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Humiliée, Mais Pas Brisée

Humiliée, Mais Pas Brisée

Gavin

5.0
avis
37
Vues
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Chapitres

Julien, mon ex-petit ami, vient de décrocher le Prix Pritzker, auréolé de gloire sous les projecteurs, tandis que mon unique rein, sept ans après notre séparation, me lâche silencieusement dans ma chambre de bonne, annonçant l'inéluctable et coûteuse dialyse ou la mort. C'est au moment où la France entière célébrait son triomphe en direct, qu'un appel désespéré m'a contrainte à lui demander de l'argent, les 20 000 euros nécessaires pour démarrer mes traitements vitaux. Sa réponse fut un virement bancaire estampillé "Pitié", prélude à des humiliations publiques croissantes orchestrées par lui et sa redoutable nouvelle compagne, culminant le soir où, pour un sac de luxe et devant une foule avide, Julien m'a forcée à ingurgiter une bouteille de vodka, un poison capable de condamner un rein déjà défaillant. Comment expliquer que, face à tant de mépris et d'accusations de "sangsue", ma seule vérité – celle d'un sacrifice inouï, le don de mon propre rein il y a sept ans pour lui sauver la vie, une vérité que j'avais tue pour le protéger de la culpabilité – restait prisonnière de mes lèvres, me condamnant à souffrir en silence sans qu'il ne se doute de rien? C'est sous ce regard glacial, alors que ma vie s'échappait entre ses mains, que la voix déchirée de ma meilleure amie a fendu le silence de la foule, hurlant la vérité choquante : « C' est son rein qui te maintient en vie, imbécile ! » – un cri qui allait non seulement révéler le secret de mon sacrifice, mais aussi faire basculer irrévocablement son monde et le mien.

Introduction

Julien, mon ex-petit ami, vient de décrocher le Prix Pritzker, auréolé de gloire sous les projecteurs, tandis que mon unique rein, sept ans après notre séparation, me lâche silencieusement dans ma chambre de bonne, annonçant l'inéluctable et coûteuse dialyse ou la mort.

C'est au moment où la France entière célébrait son triomphe en direct, qu'un appel désespéré m'a contrainte à lui demander de l'argent, les 20 000 euros nécessaires pour démarrer mes traitements vitaux.

Sa réponse fut un virement bancaire estampillé "Pitié", prélude à des humiliations publiques croissantes orchestrées par lui et sa redoutable nouvelle compagne, culminant le soir où, pour un sac de luxe et devant une foule avide, Julien m'a forcée à ingurgiter une bouteille de vodka, un poison capable de condamner un rein déjà défaillant.

Comment expliquer que, face à tant de mépris et d'accusations de "sangsue", ma seule vérité – celle d'un sacrifice inouï, le don de mon propre rein il y a sept ans pour lui sauver la vie, une vérité que j'avais tue pour le protéger de la culpabilité – restait prisonnière de mes lèvres, me condamnant à souffrir en silence sans qu'il ne se doute de rien?

C'est sous ce regard glacial, alors que ma vie s'échappait entre ses mains, que la voix déchirée de ma meilleure amie a fendu le silence de la foule, hurlant la vérité choquante : « C' est son rein qui te maintient en vie, imbécile ! » – un cri qui allait non seulement révéler le secret de mon sacrifice, mais aussi faire basculer irrévocablement son monde et le mien.

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Le rapport médical dans ma main tremblait légèrement. Les mots noirs dansaient devant mes yeux : une maladie sexuellement transmissible, incurable, agressive. Le nom de Jean-Luc Moreau, mon fiancé, était là, en haut, mais je savais, avec une certitude terrifiante, que ce poison venait de Sophie Laurent, ma meilleure amie. J'étais devant la porte de l'appartement que Jean-Luc et moi devions partager. Des rires, des murmures, des soupirs qui n'étaient pas les miens. Dans ma vie précédente, j'aurais défoncé cette porte, brandi ce rapport. J' aurais crié ma trahison au monde. Et je l'avais fait. Le souvenir était une cicatrice brûlante. Sophie, humiliée, avait fui, heurtée de plein fouet par une voiture. Morte sur le coup. Jean-Luc ne m'avait jamais pardonné. À ses yeux, j'étais une meurtrière. Son amour pour Sophie s'était transformé en haine. Il avait maintenu notre mariage, un piège cruel. Le jour de nos noces, dans la chambre d'hôtel, il m'avait livrée à une bande d'hommes, filmant tout, un sourire de vengeance sur son visage. La torture avait duré des jours. Mais le destin m'avait donné une seconde chance. Je m'étais réveillée quelques mois plus tôt, le jour même où je devais recevoir les résultats de l'enquête que j'avais commandée sur Jean-Luc, soupçonnant déjà son infidélité. Cette fois, je ne défoncerai pas la porte. Je ne crierai pas. Je ne sauverai personne de son propre poison. Ma main, ne tremblant plus, tourna doucement la clé. La porte s'entrouvrit sans un bruit. Sur le canapé, Jean-Luc et Sophie étaient enlacés. « Tu es sûr que ça va ? » demanda Jean-Luc, sa voix pleine d'une tendresse que je ne lui avais jamais connue. « Tu as l'air si fatiguée ces derniers temps. » Sophie se blottit. « Ce n'est rien, mon amour. » « Juste un petit virus, le médecin a dit que ça passerait avec du repos. » Un petit virus. Mon regard dériva vers le croquis de ma robe de mariée sur la table basse. La nausée m'envahit. Je reculai doucement, refermant la porte avec une précision de chirurgien. Puis, mon père. Il me serra dans ses bras. « Papa, » ai-je sangloté. « C'est fini. » « Je ne l'épouserai pas. » « Je sais, Amélie. » « Comment... ? » « Moi aussi, Amélie. » « Je me souviens de tout. » Le sol se déroba. Ce n'était plus ma vengeance. C'était la nôtre. Une nouvelle force, froide et puissante, s'installa en moi.

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À vingt ans, le poids des dettes familiales m'étouffait, me poussant vers un mariage arrangé censé nous sauver de la ruine. J'ai choisi son nom, Antoine Lefèvre, l'homme que j'aimais éperdument, mais notre mariage est devenu mon pire cauchemar. Enceinte, à l'agonie sur ma couche, j'ai vu Antoine éventrer mon ventre, écraser notre nouveau-né, avant de siffler : "Tout ça, c'est de ta faute. Colette ne se serait jamais réfugiée à la campagne. Des vagabonds l'ont agressée là-bas. C'est toi qui l'as mise en danger !" Quatre heures d'horreur, trahie, agonisant seule, tandis qu'il préparait les funérailles grandioses de sa maîtresse, me jetant, moi, à la fosse commune, oubliée de tous, sauf d'un homme. Cet homme, Henri de Montaigne, a recueilli mon corps, a vengé ma mort avant de se donner la sienne sur ma tombe ; aujourd'hui, j'ai rouvert les yeux, et cette fois, le sort n'aura pas le dernier mot. Cette fois, je ne manipulerai pas le tirage au sort, je ne ferai pas le même choix. Cette fois, je m'agenouille devant mon père et je n'ai qu'une seule demande : "Père, je vous en supplie, arrangez mon mariage avec Henri de Montaigne." Alors que je pensais mon destin enfin scellé, le passé m'attendait au détour d'une ruelle, Antoine et Colette. Elle s'effondre, simule, m'accuse d'avoir brisé la jambe de son frère, tout en me dénigrant à voix haute : "Madame, si je vous ai offensée en quoi que ce soit, vous pouvez me frapper, m'insulter... mais pourquoi ? Pourquoi avez-vous fait briser la jambe de mon frère ?" Antoine, protecteur, me toise de son mépris : "Je te croyais plus digne que ça. Tu as déjà supplié ta famille d'arranger un mariage ! Écoute-moi bien, Adeline. Si tu ne t'agenouilles pas immédiatement pour t'excuser auprès de Colette, je te jure que même si je dois défier les ordres de nos familles, tu ne mettras jamais un pied dans la mienne !" Ma servante, Marie, les gifle chacun à tour de rôle, défiant leur arrogance. Mon rire sec fuse : "Le gendre ? Tu penses vraiment que le document de mariage que mon père m'a donné porte ton nom ?" Il persiste, aveuglé par sa vanité : "Évidemment. Tu m'aimes de façon si éhontée depuis des années. Tu as attendu jusqu'à devenir une vieille fille juste pour moi. Si ce n'est pas mon nom, ce serait celui de qui ?" "Arrête de rêver", lui dis-je, avant d'ordonner aux gardes d'éloigner Antoine. Le lendemain, mon sanctuaire, la source thermale où je prépare les remèdes pour Henri, est profané. Antoine s'y prélasse, avec Colette et son frère infirme, qui se sert de ma source pour son "bain". "Quand elle m'épousera", ricane Antoine, "toutes les propriétés de sa famille seront à moi. Absolument tout. Alors, quel mal y a-t-il à ce que ton frère se baigne dans ma source ? Oserait-elle me dire non ?" Mes propres gardes, corrompus par ses mensonges, me méprisent. La rage me submerge. Je dégaine mon couteau et égorge les deux gardes qui m'ont manqué de respect. Cette fois, personne n'hésite. Antoine, fou de rage, me pousse dans la source, me laissant me noyer. Un homme masqué me tire hors de l'eau, sa voix rauque me dit : "Madame, je suis arrivé en retard." C'est Henri. "Je sais que Madame n'a demandé à épouser votre humble serviteur que pour provoquer Monsieur Antoine. Demain, j'irai moi-même voir votre père pour rompre les fiançailles. Je ne veux pas vous mettre dans l'embarras." Je le retiens, ma voix nouvelle, mes mots clairs : "Il n'y a personne d'autre. Depuis le début, la seule personne que je voulais épouser, c'était toi." Ses oreilles rougissent. De retour chez moi, le valet d'Antoine exige deux sages-femmes pour Colette, enceinte. Je le fais battre. Antoine et Colette débarquent, il me gifle, m'humilie devant toute la maison. Mais cette fois, je me relève, mon âme libérée : "Antoine Lefèvre, Cette gifle efface tout ce qu'il y a eu entre nous. Nous sommes quittes." Des gardes armés entrent, ma voix porte ma décision : "Antoine Lefèvre a tenté de tuer la fille du boulanger du duc. Traînez-le dehors et battez-le à mort." Sa mère le sauve de justesse, me soumettant à de nouvelles humiliations, tentant même de me faire violer par son fils, avant que Henri ne m'arrache à ses griffes. "Dans trois jours, le jour de ton mariage, tu épouseras un coq !" lance-t-elle, au comble de sa fureur. Le jour du mariage, un coq est là, Henri le décapite d'un coup d'épée. Antoine arrive, incrédule, pour s'apercevoir que le destin a changé. Mon document de mariage, bien en vue, ne porte que nos noms, Henri et le mien. "Impossible ! C'est impossible ! Tu m'as toujours aimé !" "Assez !" La foule murmure l'humiliation du jeune homme. Colette, traînée par Marie, pâle et terrifiée, le ventre arrondi, confirme mes dires. La famille Lefèvre est ruinée, Antoine ligoté et traîné dehors. Mon cœur est empli de paix, et je jure fidélité à Henri. Le lendemain, notre cortège nuptial s'étire sur dix lieues. Henri promet fidélité à mon père : "Si un jour je manque à mon devoir envers Madame, que le ciel me punisse et que je meure misérablement." Sa mère, bienveillante, me révèle la blessure d'Henri : "Henri a été blessé lors d'une bataille il y a quelques années. Une attaque surprise de l'ennemi. Son visage... il a été défiguré." "Je l'aime." Henri retire son masque, et son visage est parfait, d'une beauté saisissante. Il avoue : "Je voulais juste t'attendre. Toi. J'avais peur que d'autres familles essaient d'arranger un mariage avec moi... Alors..." "Alors tu as inventé toutes ces rumeurs ?" Son hochement de tête coupable me fait rire. "C'est trop tard pour changer d'avis. Et tu n'auras plus jamais à vivre caché derrière un masque." Nous nous embrassons sous le pêcher en fleurs, mon bonheur est complet.

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Le téléphone a sonné, strident, brisant le silence pesant de mon appartement. Jeanne Dubois, architecte paysagiste de renom. C'était moi, avant. Maintenant, j'étais juste la sœur de Paul. La sœur d'un criminel, selon eux. Mon petit frère, Paul, dix-neuf ans, broyé et jeté en prison pour une fraude financière qu'il n'avait pas commise. « Mademoiselle Dubois. » La voix du père d'Alexandre de Varenne, l'homme dont le fils avait détruit le mien, résonnait, lourde d'une autorité qui ne tolérait aucune discussion. « Votre frère est jeune, il a fait une erreur. Mon fils aussi. Retirez votre plainte. Faites en sorte que votre frère admette sa seule culpabilité. En échange, je pourrai user de mon influence pour que sa peine soit... clémente. » Une erreur. Il appelait ça une erreur. J'ai crié, supplié, frappé à toutes les portes. La justice m'avait glacée, les avocats s'étaient désistés, j'avais été menacée, mon appartement "visité". Ils m'avaient humiliée, isolée, poussée au bord du gouffre. J'avais échoué. J'étais seule. Puis, une image s'est imposée. Mon père, le jour de son départ pour sa dernière mission. « Prends soin de Paul, Jeanne. Et n'oublie jamais, même dans la nuit la plus noire, une seule petite lumière peut tout changer. » Mes yeux se sont posés sur une vieille malle en bois, celle de mon père, jamais ouverte depuis sa mort. Une nouvelle force, froide et tranchante, a surgi en moi. Ce n'était plus du désespoir. C'était de la rage. Une rage pure. « Allez au diable. » J'ai raccroché. J'ai ouvert la malle de mon père. À l'intérieur, sous des vêtements et des souvenirs, il y avait ce que je cherchais. Un carnet de bord et un paquet de lettres. L'écriture de mon père, des noms, des dates, des lieux. Trafic d'armes, détournements de fonds. Et parmi les noms, celui de la famille de Varenne. Alexandre n'était pas juste un jeune délinquant. Il était l'héritier d'un empire bâti sur la misère et la mort. Mon père n'était pas seulement un médecin. Il était un témoin. Il avait collecté des preuves pendant des années, des preuves capables de faire s'effondrer des fortunes. Sa mort, officiellement un "accident", prenait soudain un sens terrible. Ils ne l'avaient pas seulement tué. Ils avaient essayé de faire taire la vérité avec lui. Mais ils avaient oublié une chose. Ils avaient oublié sa fille. La rage avait laissé place à une détermination glaciale. Ils voulaient une guerre ? Ils allaient l'avoir. Mais pas sur leur terrain.

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Ne me quitte pas, chérie

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AlisTae
5.0

« Ahh ! » Elle était en train de gémir. Elle ne voulait rien ressentir pour cet homme. Elle le détestait. Les mains de l'homme ont commencé à se déplacer sur tout son corps. Elle a sursauté lorsqu'il a tiré la chaîne arrière de sa robe. La chaîne s'arrêtait au bas de sa taille, si bien que lorsqu'il l'a refermée, le haut de son dos et sa taille étaient exposés. « Ne touche pas à m-ummm ! » Les doigts du jeune homme se promenaient sur son dos nu et elle a appuyé sa tête sur l'oreiller. Ses caresses lui donnaient la chair de poule sur tout le corps. D'une voix grave et en colère, il lui a murmuré à l'oreille : « Je vais te faire oublier ses caresses, ses baisers et tout le reste. Chaque fois que tu toucheras un autre homme, tu ne penseras qu'à moi. » - - Ava Adler était une intello oméga. Tout le monde la malmenait parce qu'ils la trouvaient laide et peu attirante. Mais Ava aimait secrètement le mauvais garçon, Ian Dawson. Il était le futur Alpha de la meute Mystic Shadow. Mais il se moque des règles et des lois, car il n'aime que s'amuser avec les filles. Ava n'avait pas conscience de l'arrogance de Ian jusqu'à ce que son destin se mêle au sien. Il l'a négligée et l'a profondément blessée. Que se passerait-il si Ava devenait une belle fille capable de séduire n'importe quel garçon, et que Ian regrettait ses décisions ? Et si elle avait une identité secrète qu'elle n'avait pas encore découverte ? Et si les rôles s'inversaient et que Ian la suppliait de ne pas le quitter ?

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