En quête du meurtrier (De l'amour à la haine, il n'y a qu'un pas)

Faire ce parcours n'a pas été facile pour moi. Entré dans l'armée militaire n'a jamais été ma passion. Je n'y ai jamais rêvé mais du fait des circonstances et des évènements qui ont fait leurs survenance dans ma vie , j'ai changé radicalement de vison. Il fallait à tout prix que je fasse ces sept ans d'apprentissage dans le camp militaire afin de pouvoir être prête à trouver le meurtrier de mon père et a venger sa mort.

Tout a commencé il y a 8 ans. C'était un Dimanche comme tout les autres . J'étais avec mon père dans notre spacieux salon . Nous étions entrain de mater un film d'action comme à l'accoutumée. Ce jour là j'avais opté pour Fast and furious. Mon père était quelqu'un de très travailleur. Il se rendait disponible pour moi que les Dimanches. Ce jour là nous étions assis dans le canapé en pyjama puisqu'il sonnait déjà vingt-et-une heure. J'étais dans ses gros bras dans les lesquels je me sentais en sécurité. J'avais mis ma tête sur son torse et il avait sa main dans mes cheveux et sa tempe sur ma tête. Il avait garder le bol contenant le popcorn et me le faisait manger de temps en temps. C'était une soirée cinéma.

À un moment le film avait prit une tournure intéressante avec des tires partout. J'avais toujours voulu apprendre à tiré puisque j'étais déjà majeur c'est à dire j'avais déjà 18 ans révolus à l'époque. Je voyais dans les affaires de mon père une ou deux arme sauf que je ne savais pas ce qu'il en faisait. Il n'était pas de la police. Il travaillait juste dans une grande banque dont-il en était propriétaire. Je me disais que l'arme c'était pour assuré sa protection contre les petits malfrats. Je me souviens lui avoir demandé ce jour là

- Papa , tu peux m'apprendre à tirer?

Il n'avait pas répondu et s'était juste contenté de sourire et de marquer ma tête d'un bisou. Je m'étais redresser et je l'avais regarder intensément pour lui faire comprendre que j'attendais une réponse. Il avait soupiré et m'avait dit

-Tu n'as pas besoin de ça chérie. Tes doigts sont trop magnifique pour garder une arme

J'avais tiré ma lèvre supérieure et j'avais croisé les bras pour lui montrer mon mécontentement. Ce qui lui avait fait sourire. Je lui avais dit d'une voix triste

-Mais c'est pour me protéger papa

Il m'avait regarder en rigolant doucement. J'avais froncé les sourcils puis il avait touché ma joue droite et m'avait dit

-Je suis là pour te protéger d'accord ? Et même s'il arrivait que je ne sois plus là. Rien ne pourra t'arriver

J'avais déglutit sur cette phrase. Je n'avais pas compris le sens alors je m'étais empressé de lui demander

- Pourquoi tu dis cela ? Comment ça tu ne seras plus avec moi ?

Il m'avait regarder tristement ou du moins c'était ce que j'avais pu voir dans son regard. Il avait ouvert sa bouche et m'avait dit que « C'était une façon de parler et qu'il ne sera pas toujours là avec moi »

- Ne dis pas ça papa , je serai toujours avec toi. Ne me dis pas le contraire. avais-je dis en me blottissant encore plus dans ses bras

- T'inquiètes pas mon bébé, papa sera toujours là. Je t'aime

Je ne lui avait pas répondu parceque cette phase avait sonné dans ma tête comme un adieu. Je m'étais contenté de sourire et de le serré fort.

Après que le film soit finit , il m'avait fait monter dans la chambre comme un bébé et m'avait dorloter jusqu'à ce que je m'étais endormie.

« Bonne nuit la puce » avais-je entendu avant de fermer définitivement les yeux

Je m'étais réveillé brusquement alerté par des bruits. J'avais eu le réflexe de regarder l'horloge et il était deux heures du matin. J'entendais les bruits provenir du salon alors je m'étais précipité là bas pour voir ce qui se passait. J'étais choqué par ce que je voyais. Mon père à genoux devant un homme assis dans notre canapé et deux autres debout avec leurs armes pointés sur la tête de mon père. Je ne pouvais pas voir leurs visages puisqu'ils étaient masqués de la tête au pied. J'avais crié comme une folle

- Papa

Il s'étaient tous retourner et j'avais vu de la peur dans les yeux de mon père. Il m'avait crier

- Pourquoi t'es sortie ?

Un des hommes était venu me prendre par le bras pendant que mes larmes avaient déjà débordées ma joue. Il m'avait mit à genoux aussi à côté de mon père puis celui qui était assis me fixait sans que je ne puisse voir la couleur de ses yeux. Il avait fait un signe de tête aux deux hommes qui étaient debout et un d'entre eux avait posé une arme sur ma tête en lui criant

- Alors Milano, tu vas nous suivre ou tu verras ta fille mourir

Mon père avait secoué la tête et lui avait dit de ne pas me faire de mal mais il avait redemandé la même chose en voulant appuyé sur la gâchette quand papa avait finalement cédé

- Je vais vous suivre mais épargné ma fille s'il vous plaît

J'avais attrapé sa main toute tremblante quand il me regarde en pleurnichant comme un enfant

- Shutt Shut , ça va aller d'accord ? Ça va aller. Pardonne moi chéri. Je suis désolé. avait-il prononcé

- De quoi tu parles ? Qui sont-ils papa ? Pourquoi ils nous veulent du mal ?

Je n'avais pas eu de réponse à mes questions quand celui qui avait pointé l'arme sur moi m'administre un seringue dans le cou. Une anesthésie je crois ou de la drogue puisque j'avais la vision flou dans les minutes qui avaient suivie et je voyais mon père partir avec eux. Je criait avec le peu de force qu'il me restait puis j'avais aperçu celui qui était assis dans notre canapé venir vers moi. Il m'avait regarder pendant longtemps avant de se retourner et de partir accompagné de mon père et des deux autres.

Je m'étais réveillé le lendemain toute faible. Je pensais que tout ce qui s'était passé hier était un rêve mais non. J'avais pleuré toute les larmes de mon corps et sans me lavé ni me brossé les dents , je m'étais rendu à la police. J'avais raconté tout ce qui s'était passé à Brunoy le chef de la police qui était mon seul oncle c'est à dire le frère de mon père. J'étais tellement dévasté qu'il m'avait emmené dans sa maison pour que sa femme puisse prendre soin de moi.

Ma mère ?? Vous vous demandez bien sûr pourquoi je l'ai pas mentionné. Eh bien c'est juste parce qu'elle nous a abandonné mon père et moi quand j'avais quatorze ans. Elle est partie du jour au lendemain avec une stupide lettre dans laquelle elle avouait qu'elle ne nous avait jamais aimé alors que tout allait bien. Elle faisait juste semblant et c'est pour cela que je la déteste.

Des mois et des mois sont passés sans que la police n'a pu rien fait pour retrouver mon père. Nous aurions eu une piste si seulement j'avais vu leurs visages ou même la couleur de leur peau mais ils se sont bien préparer. J'étais en total dépression. La femme de mon oncle et mes cousins essayaient de me remonter le moral à chaque fois. Après six bonnes mois , la police avait repéré un corps près d'un océan et après l'autopsie et les analyses , il s'agissait du corps de mon père.

Anéantis ? Je l'étais. J'étais complètement déboussolé. Mon père était ma vie , c'était mon tout et il ne pouvait pas me laisser ainsi . Ils n'avaient pas le droit de me l'arracher.

Un an après j'avais eu mon diplôme avec beaucoup de difficulté. Je pouvais commencer l'université mais j'avais décidé de rejoindre l'armée militaire pour retrouver ces hommes qui ont tués mon père. Mon oncle s'était opposé au départ mais j'étais décidé et rien ne pouvais m'arrêter. Il m'avait donc inscrite dans l'armée militaire en Belgique parce-que je l'avais décidé moi même.

Aujourd'hui j'ai finis et je suis prête pour rentrer dans mon pays d'origine afin de creuser de fond en comble pour retrouver ces assassins.

Mon nom est Miley Cyrus. Je suis Italienne. Du haut de mes vingt-cinq ans , je fais plus d'un mètre 83. Une taille que j'aime bien et qui malgré ça n'entache rien a mon physique. Niveau comportement , c'est zéro gentillesse , zéro politesse enfin pas tout le temps et je suis toujours sur les nerfs. Zéro douceur raison pour laquelle je suis sadomasochiste.

Assise dans ma chambre d'hôtel que j'ai loué il y a deux jours après avoir quitté le camp de formation , je mate la ville à travers la baie vitrée. Il est dix heures du matin et mon vol pour l'Italie est à huit heures du soir. La sonnerie de mon téléphone me sort de ma torpeur. Je réponds au numéro inconnu qui m'a appelé mais il s'avère que c'était l'un de mes sexes friend. Je le raccroche au nez pendant qu'il me disait qu'il voulait qu'on se voit. Je supprime son numéro et le numéro de tous les autres. Je pose le téléphone et me dirige vers la salle de bain quand quelqu'un frappe à ma porte. Je lance un juron et ouvre quand je v6ois devant moi Narine. Mais qu'est-ce qu'elle fou ici ?

Narine , c'est aussi une fille de l'armée. Nous avons partagé le même dortoir et elle a toujours voulu être mon ami sauf que je ne l'ai jamais accepté. J'en ai rien à foutre.

Devant ma porte , elle me sourit de tout ses dents pendant que moi je fronce les sourcils et lui dit d'une voix amer

- Qu'es-ce que tu fou ici ?

Son sourire s'élargit encore plus et elle me pousse et entre dans ma chambre avec deux grosses valises que je n'avais pas vu. Mes sourcils se froncent encore plus et elle ose s'asseoir dans mon lit avant de faire sortir un billet d'avion. J'ouvre grand les yeux en essayant de comprendre quand elle ouvre sa bouche et me dit

- Je viens avec toi en Italie

- QUOI ? Cris-je dépassé. Non mais elle est vraiment tombé sur la tête celle-là. Pourquoi elle veut me suivre alors qu'elle n'a personne en Italie. Elle est Belge alors qu'est-ce qu'elle veut faire en Italie

- Non , tu n'iras pas avec moi dis-je en croisant les bras

- Je n'ai personne ici et je n'ai même pas d'amis. J'ai perdu mon père et ma mère. Mon oncle me déteste parce-qu'il pense que c'est moi qui ai tuer mes parents. S'il me voit , j'irai en Chine dans le village de ma mère et il me donnera en mariage forcé. S'il te plaît laisse moi venir avec toi. Okay si tu ne veux pas , tu peux me laisser une fois qu'on aura atterrit. Je saurai me débrouiller. Je comprends que tu ne veux pas être mon amie mais quand même tu me dois une. Je t'ai quand même appris comment regarder un serpent dans les yeux. Dit-elle en souriant. Pff la maline

Je la regarde intensément en analysant les phrases du début. Elle est orpheline comme moi et a un oncle qui l'a déteste contrairement à moi. J'ai encore une famille. Je ne lui dis rien et m'enferme dans la douche. Je prends mon bain tranquillement et sûrement puis je sort quelques minutes plus tard en la trouvant assise à la même position. Je soupire et lui dit

- Tu peux te détendre. Fais comme chez toi

- Sérieux ? Tu me laisse venir avec toi alors ? Demande t-elle excité comme un enfant à qui ont achète de nouveau jouets

- Moi aussi je suis orpheline mais j'ai un oncle qui m'aime

Son sourire s'efface et elle me regarde en coulant une larme. Mais c'est quoi son délire ?

- T'as pitié de moi ? C'est pour ça que tu veux m'aider ?

- Non. Je t'accepte juste comme mon amie si je peux le dire ainsi. Nous sommes peut-être pareil

Elle crit comme une folle et se jette dans mes bras. Non mais elle est bipolaire celle-là. Elle pleurait à l'instant et maintenant elle sourit. Je lève les yeux au ciel en soupirant d'agacement. Elle est trop collante. Mais je crois que j'aurais besoin de son aide une fois là bas. Elle est vraiment perspicace. Je connais bien ses talents d'espionnage. Ce n'est pas pour rien que je la laisse venir avec moi.

8 heure du soir

Je suis devant l'aéroport international de Narita après avoir réglé tout mes factures à l'hôtel. Nous nous aventurons Narine et moi à l'accueil. Après la fouille et les vérifications nous montons à bord pour notre destination.

L'ITALIE