec un sourire terrifiant et inconnu sur le visage. Qui est cette "autre" qui vit en moi ?
Il était 3h07 du matin lorsque je me suis réveillée, après ce qui semblait être une soirée raclette tout à fait normale entre colocataires.
Le silence étrange de l'appartement m'a tout de suite frappée, remplacé par une odeur douceâtre et métallique.
Puis, je les ai vues : mes cinq colocataires gisaient sans vie dans le salon, mortes.
Calmement, j'ai appelé la police, me croyant la seule survivante d'une tragédie inexplicable.
Mais rapidement, les policiers m'ont désignée comme la suspecte numéro un.
Les portes et fenêtres étaient verrouillées de l'intérieur, aucune effraction.
Le comble de l'horreur ? Un enregistrement sur le téléphone d'une victime, où j'entends leurs cris de terreur, appelant mon nom avec désespoir juste avant leur mort.
Elles avaient peur de moi.
Malgré mes souvenirs d'une nuit de sommeil paisible, une colère froide monte en moi quand je découvre les messages de mes colocataires : des mois de harcèlement, de mépris et de moqueries cachées dans un groupe dont j'ignorais l'existence, culminant avec un message d'Ella, la veille du drame, se moquant de moi et planifiant de s'amuser "une fois que j'irai me coucher".
Le médecin légiste révèle alors une vérité glaçante : Darlene, l'une d'entre elles, était morte des heures avant les autres, tenant un mot troublant : "Elle n'est pas elle".
Mon carnet de croquis révèle une note manuscrite, datée de la veille du meurtre : "Ce n'est pas une fin, c'est une libération."
Et un mystérieux message sur mon portable m'interroge : "Elle n'est pas elle. As-tu oublié ce qui s'est passé après cette dépression hivernale ?"
Les dossiers médicaux confirment que j'ai été hospitalisée des mois en clinique psychiatrique pour des "épisodes dissociatifs", et une séance enregistrée me montre une voix froide, la mienne, déclarant vouloir le silence en "les faisant taire".
La preuve ultime vient d' une caméra de surveillance, me filmant en pyjama, mon sweat à capuche imprégné de poison ayant été retrouvé dans une poubelle, en train de regarder les corps à travers le judas de ma porte, avec un sourire terrifiant et inconnu sur le visage.
Qui est cette "autre" qui vit en moi ?
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