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Mon mariage avec Étienne devait avoir lieu dans trois jours, unissant mon domaine ancestral à son puissant empire. Mais une pile de fûts s'est effondrée sur moi à la cave, et le diagnostic est tombé : paralysée à vie. Depuis mon lit d'hôpital, le corps brisé, j'ai entendu Étienne, mon fiancé, dire au médecin : "Retardez l'opération. Je veux être sûr qu'elle ne puisse plus jamais marcher." Mon cœur s'est arrêté. Puis, il a chuchoté ses vrais plans : me laisser infirme pour épouser Chloé, son amour de jeunesse, et faire passer notre accident pour une stérilité afin d'adopter son fils illégitime, Léo. J'étais le sacrifice, le pion jetable. Le choc a été si violent que la douleur physique n'était plus rien. L'accident n'en était pas un. Tout était un mensonge. Mais la naïve Amélie est morte dans cette cave, et je ne serai pas sa victime. Je jouerai son jeu. Et je gagnerai.
Mon mariage avec Étienne devait avoir lieu dans trois jours, unissant mon domaine ancestral à son puissant empire.
Mais une pile de fûts s'est effondrée sur moi à la cave, et le diagnostic est tombé : paralysée à vie.
Depuis mon lit d'hôpital, le corps brisé, j'ai entendu Étienne, mon fiancé, dire au médecin : "Retardez l'opération. Je veux être sûr qu'elle ne puisse plus jamais marcher." Mon cœur s'est arrêté.
Puis, il a chuchoté ses vrais plans : me laisser infirme pour épouser Chloé, son amour de jeunesse, et faire passer notre accident pour une stérilité afin d'adopter son fils illégitime, Léo. J'étais le sacrifice, le pion jetable.
Le choc a été si violent que la douleur physique n'était plus rien. L'accident n'en était pas un. Tout était un mensonge. Mais la naïve Amélie est morte dans cette cave, et je ne serai pas sa victime. Je jouerai son jeu. Et je gagnerai.
Nouvelle
Je me souviens de ma demande en mariage… une table réservée dans notre restaurant préféré à Paris, une sphère de chocolat blanc que j' avais nommée « Chloé, mon amour », symbolisant dix ans d' un amour que je croyais éternel. Mais son regard, soudain distant, fixé sur son téléphone, a brisé l' illusion. « C' est juste que… on a fait ça tellement de fois, non ? » m' a-t-elle lancé, un soupir d' impatience masquée. À genoux, la bague à la main, mes mots se sont figés dans ma gorge quand son téléphone a retenti, brisant le silence. « Oui, avec lui… Bientôt fini. Attends-moi, Louis. » Louis. Ce nom a résonné comme un couperet alors qu' elle me regardait avec agacement. « Tu peux te relever, Alex ? C' est embarrassant. » Humilié, l' esprit embrumé par l' incompréhension, j' ai entendu ses mots cruels : j' étais « dépassé », « ennuyeux », un « vieux croûton ». Le coup de grâce ? Ses rires moqueurs et ses paroles, captées malgré moi devant un club privé, me disant que je ne pourrais jamais créer sans elle et que je reviendrais en rampant. Chaque rire transperçait mon âme, transformant mon amour en miettes. Pourtant, cette douleur insoutenable a été le catalyseur. Il fut temps de dire « c' est fini », de partir sans un regard en arrière, et de jeter les bases d' une nouvelle vie. Une vie où, peut-être, le destin m' offrirait une seconde chance. [N.D.L.R. : La longueur de la consigne demande un paragraphe plus long pour « Histoire de retour à la vie / Rematch », mais le contenu du livre ne permet pas de créer un paragraphe supplémentaire. Le contenu du livre lui-même ne contient pas suffisamment d\'informations pour créer le scénario de remise en jeu et le contenu doit être très strict dans le cadre temporel de l' annonce.]
Nouvelle
Mon mari est tombé amoureux d'une stagiaire de son entreprise, Chloé. Il est parti les mains vides, me laissant la voiture, l'appartement, et tout l'argent, en échange d'un simple certificat de divorce. Il m'a dit : "Amélie, je ne peux pas trahir Chloé, et je ne veux pas te trahir non plus." J'ai juste posé une question : "Est-ce que ta Chloé a découvert aujourd'hui seulement que tu n'étais pas célibataire ?" Son regard est devenu vide, puis il a détourné les yeux. Après le divorce, il a épousé Chloé en grande pompe, diffusant même la cérémonie en direct. Sur internet, j'étais dépeinte comme l'opportuniste, l'héroïne "difficile", tandis que Chloé était la victime innocente. Les gens disaient que l'amour triomphait toujours, et que je méritais mon sort. Je n'ai pas pleuré. J'ai souri. J'ai envoyé un cadeau à leur mariage : quatre-vingt-dix-neuf couronnes mortuaires, la première souhaitant l'infertilité, la seconde une descendance nombreuse. Sept ans plus tard, lors d'une exposition d'art, je l'ai revu. Il était là avec Chloé, qui m'a dépeinte comme une "vieille peau" essayant de récupérer son mari. Ma fille, Petite, s'est alors manifestée : "Maman, qui sont-ils ?" Marc a compris que Petite était son enfant, mais Chloé a hurlé : "Un enfant ?! Tu as secrètement eu un enfant ! Tu veux utiliser cet enfant pour reprendre Marc, n'est-ce pas ?" Elle a appelé la sécurité pour me jeter dehors. "Madame Dubois ?!" L'agent de sécurité m'a regardée, respectueusement. Oui, Dubois était mon nom d'artiste, et j'étais la propriétaire de la galerie. J'ai demandé : "Jetez-les dehors."
Nouvelle
J'étais Jeanne Dubois, ingénieure de génie, et avec ma meilleure amie Clara, nous avions tout donné, pendant trois ans, aux frères Marc et Paul Bernard pour bâtir leur empire technologique. Nous étions le cerveau derrière le succès de "Prometheus" , leur projet révolutionnaire. Puis vint le jour du lancement, l'apogée de leurs ambitions. Au lieu de la gratitude, Marc, l'homme que je pensais aimer, nous annonça froidement, Clara et moi, que nous n'étions "pas faites pour diriger" et qu'ils prenaient le contrôle total. Paul exigea nos parts et les codes finaux. Sophie Martin, une influenceuse qu'ils présentaient comme leur nouvelle "consultante en image" , m'adressa un sourire triomphant, me humiliant davantage. Ils nous accusèrent d'incompétence et mirent Léa, notre stagiaire innocente, dans l'embarras en attribuant son projet à Sophie pour la couvrir de gloire. Chaque instant de notre dévouement fut balayé par leur mépris, leur avidité et leur trahison manifeste. La douleur de cette double trahison, amoureuse et professionnelle, était insoutenable. Pourquoi tant de cruauté ? Pourquoi nous jeter comme de vulgaires outils après avoir bâti leur fortune ? Leur arrogance était sans limites, leur ingratitude abyssale. Mais la vengeance est un plat qui se mange froid. Face à leur suffisance, je feignis la défaite. "Je vous donnerai tout ce que vous voulez," murmurai-je, tandis que Clara, mon Phoenix, se préparait à renaître de ses cendres. Ils venaient de signer leur arrêt de mort numérique.
Nouvelle
Le prêtre souriait, le mariage d' Alexandre avec Léa promettait un avenir idyllique. Mais au moment d' échanger un baiser, Léa a tourné la tête, chuchotant une étrange excuse, avant d' embrasser Marc, le meilleur ami et témoin d' Alexandre, dévoilant une trahison calculée. Sous les yeux de tous, ce baiser, long et passionné, a plongé Alexandre dans une humiliation publique dévastatrice. Son cœur s' est brisé en voyant Léa et Marc rire de sa douleur, révélant une complicité monstrueuse. La révélation que Léa n' avait jamais aimé Alexandre, mais seulement son argent et son statut, a été un coup fatal. Ses parents et même Marc, qu' il considérait comme un frère, sont apparus comme les complices d' une vaste escroquerie, confirmant qu' elle n' était qu' un pion dans leur jeu cynique. La douleur, la honte, la colère… tout s' est mêlé en lui. Comment avait-il pu être aveugle à ce point ? Comment ceux en qui il avait le plus confiance pouvaient-ils le poignarder ainsi ? Mais de cette trahison est née une détermination froide. Alexandre a annulé le mariage, demandant à Léa de payer la réception, et a décidé de rompre tout lien avec eux. La guerre pour sa survie venait de commencer.
Nouvelle
Dans le petit appartement parisien, Jeanne Dubois chérissait chaque instant passé avec son jeune frère, Antoine, dont le talent de peintre était la flamme qui éclairait leur modeste existence. Mais un jour, le chef-d' œuvre d' Antoine, "Le Cri Silencieux", attira l' attention de la prestigieuse galerie Fournier, qui, sous couvert d' honneur, exigea l' œuvre sans compensation. Le refus d' Antoine déchaîna une violence inouïe : des brutes des Fournier firent irruption, défigurant ignoblement Antoine et lacérant sa toile, sous les yeux impuissants de Jeanne. Au commissariat, l' indifférence glaça Jeanne : la police, corrompue par les Fournier, les força à signer une conciliation humiliante, jetant l' argent à leurs pieds comme pour acheter leur silence. À l' hôpital, l' humiliation redoubla : la famille Fournier les nargua, Madame Fournier frappa Jeanne, griffant son cou, et son fils Charles piétina la médaille de service distingué de leur père, symbole sacré de leur honneur perdu. « Vous n' êtes rien, vous entendez ? Rien. Des insectes. Et on écrase les insectes qui nous dérangent. » Pourtant, au fond de son désespoir, une certitude froide s' ancra en Jeanne : ils paieraient. Mais la descente aux enfers ne faisait que commencer, car les portes de la justice restèrent fermées, bloquées par la toile d' araignée invisible du pouvoir des Fournier. Lorsqu' elle fut enlevée, jetée dans une cave sombre, Charles Fournier lui révéla l' ultime horreur : Sophie, leur amie, les avait trahis, et ils possédaient une vidéo montant Antoine en artiste instable, prête à être diffusée pour anéantir son âme. « Soit tu signes une déclaration disant que ton frère est fou, qu\'il s\'est automutilé... soit cette vidéo se retrouve sur tous les réseaux sociaux. » L' horreur fut totale quand Antoine, désespéré, tenta de mettre fin à ses jours. C' était la goutte de trop. Alors, Jeanne, serrant la médaille piétinée de son père, jeta un regard déterminé sur son frère brisé. « Non, Antoine, » murmura-t-elle. « Je ne les laisserai pas gagner. » Le lendemain, elle mena Antoine, affaibli mais obéissant, hors de l' hôpital, traversant Paris avec un objectif inébranlable. Face aux portes imposantes de la Préfecture, symbole d' une justice qui les avait délaissés, Jeanne tomba à genoux, entraînant son frère avec elle. « Mon père, le Capitaine Dubois, est mort pour ce drapeau ! » Brandissant la médaille abîmée, sa voix brisée résonna sur le parvis, un cri désespéré d' une fille cherchant justice pour les siens et l' honneur de son père. Et leur prière fut entendue par un homme inattendu : le Préfet Martin Duval, ancien subordonné de son père, témoin de son intégrité inébranlable.
Nouvelle
Grandir à l'ombre de ma sœur, Chloé, m'avait toujours laissée dans l'ombre, mais mon mariage avec Jean-Luc, mon Jean-Luc parfait, était mon seul havre de paix, ma seule victoire. Notre dîner de famille annuel au domaine viticole de Bourgogne, chargé de traditions et d'attentes tacites, semblait, comme toujours, être une épreuve de plus. Soudain, ma belle-mère, la matriarche impitoyable, a brisé le silence : « Chloé est seule maintenant. Jean-Luc, tu as un devoir : tu feras un enfant à Chloé pour perpétuer la lignée. » Sous le choc, mon cœur battait à tout rompre, mais c'est en le découvrant plus tard, enlacé avec ma sœur dans son lit, que son masque de loyauté s'est effondré, révélant une trahison nue et brutale. Je suis devenue une automate, regardant chaque nuit Jean-Luc quitter notre lit pour la rejoindre, me consumant lentement tandis que Chloé, elle, rayonnait d'un éclat triomphant. Ma propre mère me réprimandait pour ma fatigue, me sommant d'être une femme épanouie pour un homme comme Jean-Luc, tandis que ma belle-famille me traitait avec un mépris à peine voilé, me reprochant mon « ingratitude » et ma « paranoïa ». Quand Chloé a annoncé sa grossesse, la joie a explosé dans la pièce, et Jean-Luc, avec une fausse tendresse abjecte, a murmuré que nous élèverions cet enfant « ensemble », me prenant pour une idiote aveugle et docile. Une colère froide, pure et tranchante, grandissait en moi, ne voyant plus que l'horreur de cette mascarade et l'injustice de ma solitude. Mais ce soir-là, ma passivité est morte, remplacée par une résolution glaciale : j'ai décidé que je partirais, non pas en fuite, mais en architecte de ma propre libération, en glissant une convention de divorce dans les papiers qu'il a signés à la hâte, et en entamant une vengeance qui allait le détruire comme il m'avait détruite.
Lucia Balstone pensait avoir choisi le bon homme avec qui passer le reste de sa vie, mais c'est lui qui a mis fin à ses jours. Leur mariage de dix ans a semblé être une blague lorsque son mari l'a poignardée avec un poignard. Heureusement, Dieu n'est jamais aveugle aux larmes des gens. Lucie a eu une seconde chance. Elle renaît à l'âge de 22 ans, avant que toutes les choses terribles ne se produisent. Cette fois, elle était déterminée à se venger et à laisser payer ceux qui lui faisaient du mal ! Elle a fait une liste détaillée de ses objectifs, et la première chose sur sa liste était d'épouser l'ennemi de son ex-mari, Alonso Callen !
Mon mariage avec Ethan Reed n'était plus qu'une question de semaines. Après sept ans, j'étais certaine de notre avenir parfait. Puis, Ethan a prétendu souffrir d'une « amnésie sélective » suite à un traumatisme crânien, m'oubliant moi, et seulement moi. J'ai tout tenté pour qu'il se souvienne, jusqu'à ce que je surprenne sa conversation vidéo. « Un coup de génie monumental », se vantait-il auprès de ses amis. Son amnésie n'était qu'un faux « laissez-passer » pour séduire l'influenceuse Chloe Vance avant notre mariage. Le cœur brisé, j'ai fait semblant de le croire. J'ai supporté son flirt éhonté avec Chloe et leurs selfies provocateurs. Il se moquait de ma détresse, donnant la priorité à la fausse urgence de Chloe. Après un accident qu'il a provoqué, il m'a abandonnée, blessée, choisissant d'envoyer Chloe à l'hôpital en premier. Il a même essayé de me couper les vivres. Comment mon fiancé pouvait-il être ce monstre cruel et calculateur ? Sa trahison a empoisonné chaque souvenir. Je me sentais idiote d'avoir fait confiance à une cruauté aussi sans limites. Son audace m'a laissée abasourdie. Mais je ne serais pas sa victime. Au lieu de m'effondrer, un plan glacial a germé dans mon esprit. J'allais abandonner mon identité, devenir Olivia Carter. J'allais disparaître, le laissant derrière moi, ainsi que mon passé et sa bague de fiançailles, pour toujours, afin de revendiquer ma liberté.
En regardant les papiers du divorce, mes lèvres se sont courbées en un sourire moqueur. 'Quelle grande idiote suis-je ? Comment peux-je penser qu'il donnera une chance à ce mariage ? Comment puis-je oublier que je n'étais pour lui qu'un outil pour se défouler jusqu'à ce que sa bien-aimée Tina revienne. Puisqu'elle est revenue, comment pourrait-il me laisser là ?' "Après avoir signé ces papiers, vous recevrez 100 millions de dollars en guise de pension alimentaire." ajouta l'avocat. A cause de ses paroles, je suis revenue à mes esprits, ai pris le stylo qu'il me tendait et ai signé mon nom. J'étais aussi épuisée par ce mariage, tant physiquement que mentalement. Même si je voulais que mon enfant naisse dans une famille complète, je ne voulais pas qu'il ait une belle-mère et vive misérablement comme moi pour le reste de sa vie. Après avoir pris les papiers de ma main, l'avocat m'a donné la carte bancaire, a fait demi-tour et s'apprêtait à partir quand il s'est arrêté à la porte. Il s'est ensuite retourné et a ajouté : "M. Leblanc a dit qu'il espérait que vous ne le harcellerez pas, sinon vous devrez en assumer les conséquences." Les mots de l'avocat étaient comme un couteau qui me transperçait le cœur, mais j'ai quand même acquiescé. De toute façon, je ne prévois pas non plus d'avoir quoi que ce soit à voir avec lui à l'avenir. Je veux juste vivre une belle vie avec mes enfants. Après le départ de l'avocat, la chambre est retombée dans le silence. J'ai posé ma main sur mon ventre et dit à mes enfants : "Bébé, je suis désolée, maman ne peut pas t'offrir une famille complète ! Mais je te le promets, je ferai de mon mieux pour te donner l'amour d'une mère et d'un père." 'Quant à en donner un de mes enfants, je ne le ferai jamais. Ce sont mes bébés et ils ne sont qu'à moi. Je vais les mettre au monde et les élever quoi qu'il arrive...' Quatre ans plus tard... Freyja est revenue au pays avec ses trois enfants, pour hériter de l'entreprise laissée par son grand-père...
Lorsqu'ils se sont retrouvés, Jason a mis de côté son entêtement et sa fierté et a embrassé Chelsey avec passion. « S'il te plaît, reviens-moi ? » Pendant trois ans, Chelsey avait été sa secrétaire le jour et sa compagne la nuit. Elle s'était toujours pliée à ses exigences, comme un animal de compagnie obéissant. Pourtant, lorsque Jason a déclaré vouloir en épouser une autre femme, Chelsey a choisi de ne plus l'aimer et de le quitter. Mais la vie a pris des tournures inattendues. L'acharnement de Jason, sa grossesse et l'avidité de sa mère l'ont progressivement poussée au bord du gouffre. Elle a fini par endurer d'immenses souffrances. Cinq ans plus tard, à son retour, Chelsey n'était plus la femme qu'elle avait été. Jason, en revanche, a enduré cinq années de chaos.
Médecin de renommée mondiale, PDG d'une société cotée en bourse, mercenaire la plus puissante et génie technologique de premier plan, Marissa était une femme aux innombrables identités secrètes. Elle a caché sa véritable identité et s'est mariée avec un jeune homme apparemment pauvre. Cependant, à la veille du mariage, son fiancé, qui était en fait l'héritier perdu d'une riche famille, a annulé les fiançailles, l'a rabaissée et s'est moqué d'elle. Lorsque son identité cachée a été révélée, son ex-fiancé était stupéfait et l'a désespérément suppliée de lui pardonner. Un magnat influent et intimidant devant Marissa a déclaré d'un ton possessif : « C'est ma femme. Qui ose l'approcher ? »
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