En quête du meurtrier (De l'amour à la haine, il n'y a qu'un pas)
circonstances et des évènements qui ont fait leurs survenance dans ma vie , j'ai changé radicalement de vison. Il fallait à tout prix que je
Mon père était quelqu'un de très travailleur. Il se rendait disponible pour moi que les Dimanches. Ce jour là nous étions assis dans le canapé en pyjama puisqu'il sonnait déjà vingt-et-une heure. J'étais dans ses gros bras dans les lesquel
ans révolus à l'époque. Je voyais dans les affaires de mon père une ou deux arme sauf que je ne savais pas ce qu'il en faisait. Il n'était pas de la police. Il travaillait juste da
peux m'appre
tête d'un bisou. Je m'étais redresser et je l'avais regarder intensément pour l
rie. Tes doigts sont trop mag
s bras pour lui montrer mon mécontentement. Ce qui lui
pour me pr
t. J'avais froncé les sourcils puis il av
d ? Et même s'il arrivait que je ne
Je n'avais pas compris le sens alors
a ? Comment ça tu ne
voir dans son regard. Il avait ouvert sa bouche et m'avait dit que «
toi. Ne me dis pas le contraire. avais-je di
n bébé, papa sera to
se avait sonné dans ma tête comme un adieu. Je
monter dans la chambre comme un bébé et m'ava
is-je entendu avant de fer
on alors je m'étais précipité là bas pour voir ce qui se passait. J'étais choqué par ce que je voyais. Mon père à genoux devant un homme assis dans notre canapé et deux autr
Pa
j'avais vu de la peur dans les y
oi t'es
oux aussi à côté de mon père puis celui qui était assis me fixait sans que je ne puisse voir la couleur de ses yeux. Il ava
s nous suivre ou tu v
e faire de mal mais il avait redemandé la même chose en vou
e mais épargné ma fi
tremblante quand il me regarde
d ? Ça va aller. Pardonne moi chér
sont-ils papa ? Pourquoi
sque j'avais la vision flou dans les minutes qui avaient suivie et je voyais mon père partir avec eux. Je criait avec le peu de force qu'il me restait puis j'avais aperçu
corps et sans me lavé ni me brossé les dents , je m'étais rendu à la police. J'avais raconté tout ce qui s'était passé à Brunoy le chef de la police qui était
père et moi quand j'avais quatorze ans. Elle est partie du jour au lendemain avec une stupide lettre dans laquelle elle avouait
même la couleur de leur peau mais ils se sont bien préparer. J'étais en total dépression. La femme de mon oncle et mes cousins essayaient de me remonter le mora
père était ma vie , c'était mon tout et il ne pouvait pas me
dre l'armée militaire pour retrouver ces hommes qui ont tués mon père. Mon oncle s'était opposé au départ mais j'étais décidé e
entrer dans mon pays d'origine afin de creuser
j'aime bien et qui malgré ça n'entache rien a mon physique. Niveau comportement , c'est zéro gentillesse , zéro polite
onnerie de mon téléphone me sort de ma torpeur. Je réponds au numéro inconnu qui m'a appelé mais il s'avère que c'était l'un de mes sexes friend. Je le raccroche au nez pendant qu'il me disait qu'il voulait qu'on se voit. Je suppri
agé le même dortoir et elle a toujours voulu être mon ami
t ses dents pendant que moi je fronce l
e que tu
je n'avais pas vu. Mes sourcils se froncent encore plus et elle ose s'asseoir dans mon lit avant de faire so
s avec to
e celle-là. Pourquoi elle veut me suivre alors qu'elle n'a personne e
as avec moi dis-je
dans le village de ma mère et il me donnera en mariage forcé. S'il te plaît laisse moi venir avec toi. Okay si tu ne veux pas , tu peux me laisser une fois qu'on aura atterrit. Je saurai me dé
contrairement à moi. J'ai encore une famille. Je ne lui dis rien et m'enferme dans la douche. Je prends mon bain tranquill
étendre. Fais
alors ? Demande t-elle excité comme un e
orpheline mais j'ai
me regarde en coulant une larm
? C'est pour ça qu
mon amie si je peux le dire ai
sourit. Je lève les yeux au ciel en soupirant d'agacement. Elle est trop collante. Mais je crois que j'aurais besoin de son aide une fois
heure
s factures à l'hôtel. Nous nous aventurons Narine et moi à l'accueil. Après
IT