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Ma nuit avec une obsédée

Ma nuit avec une obsédée

Sophia Story

5.0
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Chapitres

Parfois des choses nous arrivent dans la vie comme une punition, une punition qui vient des pĂ©chĂ©s de nos parents , grands parents mĂȘme ancĂȘtre ... Ces choses aussi parfois peuvent juste ĂȘtre une destinĂ©e, oĂč l'on se demande si nous sommes nĂ©s pour agir ainsi ou alors c'est juste un hasard #Ma_Nuit_Avec_Une_PossĂ©dĂ©e c'est l'histoire de qui dans une virĂ©e nocturne fera la rencontre d'une fille, une fille pas comme les autres qui dĂ©cidera de se lier Ă  lui pour se sauver de sa maladie, son emprise... Ainsi donc Carlito se retrouvera dans une guerre inconnue, sortie de nulle part qui pourrait mĂȘme lui coĂ»ter la vie....

Chapitre 1 Chapitre 01

Savez vous ce qu'on appelle une destinĂ©e ? Est ce que vous savez aussi que chacun de nous est nĂ© pour un but bien prĂ©cis ? Ça je l'ai compris une fois mais la question que je me suis tellement posĂ© Ă©tait de savoir POURQUOI MOI ? Je n'aurai su trouver de rĂ©ponses car le seul ĂȘtre qui pouvait me rĂ©pondre, je ne pouvais le voir, je ne pouvais le sentir, je ne pouvais mĂȘme l'Ă©tendre pourtant il Ă©tait lĂ  et savait tout

Je me présente, moi c'est Carlito Masso, originaire du centre et issu d'une famille assez compliquée

Mes parents sont décédées quand j'avais 15 ans d'une mort assez simple et bizarre... Les causes de la furent évoquerent une certaine malédiction qui s'abattait sur notre famille depuis trois générations aujourd'hui

Lorsque papa m'avait raconté cela à l'ùge de 12 ans je n'y avais pas cru, d'ailleurs lui non plus n'avait pas cru, il se disait que c'est normal qu'il meurt car c'est le chemin de tout le monde , mais lorsque à 15 ans j'ai vu mes parents partir comme de vulgaires poulets j'ai commencé à me dire que c'était sûrement vrai l'histoire de cette malédiction

Je fus donc obligĂ© aprĂšs la mort de mes parents de chercher Ă  voler de mes propres ailes.. j'avais 15 ans et c'est ainsi que j'ai arrĂȘtĂ© l'Ă©cole pour commencer Ă  faire des petits jobs, je vivais avec un ami, un grand frĂšre Ă  moi qui avait acceptĂ© m'hĂ©berger aprĂšs avoir eu pitiĂ© de moi par rapport Ă  tout ce que je subissais

Voici donc comment 10 ans plus tard, j'avais pu Ă©conomiser dans un petit cafĂ©tĂ©rias oĂč chaque matin je faisais des Ɠufs, spaghettis bref le dĂ©jeuner

- Donne moi... Tu as l'avocat ?

CARLITO: Oui

- Avocat complet

CARLITO: On met tout

- Mets tout!

CARLITO: Que tu pouvais dire non!! Toi tu manges plus que tout le monde et j'espĂšre que tu ne vas pas me dire aujourd'hui que tu n'as pas l'argent

- Je te paye aujourd'hui tout ton argent d'ailleurs

Je m'étais déjà familiarisé avec les gens, surtout les clients fidÚles, on s'entendait tellement bien et jusqu'ici je n'avais aucun soucis avec personne

#AU_TELEPHONE

TREVOR: Grand tu es toujours au boulot ?

CARLITO: Je rentre dans moins de 30 minutes

TREVOR: Tu as toujours ma deuxiÚme clé ?

CARLITO: Oui

TREVOR: Va là-bas, tu me débranches le fer à repasser que j'ai laissé brancher dans la chambre, moi je suis déjà loin

CARLITO: D'accord

Trevor était donc celui qui m'avait pris sous son aile lorsque j'étais en difficulté, il avait toujours été là pour moi.. présent à tous les niveaux c'était mon grand frÚre

Comme moi il se battait dans la vie pour pouvoir s'en sortir.. à un ùge de ma vie il m'avait proposé de prendre mon envol et de vivre seul car c'est comme cela d'aprÚs lui qu'on devenait un homme

Ce jour il Ă©tait tellement pressĂ© qu'il avait donc laissĂ© le fer Ă  repasser brancher.. j'ai mĂȘme fermĂ© plus tĂŽt et je suis allĂ© chez lui.. ce n'Ă©tait pas lapremiĂšre fois que j'allais chez lui ainsi puisque nous avions habitĂ© ensemble.. j'ai ouvert normalement et je suis entrĂ© jusqu'Ă  dĂ©brancher les fameux fer Ă  repasser

CARLITO: Hum.. Qu'est ce qui pouvais bien distraire le type ci au point d'oublier de débrancher le fer ?!

M'Ă©tais exclamĂ© en me posant la question Ă  moi mĂȘme, en voulant me retourner j'ai cru apercevoir quelqu'un qui passait en toute vitesse vĂȘtu de blanc dans la chambre

CARLITO: Eh! C'est quoi ça ?!

J'étais dans la chambre mais comment cela était possible qu'il y'ait quelqu'un ? AprÚs avoir réfléchi et me rendre compte que tout ceci était tellement absurde, je suis sorti de la maison et jai rejoins ma chambre

En rentrant, je voyais des personnes qui me regardaient comme quelqu'un qui avait fais ses besoins sur lui.. je ne comprenais pas.. j'ai pris une moto pour le chez moi

J'habitais pas loin de Trevor, quelque chose comme dix minutes de route en moto, on a roulé et à un niveau le mototaximan failli renverser une jeune petite fille..

CARLITO: Attention?!

Je ne sais mĂȘme pas ce qui s'Ă©tait passĂ© mais j'avais fermĂ© les yeux et quand je les ai rĂ©ouvert, force Ă©tait ma joie de constater que il ne l'avait pas touchĂ©

CARLITO: Mais qu'est ce qui prend mĂȘme les gens ? Laisser un enfant traverser seul la route comme ça ?! AprĂšs elles ( les mamans ) diront qu'elles sont responsables.. laissez traĂźner une si petite fille en route, c'est terrible.. mon frĂšre toi mĂȘme tu vois ça comment ?

Il ne me répondait pas, j'ai demandé deux fois pensant qu'il n'avait pas attendu car on était sur la moto, pourtant je venais là de lui parler à l'oreille mais il était tranquille...

Moi aussi j'ai décidé de rester tranquille sans plus lui parler et ceci jusqu'à ma destination..

CARLITO: C'est bon lĂ  !

Je suis descendu de la moto et le temps pour moi de fouiller ma poche pour lui donner son argent, j'avais juste entendu le bruit de la moto qui s'en allait déjà droit devant à vive allure

CARLITO:. TON ARGENT! TON ARGENT!

Crias je!! Mais il ne s'est pas arrĂȘtĂ©, il a foncĂ© jusqu'Ă  disparaĂźtre..

DĂ©jĂ  trois phĂ©nomĂšnes bizarres qui m'arrivent en cette journĂ©e, je ne comprends pas trop ce qui se passe.. peut-ĂȘtre il me faut une biĂšre ou alors faire une petite sortie... C'est mieux une sortie me dis je et que ça me fera du bien...

Alors le soir , j'appelle mon grand frĂšre Trevor, car il m'est impossible de sortir sans lui si c'est pour une biĂšre ou pour un peu de fĂȘte surtout que c'est le dĂ©but du week-endAU_TELEPHONE

CARLITO: Trevor, tu es déjà rentrée ?

TREVOR: je viens a peine d'entrer comme ça a la maison

CARLITO: D'accord! On dit quoi? On prend une le soir ?

TREVOR: Je suis partant.. disons donc 22h par la

CARLITO : Ça marche

Je me suis apprĂȘtĂ© et Ă  21h30 j'Ă©tais dĂ©jĂ  prĂȘt, j'ai rappelĂ© Trevor et on s'est donnĂ© rendez vous dans un coin oĂč on allait d'habitude et Ă  22h exactement nous fĂ»mes dĂ©jĂ  ensemble

TREVOR: Mais comment c'est plein à craquer comme ça aujourd'hui ?

CARLITO: je voulais mĂȘme te demander ça

Je n'avais jamais vu ce coin plein ainsi, malgré tout on trouva deux places et on s'est installé, la soirée était belle.. les gens dansaient, parfois aussi je me levais pour faire certains pas de danse ..

Tout d'un coup je sentis comme un Ă©clair le regard de quelqu'un sur moi... Oui je l'avais ressenti comme ci la personne m'avait carrĂ©ment touchĂ©, et en mĂȘme temps je me suis retournĂ© vers la personne...

Waouh! Une fille pas comme les autres, ses yeux grisùtres et ses longs cheveux bouclés, ses lÚvres pulpeuses et roses, j'avais une déesse qui était entrain de me regarder, puis elle me lança un sourire et disparu dans le snack au milieu les gens

CARLITO: Gars je viens de voir une fille lĂ 

TREVOR: OĂč ça ?

CARLITO: LĂ  ! Mais elle a disparu lĂ  entre les gens

TREVOR: Ah! Peut-ĂȘtre elle est allĂ©e s'asseoir avec ses gars

CARLITO : C'est fou comme elle Ă©tait belle.. mince! Bref je vais faire un tour aux toilettes

Les toilettes étaient séparés par un mur qui divisait celui des hommes à celui des femmes.. je suis entré et j'ai uriné en sortant qui vois je devant la porte.. ma mystérieuses déesse

Je ne sais avec qui elle parlait mais lorsqu'elle m'a vu elle m'a encore souri et j'ai trouvé le courage de lui parler ...

CARLITO: Bonsoir

Elle m'a juste salué avec sa main sans répondre, tout ceci avec ce sourire qui n'etait pas synonyme de repousse

CARLITO: Carlito, t'es avec quelqu'un

- Juste des amis mais bon, je voulais déjà rentrer, je ne me sens pas trÚs à l'aise là-bas

CARLITO: Non! Si tu veux encore t'amuser, permets moi de t'inviter

Elle m'a juste encore souri, j'ai pris sa main et elle n'a pas résisté, nous sommes allés nous asseoir sur notre table et tout de suite j'ai fais les présentations et c'est à travers Trevor quand elle lui donnait son nom que j'ai su qu'elle s'appelait

CARLITO: Nadia, dis moi tu es du coin

NADIA: Peut-ĂȘtre oui , peut-ĂȘtre non! Un jour tu sauras

CARLITO: Ça veut dire que tu comptes me revoir

NADIA: Pourquoi pas?! Toi tu ne veux pas ?

CARLITO: Non non ce n'est pas ce que j'ai dis, moi bien-sûr que je veux te revoir

NADIA: Ah d'accord

Elle se mit encore Ă  sourire... Je suis un homme et dans ma tĂȘte, je me suis dis que je pouvais facilement rentrer avec moi Ă  la maison, vue la maniĂšre dont elle Ă©tait collĂ©e Ă  moi, c'Ă©tait une proie facile et c'est ce qui se passa...

Lorsque je lui ai proposé de rentrer à la maison elle m'a dit

NADIA: sans soucis!

Trevor et moi on s'est regardé et on s'est compris.. il était 3h30 quand on quittait le snack, Trevor a prit sa route et moi la mienne accompagné de Nadia

Nous sommes arrivés à la maison et il n'y avait aucun problÚme, j'ai pris un bain ensuite elle aussi puis elle est venue se coucher toute nue prÚs de moi et nous avions fait l'amour comme ci on se connaissait depuis tellement c'était bien..

AprÚs tout cela, j'étais fatigué ainsi qu'elle, alors on s'est endormi, elle était couché sur mon torse, à un moment je ne ressentais plus le poids de son corps sur moi, je me suis réveillée et Nadia avait disparu de la chambre... Je ne la voyais plus nulle part...

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Ahhh le Ghana je ne m'en lasse pas de le dire et le redire est un pays magnifique, je ne sais pas pour avant, pour nos ancĂȘtres oĂč bien pour nos parents enfin peu importe quand mĂȘme aujourd'hui le Ghana est l'un des pays le plus mouvementĂ© cotĂ© show, c'est devenu un Disney land pour adultes mdrr, et je peux vous dire un truc, ce qui se passe au Ghana reste bien Ă©videmment au Ghana, ici c'est toujours la fiesta, chacun fait comme bon lui semble, tu porte ce que tu veux personne ne te critique et c'est exactement ce que j'aime ici , dans cette ville ont ne sais plus si ont est le jour oĂč la nuit, et devinez quoi? On s'en fou mdr par ce qu'on est tout le temps entre soirĂ©es VIP, casino, boite etc.... qu'on soit une femme ou un homme on s'en fou le mieux est de se lĂącher et vivre comme ont se sent. Moi c'est David Éva j'ai 23 ans je suis fille unique de ma mĂšre mais j'ai des demis frĂšres et des demis soeur, ma mĂšre m'a eu avec un autre homme avant son mariage donc comprennez dĂ©jĂ  que je connais pas du tout mon vrai pĂšre, il Ă  complĂštement disparu de nos vies et tant mieux par ce que s'il Ă©tait lĂ  devant moi j'allais pas lui faire de cadeau, ma mĂšre disait tout le temps qu'elle allait me faire changer de noms par ce que je m'appelle exactement comme la mĂšre de son nouveau mari, mdr elles ne s'entendent pas bien, mon beau pĂšre est en quelque sorte un fils Ă  maman, ma mĂšre disait qu'elle le surveillait comme du lait sur le feu, et mĂȘme le jour de leur mariage elle a tout fait pour avoir une chambre qui est en collision avec leurs chambres, et dĂšs qu'elle entendait des gĂ©missements elle entrait brusquement dans leur chambre pour voir ce qui se passe 😂... Bref fini les grĂące matinĂ©es, l'universitĂ© commence demain et pour dire vrai je n'ai vraiment pas envie tellement c'Ă©tait bien les vacances.... Je vous laisse dĂ©couvrir la suite de mon histoire dans le tome 1 Je profite de l'occasion pour laisser aussi le tome 2 ici 👇 Bonne lecture Ă  vous

Coup de coeur: Mon Histoire

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5.0

Ça fait combien de jours que je suis plus sorti? Aucune idĂ©e mais assez longtemps vu l'Ă©tat pitoyable de ma chambre. Assiette sale versĂ©s de part dans la maison ; des habits sale et la tĂ©lĂ©vision qui Ă©tait toujours allumĂ© sur une seule chaĂźne et que je prenais jamais la peine de regarder le tout accompagnĂ© d'une musique forte emplissant la chambre et d'une porte toujours fermĂ© fuyant toute visite. Une douleur atroce m'empoigne le cƓur. Je ne saurais vous dĂ©crire cette douleur mais j'ai atrocement mal et je sens que cette douleur sera inguĂ©rissable vu l'Ă©tat des choses. Que dois-je faire ? Aucune idĂ©e mais plus j'y pense plus j'ai mal. Mounira ! Mounira ! Ce nom comment l'oublier aprĂšs tant de bonheur vĂ©cu auprĂšs d'elle ? Comment aprĂšs avoir vĂ©cu un cour instant de bonheur. Que s'est-il passĂ©? Comment suis je devenu son ennemi maintenant or elle ne jurait que par mon nom autrefois ? Comment ? Tant de questions que je me posait assis dans ma chambre. J'ai beau me convaincre qu'il existait plusieurs filles dehors, que je n'en manquerai de trouver plus belle qu'elle ; mais l'on ne connait que l'amour de sa vie une seule fois, oui son vrai amour n'apparaĂźt qu'une seule fois et moi j'ai laissĂ© filer le mien comme un sombre idiot ! Et j'ai grave dĂ©conner. Non! de quoi me reproches-t'on? Suis-je ce monstre que l'on accuse tant dans l'histoire ? Je refuse cette appellation!! Je suis juste un fautif de l'histoire. Je m'en fou du fait qu'on me traite d'orgueilleux , vantard, superstitieux, et arrogant d'ailleurs il fut un temps je m'en vantais de ces qualitĂ©s. Les gens m'avaient dit combien de fois c'Ă©tait mauvais bla bla...mais moi je trouve pas mal le fait que tu te sentes supĂ©rieur aux autres et de vouloir extendre ta domination. J'ai mal mais je suis trop orgueilleux pour le dire du moins le faire ressentir. C'est dĂšs lors que je comprends que ces amis avaient raison en me disant cela, et j'aurais dĂ» vraiment les Ă©couter. Si seulement je savais. Mais vu l'Ă©tat des choses trop tard pour faire marche arriĂšre. Et ma fiertĂ© m'empĂȘchait strictement. J'ai grave laa rage dĂšs que je vois sa photo enfin nos photos lorsque nous Ă©tions encore ensemble. mais que faire ? Je suis trop orgueilleux peut-ĂȘtre pour me rabaisser et je crois c'est ça qui me ferait mourir de chagrin. «Un homme ça pleure pas njoya! » Allez soit courageux me chante Sans cesse ma conscience» Mais avant que vous donnez votre avis, il est important que je vous situe sur l'histoire, avant de me juger, il est important que je vous fasse part des dĂ©tails de cette mĂ©lancolie que je vis actuellement. Ouais en ce temps j'Ă©tais en ma troisiĂšme annĂ©e en classe de Terminale, c'est Ă  dire que j'avais Ă©chouĂ© le BaccalaurĂ©at deux fois et je tentais ainsi ma troisiĂšme chance en classe de Terminale (A4 Allemand) Je vivais en ce temps dans la ville de Foumban : la citĂ© des arts une des grandes mĂ©tropoles du Cameroun! Et je frĂ©quentais le LycĂ©e bilingue de Foumban, l'un des meilleurs lycĂ©es du pays sans doute. Mes parents avaient louĂ©s une chambre pour moi dans une citĂ© non loin du lycĂ©e et mon cousin Farel venait d'arriver dans la ville et fut logĂ© ainsi dans ma chambre. Ce qui fait que nous devons des meilleurs potes. Jamais l'un sans l'autre, des complices les plus proches pas comme ces ennemis ou bien des personnes froides que nous Ă©tions devenus. Maintenant mĂȘme le mot ennemi ne signifie Ă  nous dĂ©crire, tellement nous avons la haine pour chacun ! Et si nous faisons un retour dans l'histoire pour que vous soyez situĂ©s ? Alors suivez l'histoire de Coup de cƓur ; une histoire peut-ĂȘtre vrai mais tellement incroyable. Je vous reviens pour que vous me faites part de vos avis !!

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