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À la recherche du bonheur Tome 1 : l'orpheline Malika

À la recherche du bonheur Tome 1 : l'orpheline Malika

Sophia Story

5.0
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Chapitres

PROLOGUE ‱ . ‱ Bonne lecture Dans la vie, personne ne connaĂźt ce que Dieu lui rĂ©serve et c'est pour cela qu'il ne faut pas faire du mal Ă  son prochain. Malika est une jeune fille ĂągĂ©e de 23 ans et d'origine malienne vit en CĂŽte d'Ivoire avec sa Tante Rokia. Malika est une orpheline de pĂšre et de mĂšre, sa mĂšre est morte en lui donnant naissance et son pĂšre qui Ă©tait un chauffeur de gros camion a eu un accident qui lui a coĂ»tĂ© la vous et elle n'avait que 10 ans quand son pĂšre est mort. Malika vit chez la sƓur de son pĂšre qui la traite d' enfant maudite car pour elle, c'est la petite Malika qui a portĂ© malchance Ă  son frĂšre qui est le pĂšre de Malika. Rokia ne supporte pas du tout Malika mais elle est obligĂ©e de s'occuper d'elle car c'Ă©tait la derniĂšre volontĂ© de son frĂšre, si ce n'Ă©tait pas le cas elle aurait mit cet enfant dans un orphelinat et ne plus jamais la revoir. MalgrĂ© les maltraitance de sa tante, Malika est une jeune fille trĂšs intelligente Ă  l'Ă©cole, elle a toujours le sourire aux lĂšvres malgrĂ© tout ce qu'elle traverse sur cette terre. Elle n'a pas pu continuer ses Ă©tudes Ă  cause de sa tante qui ne voulait pas dĂ©penser sur les Ă©tudes de cette fille dĂ©jĂ  qu'elle avait trop de charge avec ses propres enfants. Et oui Rokia a trois enfants, Amadou son premier fils qui a 25 ans. Il est diplĂŽmĂ© depuis deux ans mais il n'a pas eu la chance d'avoir un bon boulot alors il est un chauffeur de taxi, ce qui lui permet d'aider sa mĂšre. Moussa, qui a 21 ans, va Ă  l'Ă©cole mais il n'est pas trĂšs intelligent. A 21 ans, celui-ci est encore en terminale. Ramatou est la petite derniĂšre de la famille, nous l'appelons Rama et elle est ĂągĂ©e de 18 ans, c'est une jeune fille trĂšs Ă©veillĂ©e pour son Ăąge. Malika s'entend seulement avec Amadou et la petite Ramatou . Moussa est aussi mĂ©chant que sa mĂšre. Malika fait que subir la mĂ©chancetĂ© de sa tante. Elle n'avait nulle part oĂč aller donc elle prĂ©fĂ©rait rester et suivre son destin car c'est Allah qui l'a Ă©crit, lui seule savait quand est-ce que ça allait finir. De l'autre cĂŽtĂ© de la ville vit le couple MaĂŻga , mariĂ© depuis maintenant cinq ans. Djibril est ĂągĂ©e de 30 ans et sa femme Yasmine est ĂągĂ©e de 28 ans. Ils sont trĂšs riches car Djibril est propriĂ©taire de plusieurs magasin Ă  Abidjan qui marche vraiment bien et sa femme a un magasin de bijouterie que lui a laissĂ© son pĂšre avant de mourir. Depuis cinq ans maintenant qu'ils sont mariĂ©s mais ils n'ont pas d'enfants. Yasmine n'arrive pas Ă  donner un enfant Ă  son mari et cela donne raison Ă  sa belle-mĂšre. Mariam de son nom rĂ©pĂšte sans cesse Ă  son fils qu'il a fait une erreur en Ă©pousant cette femme qui est pour elle stĂ©rile. Mariam la mĂšre de Djibril n'a jamais acceptĂ© le mariage de son fils et elle ne veut pas du tout de Yasmine comme belle fille. Yasmine supporte le comportement de sa belle-mĂšre car elle aime Ă©normĂ©ment son mari. Aujourd'hui Yasmine est trĂšs heureuse. Elle a eu un malaise ce matin, elle l'a prise pour des symptĂŽmes de grossesse alors elle a dĂ©cidĂ© de se rendre Ă  l'hĂŽpital pour vĂ©rifier si c'est le cas. Elle prend son sac , sort de la maison et conduit sa voiture jusqu'Ă  ce qu'elle arrive Ă  la clinique ou son frĂšre exerce son mĂ©tier de docteur. Elle priait dans son cƓur pour que ça soit une grossesse mais elle ne savait pas que ce qu'elle allait dĂ©couvrir aujourd'hui allait changer le coup de sa vie. Yasmine : alors Salif qu'est ce que j'ai ? Salif son frĂšre aĂźnĂ© la regardait avec une grande tristesse dans les yeux. Depuis maintenant 1 heure que sa sƓur est lĂ , il n'arrivait pas Ă  croire Ă  ce qu'il voyait sur le rĂ©sultat. Yasmine : Salif qu'est ce qu'il y a ? Tu me fais peur , dit moi ce que j'ai Salif : tu as une tumeur Yasmine : quoi ! * se levant du siĂšge * Salif n'arrivait plus Ă  regarder sa sƓur en face , lui qui donnait ce genre de nouvelles Ă  ses patients ne savait pas qu'il allait aussi le donner Ă  sa sƓur aĂźnĂ©e un jour. Salif : je suis dĂ©solĂ© mais tu as une tumeur et tu as seulement un an sur terre Ici commença notre ici Ă  la recherche du bonheur. Le destin de Malika rencontrera-t-il celui du couple MaĂŻga ? Malika sera-t-elle enfin heureuse ? Comment Yasmine prendra cette nouvelle ?

Chapitre 1 01

YASMINE MAÏGA‱

Toujours secouĂ©e par la nouvelle, je ne sais plus oĂč mettre la tĂȘte. Ce n'est quand mĂȘme pas possible que je sois atteinte de tumeur et que je vais bientĂŽt mourir.

C'est vrai nous sommes appelés à mourir et c'est quelque chose de naturel mais je ne peux pas mourir maintenant, non !

Allah ne peut pas m'enlever de cette terre ainsi et aussi rapidement alors que je n'ai pas tout accompli.

Je mérite au moins d'avoir un enfant avant de quitter le monde mais malheureusement je vais le quitter toute seule car mon corps ne pourra pas supporter une grossesse.

Comment dire Ă  mon mari que je vais bientĂŽt mourir alors que nous nous sommes promis de vieillir ensemble ?

Djibril qui m'aime tellement ne pourra jamais s'en remettre ni l'accepter.

J'ai tellement mal au cƓur que je commençais à avoir des vertiges. Ne supportant plus cette douleur, je me suis mise à pleurer.

Mon frĂšre Salif , jusqu'Ă  lĂ  me regardait sans rien dire, il se lĂšve de son siĂšge et viens me prendre dans ses bras en pleurant avec moi.

Il fallait que je sois forte pour mon frÚre, malgré la douleur immense que je ressens, j'essuie mes larmes avant de commencer à calmer mon frÚre.

__ arrĂȘte de pleurer Salif, c'est Allah qui l'a dĂ©cidĂ© donc ça ne sert a rien de nous lamenter

Salif : je ne pourrais pas te sauver la vie alors que je fais ce boulot pour pouvoir sauver des vies

__ et tu as sauver tellement de vie , tu te rappelles de ta premiĂšre patiente, celle qui souffrait d'une maladie qu'on ne pouvait pas guĂ©ri mais par une opĂ©ration elle pouvait ĂȘtre guĂ©ri et tu as fait cette opĂ©ration pendant que tout le monde se disait que c'Ă©tait une perte de temps

Salif : oui comment oublier la premiĂšre vie que j'ai sauver mais ton cas est diffĂ©rent mĂȘme si je le voulais je ne pourrais jamais

__ ce n'est pas grave mon frĂšre, je veux juste commencer Ă  profiter de c'est 1 an qui me reste

Salif : comment tu fais pour ĂȘtre autant forte alors que tu viens d'apprendre que tu vas bientĂŽt mourir ?

__ c'est Allah qui me rend forte , pourquoi me lamenter alors que nous sommes tous appelĂ© Ă  mourir, de tout les façons je vais mourir un jour mĂȘme si je ne m'attendais pas Ă  ce que se soit aussi vite , j'ai au moins la chance de savoir que je vais mourir j'ai aussi le temps de me repentir et faire tout ce dont je rĂȘve de faire avant de quitter ce monde, d'autre auraient aimĂ© savoir qu'ils vont mourir pour pouvoir accomplir beaucoup de choses

Salif : oui tu as raison , alors vas tu dire Ă  ton mari que tu n'as plus pour longtemps sur cette terre ?

__ non je ne veux pas lui dit pour le moment, promet moi que tu ne lui diras rien

Salif : ok je te promets de rien lui dire mais ne cache pas cette vérité pendant longtemps, il mérite de le savoir

__ je lui dirais ne t'inquiĂšte pas

À vrai dire , je ne sais pas du tout si je pourrais dire à l'homme qui m'aime le plus au monde que je vais bientît mourir.

Djibril et moi avions prévu de quitter ce monde lorsqu'on serait vieux, prévu de voir nos petits enfants mais Allah en a décidé autrement.

De tout les façons comment parler de petit enfant, si je n'ai mĂȘme pas pu lui donner un enfant pendant cinq ans de vie commune.

AprÚs avoir passé un long moment avec mon frÚre, je suis rentrée à la maison.

Mon mari n'Ă©tait pas encore revenu du boulot et c'Ă©tait mieux car je ne saurais pas comment le regarder en face avec cette mauvaise nouvelle que je viens d'apprendre.

C'est la premiÚre fois que je vais cacher des choses à mon mari surtout en rapport avec ma santé.

Je ne veux pas lui dire pour le moment que je vais mourir, il sera vraiment déstabilisé quand il va l'apprendre.

J'entre dans ma chambre conjugale ou je retire mes vĂȘtements que je porte et je vais dans la douche pour prendre un bon bain.

Et sous l'eau qui coule sur mon corps nu, je me mis à pleurer. J'avais vraiment besoin de me libérer et la meilleure façon de se libérer c'est de pleurer.

Une heure plus tard, je suis sortie de la douche et je me suis rendue devant mon placard que j'ai ouvert pour prendre mon pyjama et des sous-vĂȘtements.

AprÚs avoir récupéré, je me suis habillée avant de m'asseoir au bord du lit.

Je prends mon téléphone et je rentre dans ma galerie ou je regarde les photos de moi et mon mari. J'ai fini par me rappeler des bons moments passés avec lui.

Dans bientÎt un an je vais quitter ce monde, je me demandais pourquoi Allahe voulais que je quitte ce monde maintenant alors que j'avais pas véritablement accompli mon rÎle d'épouse.

Sans m'en rendre compte, mes joues Ă©taient pleines de larmes.

C'est vraiment douloureux de savoir que je vais mourir et je sais ce que sait qu'une tumeur car mon pĂšre l'a aussi eu avant de mourir et je sais Ă  quelle point l'on souffre avec cette maladie.

Mais mon pÚre on pouvait le sauver en lui faisant une opération mais on avait pas assez de moyen pour ça et c'est d'ailleurs pourquoi Salif est devenu docteur Chirurgien.

Il a étudié toutes les branches de la médecine donc il peut tout faire.

Nous avons une agence de soutien pour aider des personnes qui n'arrivent pas Ă  payer une somme d'opĂ©ration et autre pour pouvoir sauver la vie de leur proche ou d'eux mĂȘme.

Pendant que je suis assise dans ma chambre, la porte de la chambre s'ouvre et j'essuie rapidement mes larmes. Une seconde plus tard, mon mari entre dans la chambre.

Je me lĂšve alors du lit pour l'accueillir avec un sourire que j'utilise pour cacher ma mine triste.

* en souriant * __ soit le bienvenue chéri

Djibril ( en répondant à mon sourire) : merci ma femme

Je prends son sac, je vais le ranger avant de revenir vers lui.

__ comment a été ta journée ?

Djibril : bien, juste que ça m'a épuisé

__ yako chéri, va prendre un bain et je vais te servir ton plat

MalgrĂ© que nous sommes riches, nous n'avons pas de servante. J'ai jamais voulu avoir de servante car moi mĂȘme je peux cuisiner, m'occuper de ma maison et de mon mari.

Il a toujours voulu que je me prenne une aide ménagÚre mais je ne l'ai jamais voulu mais je pense que bientÎt ça changera car je ne serai plus trop capable de faire tout ça.

^^ une heure plus tard ^^

Faisant la table pour que mon mari puisse manger, je ne faisais que penser Ă  ma maladie et Ă  d'autres choses.

Mon mari rĂȘve tellement d'avoir des enfants avec moi et malheureusement je ne pourrais jamais lui donner d'enfants, je veux tellement lui laisser quelque chose venant de moi avant de quitter ce monde.

Toujours perdu dans mes pensées, je sursaute lorsqu'une main se pose sur mon épaule. Je me retourne et je vois mon mari qui me regarde étrangement.

Djibril ( en faisant un petit massage à l'épaule) : désolé, je ne voulais pas t'effrayer

__ ce n'est rien chéri, j'étais perdue dans mes pensées

Djibril : Tu vas bien ? Depuis que je suis revenu du boulot je te trouve trĂšs bizarre

Ça sera vraiment difficile pour moi de cacher ma maladie à mon mari car il me connaüt comme deux gouttes d'eau.

Il finira forcément par découvrir ce que je cache. Je me demande comment je ferai pour lui cacher cela car je ne sais pas mentir encore moins à mon mari.

Pourquoi ne pas lui dire en mĂȘme ? C'est ce que je veux je veux bien faire mais ça ne veut pas sortir de ma bouche.

__ je n'ai rien chéri

Djibril : tu es sûr ?

__ oui je vais trĂšs bien , arrĂȘt de t'inquiĂ©ter et vient manger

Il prend place et je me mets Ă  le servir pour qu'il puisse manger. AprĂšs l'avoir servi, je m'assois prĂšs de lui.

Djibril ( en souriant ) : tu es un vrai cordon bleu ma femme

* en lui rendant son sourire * __ merci mon mari

Au mĂȘme moment un truc me passe Ă  la tĂȘte alors je dĂ©cide de discuter de cela avec mon mari.

__ Mon mari ?

Djibril : oui ma femme ?

__ pourquoi tu ne prends pas de deuxiÚme femme comme ta mÚre te l'a conseillé ?

Quand il a entendu ce que je viens de dire , il avale ce qui est dans sa bouche de travers donc il se met Ă  tousser.

Je le sers rapidement de l'eau dans un verre avant de le lui donner pour qu'il puisse boire.

Je ne pensais pas que ma question allait ĂȘtre autant difficile pour lui de rĂ©pondre.

Quelques secondes plus tard , il va mieux et se tourne vers moi. Ça se voit qu'il n'a pas du tout apprĂ©ciĂ© ma question.

Djibril : pourquoi me parles-tu de cela ?

__ j'arrive pas à te donner d'enfant donc c'est préférable que tu prennes une bonne femme fertile qui pourra te donner des enfants

Djibril : tu n'arrives pas mais ça ne veut pas dire que tu es stérile, Allah nous donnera un enfant au bon moment

__ je penses que c'est mieux que tu fasses ce que t'a mĂšre Ă  dit , prendre une deuxiĂšme femme

Djibril : comment peux tu me demander de faire cela, je ne veux prendre aucune autre femme, mĂȘme si nous devons attendre cinq ans de plus pour que Dieu nous donne un enfant on attendra

Malheureusement nous ne pouvons pas attendre car je ne ferais pas plus d' une année sur cette terre.

__ tu..........

Djibril ( me coupant la parole) : la discussion est terminée, laisse moi manger

‱MALIKA DIA‱

Coucher paisiblement sur ma natte qui est installĂ©e dans le salon qui est l'endroit oĂč je dors chaque jour. Je sens de l'eau versĂ©e sur moi ce qui me rĂ©veille en sursautant.

Ayant le visage mouillé et de l'eau dans les yeux, je passe ma main sur mon visage avant de regarder la personne qui vient de verser de l'eau sur moi.

Voix : qu'est ce que je t'ai dit à propos du fait que je ne dois pas te trouver en train de dormir lorsque je me réveille les matins ?

La voix appartient à ma tante Rokia, je vis avec elle depuis que mon pÚre est décédé.

Elle ne m'a jamais aimé et elle me l'a toujours montré, elle me déteste parce qu'elle se dit que c'est moins qui est porté malchance à mes parents.

Au début ça me faisait vraiment mal qu'elle me traite ainsi mais j'ai finis par m'habituer donc dÚs lors je ne fait que subit la méchanceté de ma tante en souhaitant qu'un jour elle puisse changer.

Moi je l'aime beaucoup car malgrĂ© tout elle m'a donnĂ© un toit oĂč dormir et je mange mĂȘme si ce n'est pas Ă  ma faim.

Tante Rokia : dĂ©pĂȘche toi de te levĂ© de cette natte et de nettoyer la maison, on a beaucoup de travail

Elle utilise pourtant le pronom personnel " on " alors qu'elle ne me donnera aucun coup de main dans ce travail qu'elle dit qu'on a.

Elle part et je me lÚve de ma natte qui est mouillée à cause de l'eau que ma tante à vexer et je vais la sécher à l'extérieur de la maison avant de me mettre à nettoyer la maison.

Quelques minutes plus tard, pendant que je nettoie les meubles de la maison, une main se pose sur mes fesses avec l'intention de les appuyer.

Je me retourne rapidement avec mon torchon en main et lĂ  je vois Moussa le deuxiĂšme fils de tante Rokia avec un sourire aux lĂšvres.

__ qu'est ce que tu fais ?

Moussa : toi tu aimes trop te jouer au sainte

__ c'est quoi ton problĂšme Moussa ?

Moussa : mon problĂšme c'est que tu me donnes trop envie, regarde moi tes fesses moue

J'ai reculĂ© en Ă©tant choquĂ© de ce qu'il vient de faire sortir de sa bouche sans gĂȘne.

__ Moussa, comment tu peux me dire ce genre de chose, je suis ta cousine

Moussa : et qui t'a dit que c'est interdit de sortir avec sa cousine ? Ça se fait trùs bien

__ Moussa va Ă  l'Ă©cole au lieu de dire des bĂȘtises, ça fait trois fois tu reprends la classe de terminal et ça ne te dit rien

J'avais remarqué que Moussa avait une maniÚre étrange de me regarder. Je voyais bien que celui-ci me draguait mais je faisais semblant de ne pas le voir.

Quelle histoire de vouloir sortir avec sa cousine ?

Moussa ( s'approchant de moi ) : je suis sûr que tu vas aimer si je te touche et je te prends bien dans cette cuisine

Il a voulu me toucher de nouveau mais j'ai reculĂ© ce qui ne l'arrĂȘte pas car il continue de s'approcher de moi.

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