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Dans ma vie précédente, je suis morte ici même. Dans cette salle de vente aux enchères clandestine, au sous-sol d'un hôtel particulier parisien. Mon « frère » Lucas, l'homme élevé par ma famille, exposait mes photos intimes truquées aux yeux de tous. Sa petite amie, Manon, surenchérait avec une fausse compassion, vidant les caisses de mon Château Beaumont. J'ai tout perdu : ma réputation, mon domaine, et même mon « Nez », ce don ancestral qui faisait ma légende. Puis, abandonnée, j'ai mis fin à mes jours, le cœur brisé par la trahison la plus ignoble. Pourquoi tant de haine ? Comment avaient-ils pu me voler jusqu'à mon âme ? Juste avant que ne retombe le marteau, j'ai rouvert les yeux, de retour à l'exact instant de mon humiliation. Cette fois, la peur avait cédé la place à une rage froide, et j'avais préparé ma vengeance.
Dans ma vie précédente, je suis morte ici même.
Dans cette salle de vente aux enchères clandestine, au sous-sol d'un hôtel particulier parisien.
Mon « frère » Lucas, l'homme élevé par ma famille, exposait mes photos intimes truquées aux yeux de tous.
Sa petite amie, Manon, surenchérait avec une fausse compassion, vidant les caisses de mon Château Beaumont.
J'ai tout perdu : ma réputation, mon domaine, et même mon « Nez », ce don ancestral qui faisait ma légende.
Puis, abandonnée, j'ai mis fin à mes jours, le cœur brisé par la trahison la plus ignoble.
Pourquoi tant de haine ? Comment avaient-ils pu me voler jusqu'à mon âme ?
Juste avant que ne retombe le marteau, j'ai rouvert les yeux, de retour à l'exact instant de mon humiliation.
Cette fois, la peur avait cédé la place à une rage froide, et j'avais préparé ma vengeance.
Milliardaire
Pendant huit longues années, ma vie tournait autour d'Antoine de Valois. J'étais son ombre discrète, son assistante dévouée, anticipant chacun de ses désirs, et secrètement, son amante clandestine depuis quatre ans. Notre arrangement était basé sur un amour fou et insensé de ma part, et une froide commodité de la sienne. Puis, Camille de Rohan, son amour de jeunesse, est revenue. Antoine, sans aucune considération pour mes sentiments, l'a affichée publiquement, la déclarant l'unique femme de sa vie. Mon monde s'est effondré. Ce n'était que le début de mon calvaire. Aveuglée par la jalousie et forte de la cécité d'Antoine, Camille a entrepris de me détruire. Elle m'a délibérément humiliée : j'ai dû ramasser sa traîne de robe comme une servante, elle a versé du café brûlant sur moi, et m'a accusée publiquement de vol lors d'une soirée mondaine. L'apogée de sa cruauté fut quand Antoine lui-même, sur ses ordres, m'a forcée à m'agenouiller sur le trottoir glacé de l'avenue Montaigne, exposée à la honte devant tous les passants. Mon cœur, naguère si plein d'amour, s'est brisé en mille morceaux. Comment l'homme que j'aimais, à qui j'avais tout donné, pouvait-il me réduire à cela ? N'étais-je rien d'autre qu'un objet, « personne d'important » pour lui ? J'ai subi cette trahison et cette humiliation avec une dignité mourante. Mais cet acte de barbarie m'a libérée. Ce jour-là, j'ai su que l'amour que je lui portais était mort. J'ai tout quitté, Paris, lui, notre passé. J'ai choisi de me reconstruire, loin de cette folie. Et même quand Antoine, face au chaos qu'il avait créé, a finalement ouvert les yeux et s'est mis à me supplier de revenir, il était trop tard. Mon cœur est resté muet. L'amour était mort, pour toujours.
Nouvelle
La dernière image de ma première vie était le plafond criard d'une boîte de nuit. Les mains avides d'étrangers se posaient sur moi, tandis que Marc, mon mari, me livrait aux loups le jour de nos noces. "C'est le prix que votre famille Dupont paie pour avoir chassé Célia," avait-il craché, son rire résonnant plus fort que la musique. Trois mois plus tard, mon père, homme d'affaires respecté, était accusé de fraude fiscale, notre nom traîné dans la boue. Marc, lui, était salué comme un héros national, tandis que je sombrerais dans le désespoir. Je suis morte de faim, seule, dans la rue. Jusqu'au jour où je me suis réveillée. La lumière du soleil filtrait à travers les rideaux de soie. Le calendrier affichait la date exacte où tout avait commencé, le jour où les Dubois venaient supplier mon père. Le jour où, aveuglée par l'amour, j'avais accepté de l'épouser. Dans mon cœur, une rage froide et pure montait. Cette fois, les choses seraient différentes. Je suis descendue, ma détermination inébranlable. Face à Marc et sa mère, je les ai regardés droit dans les yeux. "Je ne l'épouserai pas." Le silence était assourdissant. Ils ne s'attendaient pas à ça. "Vous n'êtes pas venus ici, espérant que mon père utilise son influence pour étouffer le scandale de Marc, en échange de mon mariage avec lui ?" ai-je demandé, la voix tranchante. Marc est devenu livide. "Sortez de ma maison. Et ne revenez jamais." Puis, Julien Leclerc est entré, portant des lys blancs. Sans réfléchir, je l'ai pris par le bras. "Voici mon fiancé." Son bouquet est tombé au sol. J'avais fait le bon choix. Le début de ma vengeance, et de ma nouvelle vie, venait de commencer.
Nouvelle
Trois ans. Trois longues années que les Dubois, mes parents adoptifs, m' avaient exilée à Rome pour étouffer mon amour inacceptable pour Étienne, mon frère adoptif. Aujourd' hui, je suis de retour à Paris, une invitation de mariage en main. Pas la sienne, mais la mienne. Avec Pierre, son meilleur ami. Dès que j' ai franchi la porte de son atelier, le cauchemar a recommencé. Devant mes yeux, il a déchiré mon bonheur en mille morceaux. Pire encore, Chloé, sa nouvelle petite amie, n' a eu de cesse de me réduire à néant : accusations, humiliations, attaques sournoises, toujours sous le regard indifférent d' Étienne. Chaque fois que j' ai été blessée, il a choisi de croire ses mensonges, me traitant de manipulatrice, d' hystérique. Son abandon était une trahison quotidienne. Et puis, il y a eu cette nuit. Cette nuit où, après un énième piège tendu par Chloé, il m' a enfermée, me forçant à écouter… l' ampleur de mon propre anéantissement. Comment a-t-il pu me faire ça ? Comment mon amour pour lui a-t-il pu se transformer en une telle torture ? La douleur de son rejet était insupportable. Mais dans le silence, la main tendue par Pierre a été ma bouée de sauvetage. Ce n' était plus un choix. C' était une nécessité. Il était temps de dire adieu au passé, de me libérer de cette emprise toxique. J' épouserai Pierre. Et cette fois, personne ne m' en empêchera.
Moderne
Amélie Dubois, issue d'une famille de vignerons respectée, pensait avoir trouvé l'amour parfait avec Antoine Moreau, un architecte parisien renommé. Leur amour était scellé par une collection précieuse de 99 étiquettes de vins rares, chacune témoin d'un moment de bonheur partagé. Mais le conte de fées s'est brisé avec l'arrivée de Manon Girard, une jeune stagiaire en apparence innocente. Antoine, initialement passionné, a commencé à changer, son regard fixant désormais cette intruse. La dévotion a fait place à l'indifférence, puis aux trahisons cruelles. Oubliée pour leur anniversaire de mariage, abandonnée en panne sous la pluie, humiliée publiquement, forcée de donner un rein pour la grand-mère de Manon... Amélie a vu sa vie s'effondrer, pièce par pièce. Chaque trahison était une flamme, consumant une de leurs précieuses étiquettes de vin, dans un rituel secret de désespoir. Comment l'homme qu'elle avait tant aimé avait-il pu devenir un être aussi aveugle et destructeur ? La douleur physique se mêlait à l'humiliation profonde, le doute rongeant son âme. Jusqu'au jour où, forcée de signer des papiers « administratifs » qui s'avéreraient être son divorce, Amélie a découvert la vérité glaçante. Face à l'ultime trahison, au fond du gouffre, elle a choisi la fuite. Mais cette fuite n'était que le début de sa reconquête, loin des cendres de son amour passé. Antoine pensait avoir gagné, mais il ne savait pas qu'Amélie était déjà bien au-delà de la vengeance, prête à renaître de ses propres cendres.
Moderne
Dans le Paris scintillant, Amélie Dubois, artiste talentueuse, menait une vie rêvée aux côtés d'Antoine Leclerc, architecte de renom. Un bonheur idyllique brusquement brisé par un enlèvement brutal, d'où elle réémerge, enceinte. Mais le cauchemar ne faisait que commencer : Antoine, son mari, annonçait publiquement reconnaître l'enfant de Chloé Martin, leur amie, tout en sous-entendant que le bébé d'Amélie était le fruit de ses ravisseurs. Une trahison insoutenable, justifiée par une obscure « dette » familiale. Dévastée et humiliée, Amélie fut contrainte d'avorter son enfant, tandis que la société la condamnait, la traitant d'immorale. Antoine, aveuglé par les manipulations de Chloé, restait sourd à sa détresse, la livrant aux rumeurs les plus infâmes. Comment son mari, l'homme qu'elle aimait, avait-il pu se montrer si lâche, si crédule face à une telle machination ? Le poids de l'injustice et du désespoir l'étouffait, chaque jour la poussant un peu plus vers le précipice de la folie. Mais de cet abîme de souffrance naquit une force inattendue. Amélie, résolue à écrire son propre destin, prit la décision de divorcer. Le jour de la fête d'anniversaire de Chloé, elle prépara un "cadeau" mémorable : le divorce, la vérité sur son sacrifice, et une vidéo qui allait faire éclater la plus sombre des vérités. L'heure de la revanche avait sonné, celle de sa libération.
Milliardaire
Sophie Dubois, ouvrière humble mais fière de son travail, n'avait qu'un seul trésor : une vieille montre à gousset, héritage de son grand-père. Quand Alexandre de Courmont, l'héritier d'une riche dynastie textile, posa les yeux sur elle, ce fut le coup de foudre, simple et direct. Leur amour semblait pur, mais la famille d'Alexandre rejeta violemment cette union "disgracieuse" incompatible avec leur nom. Sous l'implacable pression matriarcale, Alexandre céda : il épousa une autre femme, l'ambitieuse et manipulatrice Isabelle Dubois. Pourtant, il ne cessait de me supplier : "Attends encore un peu, mon amour. C'est juste une formalité pour la famille." Ces "attends encore un peu" devinrent le mantra d'un calvaire insoutenable, fait d'humiliations et de promesses brisées. Isabelle, par pure cruauté, brisa la montre de mon grand-père, le seul vestige de ma dignité. Alexandre me repoussa violemment, son propre père me gifla publiquement, sous un regard passif. Pire encore, même après avoir offert mon sang pour sauver une Isabelle "blessée", il m'accusa froidement. Comment cet homme, jadis si amoureux et dévoué, était-il devenu un lâche, un instrument de ma souffrance ? Mais la vision d'Alexandre et Isabelle, enlacés, s'embrassant tendrement, brisa les dernières parcelles de mon cœur. Toutes mes illusions s'effondrèrent en un instant. Ce "encore un peu" résonnait comme la plus cruelle des moqueries. Ce jour-là, le jour de leurs noces fastueuses, je pris une décision irrévocable. J'ai tout laissé derrière moi, n'emportant qu'une lettre d'adieu, pour ne plus jamais regarder en arrière.
Linsey s'est fait poser un lapin par son fiancé pour s'enfuir avec une autre femme. Furieuse, elle s'est emparée d'un inconnu au hasard et a déclaré : « Marions-nous ! » Elle a agi sous le coup de l'impulsion, réalisant trop tard que son nouveau mari était Collin, qui a la réputation d'être un loser. Tout le monde s'est moqué d'elle, et même son ex lui a proposé de se réconcilier avec elle. Mais Linsey n'a pas hésité à refuser. « Mon mari et moi sommes très amoureux ! » Tout le monde pensait qu'elle délirait. Puis Collin s'est révélé être l'homme le plus riche du monde. Devant tout le monde, il s'est agenouillé et a brandi une magnifique bague en diamant. « J'ai hâte que nous soyons ensemble pour toujours, chérie. »
Cela faisait trois ans que mon mariage avec Alan était une coquille vide, une pièce glaciale où le silence régnait en maître, tandis que je m'accrochais à l'idée qu'il était simplement "réservé" ou "sous pression". Puis j'ai surpris une conversation glaçante : Alan avouant son amour éternel à ma "meilleure amie" Juliette, sa sœur adoptive, la même qui avait méticuleusement orchestré notre mariage pour masquer leur liaison. Le choc fut brutal, suivi d'une série d'humiliations : contrainte de donner mon sang pour sauver Juliette sur l'insistance d'Alan, il a ensuite accepté, sans la moindre hésitation ni désir, d'honorer nos "devoirs conjugaux" comme un vulgaire marché. Il a signé nos papiers de divorce à la va-vite, pressé de rejoindre Juliette, et m'a abandonnée à ma mort imminente lors d'une réaction allergique, ne se souciant que de la sécurité de sa maîtresse. Chaque fois, c'était elle qu'il choisissait, elle qu'il protégeait, elle qu'il consolait, me laissant seule face à la douleur et à l'indifférence. Comment avais-je pu être si aveugle ? Comment ma meilleure amie pouvait-elle être une manipulatrice aussi cruelle ? La trahison me dévorait, et une question lancinante me brûlait l'esprit : après tant de sacrifices, pourquoi étais-je si insignifiante à leurs yeux ? Mon cœur brisé, mais l'esprit enfin clair, j'ai pris ma décision. Aidée par mon frère Robert - qui m'a révélé un amour pur, si différent de ce que j'avais connu -, j'ai entrepris ma libération. Et lorsque Alan, manipulé une dernière fois par Juliette, a tenté de me reconquérir, il a trouvé face à lui une femme résolue, prête à embrasser un avenir loin de leur toxicité.
Ce devait être un mariage de convenance, mais Carrie a commis l'erreur de tomber amoureuse de Kristopher. Au moment où elle a le plus besoin de lui, son mari est en compagnie d'une autre femme. C'en était assez. Carrie a choisi de divorcer de Kristopher et de reprendre sa vie en main. Ce n'est que lorsqu'elle est partie que Kristopher s'est rendu compte de l'importance qu'elle avait pour lui. Confronté à son ex-femme, qui avait d'innombrables admirateurs, Kristopher lui a offert 20 millions et lui a proposé un nouveau contrat. « Marions-nous à nouveau. »
Valeria Brown était la fille unique de la famille Brown, une famille plutôt aisée. Elle avait une meilleure amie, Ashley. Mais celle-ci et sa mère avaient l'intention de tout lui prendre. Par ailleurs, Mason, qui était sorti avec Valeria pendant quatre ans, la trompa. Elle surprit son petit ami, Mason, en train d'embrasser Ashley dans la voiture ! Cependant, cette dernière n'eut aucune honte. Au contraire, elle drogua Valeria avant de demander à un gigolo de la dépuceler. D'une manière inattendue, un inconnu surgit de nulle part pour chasser le gigolo. Il était au courant de ce qui se passait. Lorsque Valeria s'était réveillée, elle découvrit cet homme inconnu et sexy s'allonger à côté d'elle. Elle se souvenait que selon Ashley, cet homme était un gigolo. A ces pensées, elle s'énervait. Mais en fait, cet homme, qui avait sauvé Valeria du gigolo et qui avait couché avec elle, n'était autre que le plus riche PDG…
Ariana a été forcée de se marier dans la famille Anderson. À la suite de cette union, tout le monde s'attendait à ce qu'elle ait un bébé avec son nouveau mari. Or, il s'est avéré que son mari, Theodore, était en fait dans le coma ! Ariana était-elle condamnée à vivre le reste de sa vie comme une veuve ? Contre toute attente, son mari comateux a repris conscience le lendemain de leur mariage ! Theodore a ouvert les yeux et l'a regardée froidement. « Qui êtes-vous ? » « Je suis votre... femme », a répondu Ariana en transe. En entendant cela, Theodore paraissait extrêmement contrarié. « Je ne me souviens pas avoir pris femme. Ce mariage ne compte pas. Je vais demander à mon avocat de s'occuper des procédures de divorce. » Heureusement, la famille Anderson l'a empêché de divorcer, sinon Ariana serait devenue une sans-abri dès le lendemain de son mariage. Plus tard, elle est tombée enceinte et a voulu partir en secret, mais Theodore l'a rattrapée. Ariana le regardait avec obstination. « Tu ne m'aimes pas. Tu me crées des ennuis tout le temps. Quel est l'intérêt de notre mariage ? Je veux divorcer ! » Tout à coup, l'arrogance de Theodore est disparue et il l'a attirée dans son étreinte chaleureuse. « Tu es ma femme maintenant. Ne pense même pas à divorcer ! »
"Je veux divorcer, Mark," ai-je répété au cas où il ne m'aurait pas entendue la première fois, même si je savais qu'il m'avait clairement entendue. Il m'a fixée avec un froncement de sourcils avant de répondre froidement : "Ce n'est pas à toi de décider ! Je suis très occupé, ne perds pas mon temps avec des sujets ennuyeux, ou essaie d'attirer mon attention !" La dernière chose que j'allais faire était de me disputer avec lui. "Je vais demander à l'avocat de t'envoyer l'accord de divorce," ai-je dit, aussi calmement que possible. Il n'a même pas dit un mot de plus après cela et est simplement passé par la porte devant laquelle il se tenait, la claquant violemment derrière lui. Mes yeux se sont attardés sur le bouton de la porte un peu distraitement avant que je ne retire l'alliance de mariage de mon doigt et la pose sur la table. J'ai attrapé ma valise, dans laquelle j'avais déjà rangé mes affaires, et j'ai quitté la maison.
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