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Mon mari, Jean-Luc, devait m'emmener à une vente aux enchères importante pour notre anniversaire, marquant notre alliance de prestige. Mais il est arrivé avec une jeune stagiaire, Chloé, qui s'est installée sans gêne à MA place dans la voiture, un affront public. Le lendemain, l'humiliation fut totale : Chloé exhibait sur Instagram le collier unique que Jean-Luc devait m'offrir, le qualifiant du "cadeau de son meilleur patron". Mon sang s'est glacé ; ce n'était plus de la jalousie, mais une question de respect et de puissance, une déclaration de guerre silencieuse mais absolue. J'ai décroché mon téléphone, non pas pour pleurer, mais pour orchestrer une riposte calculée qui allait détruire non seulement Chloé, mais aussi l'empire que nous avions bâti.
Mon mari, Jean-Luc, devait m'emmener à une vente aux enchères importante pour notre anniversaire, marquant notre alliance de prestige.
Mais il est arrivé avec une jeune stagiaire, Chloé, qui s'est installée sans gêne à MA place dans la voiture, un affront public.
Le lendemain, l'humiliation fut totale : Chloé exhibait sur Instagram le collier unique que Jean-Luc devait m'offrir, le qualifiant du "cadeau de son meilleur patron".
Mon sang s'est glacé ; ce n'était plus de la jalousie, mais une question de respect et de puissance, une déclaration de guerre silencieuse mais absolue.
J'ai décroché mon téléphone, non pas pour pleurer, mais pour orchestrer une riposte calculée qui allait détruire non seulement Chloé, mais aussi l'empire que nous avions bâti.
Moderne
Je me suis réveillée en sursaut dans ma chambre d'étudiante à la Sorbonne. La première chose que j'ai vue, c'était le plafond blanc, mais mon esprit était en proie à l'image du sang de ma belle-sœur, Sophie, sur le carrelage de la salle de bain. C'était Pâques. Et Manon, ma "meilleure amie", se tenait à ma porte. Son sourire innocent, ses yeux emplis d'une fausse admiration, elle se préparait à renouveler son invitation chez ma famille. Dans ma vie précédente, sa venue avait détruit la famille à Versailles. Elle avait séduit mon frère Léo, le forçant à un mariage sans amour. Sophie, son épouse enceinte, avait fait une fausse couche dévastatrice. Mes parents avaient vieilli prématurément. Et moi, écrasée par la culpabilité, j'avais avalé des somnifères, cherchant l'oubli. Mon sang se glaça. J'étais revenue, vivante, mais le même scénario se déroulait. Manon, insouciante, me demandait de l'emmener pour les fêtes. C'était une injustice insoutenable ; un cauchemar se répétant. La douleur du passé était mon arme. Cette fois, je n'étais plus naïve. La Chloé d'avant avait disparu. Manon voulait une guerre ? Elle l'aurait. Mais les règles du jeu avaient changé. J'étais prête à la faire payer.
Moderne
Amélie, marquée par des années d'abus, vivait sous le joug d'un père violent, Didier. Sa mère, Sylvie, la croyait l'enfant adoptée d'une rivale, et sa sœur, Chloé, la favorite, la méprisait, renforçant son isolement. Quand une ourse en furie assiégea la maison de sa grand-mère, Amélie implora l'aide de ses parents, gardes forestiers. Mais ils refusèrent froidement, inventant un prétexte, l'abandonnant seule face au danger imminent. Amélie brava l'ourse pour secourir sa grand-mère, découvrant l'effroyable vérité : Chloé avait volé un ourson, provoquant l'attaque. En tentant de ramener le petit, son père, devant le village, la gifla et la renia publiquement, la laissant seule face à la bête déchaînée. Comment des parents pouvaient-ils faire preuve d'une telle cruauté, sacrifiant leur propre fille à l'humiliation et au danger ? Cette injustice la rongeait, la laissant désemparée face à la fatalité que ses proches semblaient lui destiner. Au moment critique avec l'ourse, le maire révéla la vérité cachée : Amélie était la fille biologique de Sylvie, et Chloé la bâtarde de Didier. Pire, son père et sa sœur avaient volé sa lettre d'admission à une grande école à Paris, cherchant à briser son avenir. Le choc fut tel pour Sylvie qu'elle s'empara du fusil de Didier. Un coup de feu retentit, déchirant le silence. Pour Amélie, c'était la fin d'un terrible mensonge et le début d'une vie nouvelle.
Moderne
Au Château Dubois, une réception somptueuse battait son plein. Je parcourais les jardins illuminés, coupe de champagne à la main, incarnant la parfaite maîtresse de maison aux côtés de Julien, mon époux, fier de nos jumeaux célébrant leur bac. Le bonheur semblait total. Mais ce soir-là, sous les yeux de l'élite bordelaise, Julien a révélé son vrai visage. Il m'a forcée à signer un acte de donation-partage, prétendument pour l'avenir de nos enfants. L'encre à peine sèche, le couperet est tombé : « Et maintenant, Amélie, c' est fini. » Il exhibait des papiers de divorce. Un silence stupéfait a envahi l'assemblée. Ma directrice marketing, Chloé, son sourire victorieux, a pris la main de Julien. Ses mots m' ont transpercée : « Tu peux partir. Tu n' as plus rien ici. » Et le plus déchirant : mes jumeaux, mes propres enfants, se sont détournés, courant vers Chloé en l' appelant « Maman ! » Mes parents, les larmes aux yeux, me suppliaient : « Ne fais pas ça, Amélie ! Il va te dépouiller ! » Le public me voyait brisée, humiliée, la victime parfaite d'une trahison publique orchestrée par mon mari et sa maîtresse. On me croyait anéantie, ma vie détruite en un instant. Mais pouvaient-ils vraiment comprendre ce qui se jouait là ? Pourtant, je n'ai pas vacillé. J'ai souri. Un sourire calme qui a effacé le rictus de Julien. « Pourquoi tu souris comme ça ? » a-t-il balbutié. Mon sourire s'est élargi : « Je souris parce que le spectacle ne fait que commencer. » Car cette trahison, ils l'avaient planifiée, oui. Mais moi aussi, j'avais un plan. Et il était temps de le dérouler.
Moderne
Dans l'opulence froide de l'appartement familial à Paris, les Dubois, mes parents, des magnats du luxe obsédés par leurs "tests" de caractère, me reçoivent avec une indifférence glaçante. Mon cœur se brise en annonçant la mort de mon jeune frère, Hugo, succombé à une crise d'asthme faute de soins urgents. Ils avaient refusé de payer l'acompte, une autre de leurs cruelles "épreuves". Pour eux, ce n'est qu'une de mes "manipulations" pour l'argent, une tentative de chantage de la part du "frère raté". Leur fils adoptif, Adrien, l'incarnation de la perfection et de la cruauté subtile, ne manque pas d'envenimer la situation, brodant des mensonges qui me collent à la peau. Me voilà accusé, rabaissé, sommé de gagner 2000 euros pour les funérailles, seul, sans un sou et sous le regard moqueur des "joueurs" observant mes "tests". Mais l'horreur ne fait que commencer. Ma survie est une humiliation constante, chaque effort saboté. Puis vient le coup de grâce : Adrien me drogue, m'arrache la signature d'une renonciation d'héritage, et me jette au visage le prix de la dignité de mon frère. Alors que je me traîne jusqu'au crématorium, portant la poussière d'Hugo, Adrien apparaît, son sourire glaçant. Il confesse, avec une jouissance morbide, avoir lui-même échangé l'inhalateur vital d'Hugo contre un placebo. Mon frère n'est pas mort par négligence, mais assassiné de sang-froid, victime d'un jeu sadique. Comment survivre à une telle vérité ? Comment se relever quand ceux qui vous ont donné la vie ont orchestré la mort de l'être le plus cher ? Au moment où tout semblait perdu, une caméra fortuite capture le crime, et les "notifications" du jeu changent, appelant à la vengeance. Pour Hugo, je n'ai plus peur. Le jeu ne fait que commencer... mais cette fois, je suis prêt à redéfinir les règles.
Moderne
Mon mariage était censé marquer mon couronnement en tant que nouvelle cheffe du puissant Syndicat du Garlant. J' étais Amélie Dubois, l' héritière cachée, prête à prendre ma place. Mais Thomas, mon frère adoptif, Jean-Luc, mon fiancé, et Marc, mon garde du corps, m' ont trahie. Ils m' ont convaincue de me cacher, prétextant des menaces, et ont poussé Sofia, mon assistante, à usurper mon identité. Juste avant la cérémonie, je les ai surpris, tous les quatre, ensemble, dans un acte répugnant. Quand j' ai voulu les confronter, ils ont ri, m' ont traitée de folle, m' ont brisé les bras et les jambes, puis m' ont jetée dans une cave, me laissant pour morte. Je suis morte il y a quelques instants, la haine gravée à jamais dans mon âme. Mais je suis revenue, et c' est le même jour. Je suis là, dans l' ombre, à les regarder préparer leur imposture. Je sors de l' ombre et marche droit vers elle, vers Sofia, qui s' apprête à être présentée comme la nouvelle matriarche. Sans un mot, je la gifle si violemment que sa tête heurte un pilier. Le silence est glaçant. Jean-Luc, Thomas, Marc et même Pierre, le vieil ami de ma mère, et ma tante Hélène, tous se liguaient contre moi. Ils m' ont humiliée, m' ont accusée d' être une usurpatrice, et m' ont de nouveau rouée de coups, me laissant brisée au sol. Devant tant de trahison, au moment où la lame menaçait de défigurer mon visage, une seule question hurlait en moi : comment ont-ils pu ? Je ne comprends pas, mais une chose est certaine. Je suis Amélie Dubois, et aujourd'hui, ma vengeance commence.
Moderne
La sonnette a retenti, stridente, dans notre petit appartement de Vénissieux, un quotidien fait de bière bon marché et de tablier de ménagère. J'étais Élodie, une fille ordinaire dont l'horizon se limitait aux murs décrépis de notre salon. Puis, un couple en costume coûteux s'est présenté à ma porte, clamant que j'étais leur fille, une erreur de maternité vieille de dix-huit ans. Ils étaient les de Martel, la légendaire dynastie de la soie lyonnaise, me promettant une vie sans soucis, loin de "tout ça". Mon sang s'est glacé : j'ai vu la pitié calculée dans leurs yeux et le soulagement cupide sur le visage de ma mère, qui venait de me vendre pour une grosse liasse de billets. Ce n'était pas un conte de fées, mais un piège doré, où l'on voulait m'enfermer et me briser pour assurer la succession de leur "vraie" fille, Chloé. Comment pouvais-je être l'héritière d'une fortune et en même temps un pion sacrificiel honteux ? Une colère froide a remplacé le choc initial, face à l'injustice de cette manipulation et la trahison la plus intime. Très bien, j'allais jouer leur jeu, devenir la fille frivole qu'ils attendaient, mais chaque nuit, je mènerais ma propre guerre secrète, étudiant sans relâche et apprenant à me battre, car ma vengeance serait leur public et retentissant effondrement.
"J'ai entendu dire que tu allais épouser Marceau. Est-ce peut-être ta revanche contre moi ? C'est très risible, Anneli. Cet homme peut à peine fonctionner." Sa famille d'accueil, son ex-infidèle, tout le monde pensait qu'Anneli allait vivre un enfer pur après s'être mariée à un homme handicapé et cruel. Elle ne savait pas si quelque chose de bon en sortirait, après tout, elle avait toujours pensé qu'il serait difficile pour quelqu'un de l'aimer, mais cet homme cruel avec des secrets sombres ne va jamais lui accorder un divorce, car elle le fait oublier comment respirer.
Il a fallu trois ans à Sabrina pour comprendre que son mari, Tyrone, n'avait pas de cœur. C'était l'homme le plus froid et le plus indifférent qu'elle ait jamais rencontré. Il ne la traitait jamais comme sa femme. Pour ne rien arranger, le retour de la femme bien-aimée de ce dernier a apporté à Sabrina des papiers du divorce. Le cœur de Sabrina s'est brisé. Espérant qu'il y avait encore une chance pour eux de faire fonctionner leur mariage, elle a demandé : « Petite question, Tyrone. Est-ce que tu divorcerais quand même si je te disais que je suis enceinte ? » « Absolument ! », a-t-il répondu. Comprenant qu'elle ne représentait rien pour lui, Sabrina a décidé de laisser tomber. Elle a signé l'accord de divorce alors qu'elle était allongée sur son lit de malade, le cœur brisé. Étonnamment, ce n'était pas la fin pour le couple. C'est comme si les écailles tombaient des yeux de Tyrone après qu'elle ait signé l'accord de divorce. L'homme autrefois si insensible a rampé à son chevet et l'a suppliée : « Sabrina, j'ai fait une grosse erreur. S'il te plaît, ne divorce pas. Je promets de changer. » Sabrina a souri faiblement, ne sachant que faire...
Cheryl, une orpheline ordinaire, a réussi à épouser l'homme le plus puissant de la ville. Il était parfait dans tous les aspects, à un détail près : il ne l'aimait pas. Trois ans après leur mariage, elle est enfin tombée enceinte, mais c'est aussi le jour où son mari lui a remis les papiers de leur divorce. Il semblait qu'il était tombé amoureux d'une autre femme, et pour une raison qu'elle ignorait, il semblait croire qu'elle était également tombée amoureuse d'un autre homme. Juste au moment où elle pensait que leur relation touchait à sa fin, tout d'un coup, il ne semblait pas vouloir qu'elle parte. Elle était déjà prête à y renoncer, mais il lui a avoué son amour pour elle. Que devait faire Cheryl dans cet enchevêtrement entre amour et haine, tout en étant enceinte d'ailleurs ?
Une année auparavant, Eleonora et Quentin convolèrent en justes noces. Ce mariage, qui n'aura duré qu'un an et trois mois, a été pour elle un véritable supplice. L'année suivante, heureusement pour elle, ils divorcèrent. Cependant, elle fut tournée en ridicule dans toute la ville. Elle savait qu'elle faisait office d'objet de vengeance pour une faute présumée commise par son père à l'égard de son ex-a belle-famille. Elle devait en payer les frais par son corps. Lorsque l'accord de divorce fut signé, elle avait cru pouvoir prendre un nouveau départ ; hélas ! Elle devait continuer à souffrir le martyre et assouvir les fantasmes de son ex-mari, qui pourtant eût scellé une autre union seulement deux jours après leur divorce. Quelques temps après, elle fut recrutée par l'une des entreprises dans lesquelles elle avait déposé ses dossiers. Mais contre toute attente, elle eut Quentin comme collègue de travail. Ils devaient alors collaborer régulièrement. Eleonora pensait qu'il la haïssait toujours. Mais elle aura réalisé plus tard qu'il était tout sauf cet être rempli de haine à son égard. C'est ce qu'elle avait toujours perçu en lui, et que lui-même d'ailleurs la laissait voir. Quentin lui disait ouvertement qu'il la détestait. Pourtant certains actes qu'il aura posés envers elle, en témoignaient totalement le contraire : il l'épaulait, l'aidait dans l'accomplissement de son travail, et était plutôt attentionné à son égard.. S'il était vrai qu'au fond il n'avait que de l'aversion pour elle tel qu'il le faisait croire, pourquoi aura-t-il démontré à son égard tant d'affection ? Au fil des jours, Eleonora s'éprit de lui, et renonça à garder ses distances ; mais lui, l'aimerait-il sincèrement en retour ?
Sheila ne pouvait pas réfuser lorsque sa famille l'a forcée à épouser un homme âgé et horrible. Dans un accès de rage, elle a engagé un gigolo pour jouer le rôle de son mari. Elle pensait que le gigolo avait besoin d'argent et faisait cela pour gagner sa vie. Elle ne savait pas du tout qui il était réellement. Un jour, il a enlevé son masque et s'est dévoilé en tant que magnat mondial. Cela marquait le début de leur amour. Il l'a comblée de tout ce qu'elle pouvait désirer. Ils étaient heureux. Cependant, des circonstances inattendues ont bientôt menacé leur amour. Est-ce que Sheila et son mari pourront traverser la tempête ? Découvrez-le !
Sawyer, le plus grand trafiquant d'armes du monde, a surpris tout le monde en tombant amoureux de Maren, une fille sans valeur que personne ne respecte. Les gens se moquaient. Pourquoi poursuivre une jolie fille inutile ? Mais lorsque de puissantes élites ont commencé à se rassembler autour d'elle, les mâchoires se sont décrochées. « Elle n'est même pas encore mariée avec lui qu'elle profite déjà de son pouvoir », supposèrent-ils. Des yeux curieux ont fouillé dans le passé de Maren... pour découvrir qu'elle était un génie scientifique, une experte médicale de renommée mondiale et l'héritière d'un empire mafieux. Plus tard, Sawyer a posté en ligne. « Ma femme me traite comme un ennemi. Des conseils ? »
Introduction
Ce jour16:11
Chapitre 1
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Chapitre 2
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Chapitre 3
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Chapitre 4
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Chapitre 5
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Chapitre 6
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Chapitre 7
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Chapitre 8
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Chapitre 9
Ce jour16:11
Chapitre 10
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