Login to Kifflire
icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon Déconnexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon
Triangle Amoureux

Triangle Amoureux

Divine ST

5.0
avis
120
Vues
24
Chapitres

J'avais à peine 16 ans lorsque j'ai rencontré Alfred. J'étais encore une jeune fille naïve et pleine de rêves. Élève en classe de première D et ayant eu mon entrée en première de justesse, j'étais terrifiée a l'idée d'affronter cette nouvelle classe qui avait été baptisé par nos ainés académique comme étant « le mur de Berlin ». Le premier jour de la rentrée scolaire, j'avais senti mon rythme cardiaque s'accélérer dès que j'avais franchis le seuil de ma nouvelle salle de classe et ce même jour je me suis promise de tout faire pour réussir mon probatoire cette année-là et de mettre de côté tout ce qui pourrais m'empêcher d'atteindre mon objectif. J'avais toujours été une élève studieuse et intelligente, je ne m'entourais que de personnes qui partageaient les mêmes principes et les mêmes ambitions que moi. Sauf que la classe de seconde avait été assez perturbante pour moi e que j'avais eu beaucoup de peine de braver ce niveau-là... Après un mois de classe, mes parents soucieux de me voir réussir ont décidé de m'inscrire dans un groupe de répétions pour améliorer mon niveau scolaire. C'est donc ainsi que j'avais commencé à aller au répétitions après les cours au lycée ainsi que les week-ends. Au répétition je m'étais faites de nouvelles amies un peu plus âgées et plus émancipées que moi. Plusieurs fois, je les avais entendues parler de leurs petits amis, même des sentiments qu'elles éprouvaient, et même des moments intimes qu'ils partageaient. Étant toujours très introvertie, je n'avais jamais d'histoire similaires à leurs conter et au bout d'un moment elles avaient fini par se lasser de toujours me raconter leurs secrets sans rien obtenir en retour.

Chapitre 1 1

J'avais à peine 16 ans lorsque j'ai rencontré Alfred. J'étais encore une jeune fille naïve et pleine de rêves. Élève en classe de première D et ayant eu mon entrée en première de justesse, j'étais terrifiée a l'idée d'affronter cette nouvelle classe qui avait été baptisé par nos ainés académique comme étant « le mur de Berlin ».

Le premier jour de la rentrée scolaire, j'avais senti mon rythme cardiaque s'accélérer dès que j'avais franchis le seuil de ma nouvelle salle de classe et ce même jour je me suis promise de tout faire pour réussir mon probatoire cette année-là et de mettre de côté tout ce qui pourrais m'empêcher d'atteindre mon objectif.

J'avais toujours été une élève studieuse et intelligente, je ne m'entourais que de personnes qui partageaient les mêmes principes et les mêmes ambitions que moi. Sauf que la classe de seconde avait été assez perturbante pour moi e que j'avais eu beaucoup de peine de braver ce niveau-là...

Après un mois de classe, mes parents soucieux de me voir réussir ont décidé de m'inscrire dans un groupe de répétions pour améliorer mon niveau scolaire. C'est donc ainsi que j'avais commencé à aller au répétitions après les cours au lycée ainsi que les week-ends.

Au répétition je m'étais faites de nouvelles amies un peu plus âgées et plus émancipées que moi. Plusieurs fois, je les avais entendues parler de leurs petits amis, même des sentiments qu'elles éprouvaient, et même des moments intimes qu'ils partageaient. Étant toujours très introvertie, je n'avais jamais d'histoire similaires à leurs conter et au bout d'un moment elles avaient fini par se lasser de toujours me raconter leurs secrets sans rien obtenir en retour.

--- oui ! c'est toujours comme ça ! tu es toujours en train d'ouvrir tes larges oreilles pour écouter les histoires des autres, mais toi tu ne dis jamais rien sur toi. M'avait un jour dit Murielle l'une de mes amies.

--- oui c'est vrai ! elle est seulement forte pour écouter, une grosse cachottière comme ça ! Avait répliquer Éva

--- mais... mais non, ce n'est pas vrai ! C'est juste que je n'ai pas d'histoire à vous raconter vous savez très bien que je ne fais pas encore ce genre de chose. Avais-je dis pour me défendre

--- mieux de toi madame la « vierge marie »

--- je suis certes vierge mais je ne m'appelle pas Marie.

--- tu te crois drôles ? ok saches donc que nous n'allons plus raconter nos choses à une petite cachotière comme toi !

---were ne vous fâcher pas ekier ! vous-même vous savez que je ne vous dis rien parce que je n'ai rien à dire, mais dès que j'aurais un petit ami je vais tout vous dire je ne vais rien vous cacher.

--- ahahah pour ça il faudrait d'abord que tu arrêtes d'effrayer ou de fuir tous les garçons qui te font des avances.

--- ahahah... quoi ? elle effraye ses dragueurs ?

--- oui ! bon d'abord quand elle marche au lycée elle a tellement l'air nerveuse qu'aucun garçon ne s'approche d'elle et pour ceux qui ont même le courage de l'aborder, elle fait des efforts surhumains pour les fuirent au lycée...

--- ahahah je vais mourir de rire ici aujourd'hui... elle fuit ses dragueurs comment ?

--- oui et je te dis... récemment au lycée il y a un garçon de terminale C qui lui a fait des avances, elle l'a catégoriquement repoussé, il s'est même débrouiller pour retrouver sa salle de classe mais depuis ce jour elle sort de sa classe la première juste après la sonnerie avant que le garçon n'arrive et elle ne revient en classe après la sonnerie de la fin de la pause lorsque garçon en question est déjà parti.

Eva ne faisait que se tordre de rire, tandis que moi j'étais morte de honte, je ne savais pas comment Murielle avait fait pour avoir toutes ses informations alors qu'elle n'était même pas dans la même salle de classe que moi.

--- ahahah... Eh ah ! on peut faire ça a « l'enfant » des gens ? Camilla il y a quoi sur l'intello là il n'est pas mignon ? je pensais que tu aimais les garçons intelligents.

--- toutes les filles aiment les hommes intelligents non ? avait je répliquer

--- ok dans ce cas pourquoi tu l'as repoussé ?

--- je vous l'ai déjà dit, je ne veux pas avoir de petit ami avant d'avoir fini le lycée.

--- Iki ! les principes de ça ! avait dit Eva d'un ton moqueur

--- non mais sérieusement au lieu de torturer « l'enfant des gens » comme ça il vaut mieux lui dire une fois pour toute que tu ne veux pas d'une relation avec lui.

--- j'ai essayé à plusieurs reprises mais il refuse de l'accepter, il se dit surement que je veux jouer à la difficile

--- yaaaah il est amoureux ! avait crier Murielle en riant

--- l'amour est bien oh ! heureux les amoureux. Avait dit Eva qui ne cessais de rire

Elles ont continué de rire et je me suis sentie encore plus gênée, et pourtant ce que Murielle racontait était totalement vrai, Jérémie était un jeune garçon, élevé en classe terminale C dans le même lycée que moi, très intelligent et très polie qui avait commencer à manifester de l'intérêt à mon égard depuis quelques temps. Mais comme je vous l'ai dit je ne voulais que rien ne puisses perturber mon année scolaire et surtout pas un garçon. J'étais catégorique je ne voulais pas en entendre parler j'avais des objectifs à atteindre et si pour cela je devais briser le cœur de Jérémie, alors ce serait dommage mais ce sera la meilleure chose à faire.

C'est dans cette même lancée que j'avais terminé mon premier trimestre avec brio, j'étais très fière de moi et je m'étais promise de travailler encore plus pour le trimestre suivant. C'est à cette même période qu'une nouvelle famille à aménager dans mon quartier, ils s'etaient installer dans une très belle maison ou les travaux de construction venaient tout juste d'être achevées. Nos nouveau voisins etaient assez particuliers, ils ne s'étaient pas rapprocher de nous pour avoir quelques informations sur le quartier comme le faisait la plupart des personnes qui aménageait dans un milieu inconnu. Mais au lieu de ça, ils restaient enfermer dans leur maison, on les apercevait lorsqu'ils sortaient de la maison et lorsqu'ils y revenaient.

Très vite les ragots sont aller bon train dans le quartier, on racontait qu'ils etaient des personnes arrogantes et beaucoup trop sur d'eux, qu'ils ne saluaient pas les gens ni eux ni leurs deux enfants.

--- je t'assure ma copine si tu vois la femme la norr vraiment elle marche comme si elle ne chiait pas, arrogante massa ! même saluer les gens la dépasse. Disais Rosalie une amie de ma mère qui vivait aussi dans le quartier. Elle était connue comme la plus grande colporteuse du quartier, elle avait toujours des choses à dire sur les gens. C'était le genre de personne qui pouvait te parler d'une personne et aller chez cette même personne pour mal parler de toi.

--- ahahah Rosalie pardon ne me fait pas rire ! comment tu peux dire des choses pareilles ? elle est véhiculée norr ? comment elle va faire pour vous saluer puisqu'elle passe devant vous en voiture ? elle ne va pas quand même garer juste pour descendre et vous saluer ! avait dit ma mère qui semblait s'amuser de la colère de son amie

--- aka Justine tu aime trop défendre les gens ! je te dis que la femme-là est arrogante eh ! elle se perds trop la tête même son mari là ! on ne les voit jamais, ils sortent tôt le matin avec les enfants et lorsque les enfants rentrent de l'école ils vont s'enfermer derrière leurs portails, ils ne jouent jamais avec les autres enfants.

--- mais peut être que leurs parents les a interdit d'aller à l'extérieur !

--- voila ! c'est exactement ce que je dis. Pourquoi est-ce qu'ils vont empêcher leurs enfants de sortir ? c'est simplement parce qu'ils nous regardèrent de haut et ils ne veulent pas que leurs enfants se mélanges aux pauvres.

--- hum Rosalie on peut aimer les problèmes comme ça ?

--- je ne cherche pas les problèmes je dis-moi seulement la vérité.

--- tu appelles quoi « vérité » ils viennent d'arriver dans le quartier, ils ne connaissent pas grand monde ils ont raison d'être un peu dans leurs coins.

--- ils vont connaitre les gens comment quand ils ne se rapprochent pas de nous ?

--- tu les jugent vite je pense, et en plus ce n'est pas tout le monde qui est extravertie comme toi ! peut-être qu'ils ne savent pas comment nous approcher.

--- tu vois ce que je disais ? tu aimes bien supporter les autres. Même ses enfants son pareils !

--- ils ont combien d'enfants ?

--- ils ont deux enfant je pense une fille d'environs 12 ans et un garçon de 18 ans par la...

--- massa ! tu es informée ma sœur je te donne les mains ! tu espionne seulement la famille là ?

--- non ekier je les aperçoit juste de temps à autres.

--- humm... d'accord je vois.

Je les espionnais derrière les rideaux qui séparent le salon du couloir, ma mère m'avait déjà dit plusieurs fois que ce n'étais pas bien d'écourter les conversations des autres surtout celles des adultes mais moi je ne pouvais pas m'en empêcher j'étais beaucoup trop curieuse.

--- regarde l'autre ! oh madame tu écoutes quoi là-bas ?

Ma mère venait de me surprendre, j'étais tellement concentrée que je ne m'étais même pas rendu compte que mon pied dépassait du rideau. Me sentant prise au piège, je suis sortie de ma cachette toute honteuse.

--- je t'ai déjà dit que la curiosité est un vilain défaut ? tu aimes trop le commérage ma fille

J'avais trop honte je n'arrivais pas à placer une seule parole tandis Rosalie ne cessait de rire elle semblait trouver la scène très drôle.

--- laisse l'enfant là ekier !

--- je laisse quoi sur elle Rosalie ? c'est parce que tu ne connais pas la fille ci ! elle fait toujours comme si elle ne dit rien mais en vrai c'est une grande cheftaine du commérage.

--- ce n'est pas vrai maman ! avait je dis avec une toute petite voix.

--- ah tais toi ! va dans ta chambre, va dormir ou fait tes devoir... non attends reviens je voulais même t'envoyer à la boutique là ! va dans la chambre et tu prends 1000 Francs à l'intérieur de mon sac noir qui est poser sur le lit, tu vas à la boutique et tu m'acheté un kilo et demi de riz.

--- ok maman j'y vais.

Lorsque je suis arrivé à la boutique il y avait beaucoup d'affluence donc j'ai dû attendre que le boutiquier serve ceux qui était là avant moi. Lorsque mon moment est enfin arrivé je me suis rapprocher du comptoir et j'ai dit :

--- bonjour Jeremy je veux un kilo et demis de riz.

--- hum ça fait 750 j'espères tu as la monnaie !

--- non je n'ai que 1000 francs

--- je n'ai pas de monnaie ici hein... rentre chercher 250 à la maison.

--- il n'y a pas de pièces à la maison Jeremy je fais donc comment ?

--- mais est-ce que c'est de ma faute ? je n'ai plus de pièces ici je ne peux pas crée l'argent pour te donner ! sauf tu peux prendre deux kilos de riz une fois là sa fait 1000 francs.

J'étais sur le point de rentrer lorsque j'ai entendu une voix masculine derrière moi qui a dit :

--- non c'est bon moi j'ai la monnaie de 500.

Je me suis tournée pour voir mon sauveur et je me suis retrouver en face d'un adolescent grand et très beau. Lorsque nos regards se sont croisées j'ai eu la sensation qu'un courant électrique venait de parcourir tout mon corps, ce que je ressentais à ce moment état juste indescriptible.

--- merci beaucoup mon fils. Avait dit Jeremy, le boutiquier à l'endroit de notre bienfaiteur

--- heho petite tu es encore avec moi ?

J'ai dû faire beaucoup d'effort pour détourner le regard du bel inconnu et de me concentrer sur ce que Jeremy était en train de me dire.

--- oui... oui je suis avec toi... avait je dis en balbutiant

--- ok donne-moi ton argent nous avons eu de la chance aujourd'hui.

--- oui c'est vrai

Jeremy ma remis mon riz ainsi que mon reliquat, mais je n'étais plus vraiment concentrée mon esprit était troubler par mon bon samaritain qui était à quelques centimètre de moi. Jamais encore je n'avais ressenti un tels trouble pour un jeune garçon et cela me rendais nerveuse.

J'étais à peine sortie de la boutique et je m'apprêtais à traverser la route lorsque quelqu'un m'a tapoté l'épaule et a dit :

--- bonjour.

Je me suis retournée et j'ai vue qu'il s'agissait encore de l'inconnu alors j'ai afficher un grand sourire et j'ai dit :

--- bonjour ! au fait, merci je n'ai même pas eu e temps de te remercier pour ce que tu as fait tout à l'heure !

--- non ce n'est pas la peine je venais acheter des choses avec cet argent de toutes façons. Ce n'est pas comme si j'avais fait un don à Jeremy

--- ahahah c'est vrai en plus ! bon c'est juste que les pièces sont devenus tellement rares dans ce pays que voir quelqu'un venir donner la monnaie de 500 comme ça pour rien fait presque peur.

--- ahahah tu es drôle !

--- non je dis juste la vérité.

--- bon si tu le dis.

--- excuse mon indiscrétion mais je suis très curieuse dis-moi tu es du quartier ? je ne t'ai jamais vue ici avant.

--- ahahah non ne t'inquiète pas tu as raison, je suis nouveau dans le quartier.

--- ah je comprends c'est vous les nouveau voisins...

--- certainement oui. Ah au fait je suis très impolie je ne me suis même pas présenter moi c'est Alfred et toi ?

--- Camilla.

--- c'est un très joli prénom

--- merci.

Il m'a tendu sa main en souriant, j'ai serré sa main en lui rendant son sourire

Plus il parlait plus je ne faisais que sourire comme une idiote. Moi Camilla, moi la fille qui était redouter dans tout mon collège parce que j'avais brutalement repousser tous les garçons qui avaient voulus s'approcher de moi. Oui moi la dure à cuire, la fille avec un cœur de pierre, je venais de tomber amoureuse d'un garçon juste après avoir posé les yeux sur lui et échanger quelques paroles avec lui.

Continuer

Autres livres par Divine ST

Voir plus
L'IRONIE DE LA VIE

L'IRONIE DE LA VIE

Aventure

5.0

J'ai commencé les classes dans cette nouvelle école qui m'a plu dès le premier jour. Le matin, je me fais accompagner par Philippe et le soir il vient me chercher où alors je rentre toute seule en taxi dépôt. Grand père Thomas a exigé que je prenne toujours le dépôt comme quoi je ne suis pas L'enfant de n'importe qui. Il est vrai que leur niveau de vie est complètement au dessus du mien et même au dessus de la vie que j'ai mené chez ma tante. J'ai des restrictions, des interdictions, quelques autorisations selon l'urgence et l'humeur des grands parents et j'en passe. Je ne suis pas contre ses restrictions puisque cela va me permettre de me concentrer sur les cours. A l'école, mes camarades de classe savent déjà que je suis la petite fille du célèbre homme d'affaires NGANDEU. Certains me lèche les bottes et d'autres me combattent comme si c'était moi la responsable de la fortune de mes grands-parents. L'argent ne m'a jamais vraiment impressionné. Même si ma grand mère vivait dans un trou je serais restée avec elle, parce que mon but était d'être aux côtés d'un parent de ma mère que je n'ai pas connu. Son argent ne me rend pas insolente ni arrogante. J'en ai énormément venant d'elle et de son mari mais je ne m'en vante pas. Cette année je n'aimerais pas avoir de copine ni de copain, je dois rester focus sur mon examen et l'avoir. Je dois montrer à mon père que je ne suis pas venue ici m'amuser ou uniquement bouffer les fonds de ma grand mère. Je suis venue étudier et je compte bien sortir de cette maison avec mes diplômes. Peut être après ça il pourra me parler. Il y a quelques jours j'ai fait faire la visite de la propriété à Sheila via un appel vidéo, elle a été émerveillé par la splendeur des lieux, et n'a pas hésité à solliciter un séjour avec moi. J'en parlerai avec grand père Thomas ou ma grand-mère pour avoir son approbation. Depuis que le mari de ma grand mère a voyagé, il n'est pas revenu. Maria m'a informé qu'il a l'habitude de se déplacer et de faire des semaines à l'extérieur pour des affaires. De même, je vois difficilement ma grand mère soit elle est en train de partir lorsque je suis à l'école, soit elle est endormie lorsque je suis à la maison. On parle rarement et à chaque fois que j'ai l'occasion d'en savoir plus sur ma mère, elle change de sujet. Je ne sais pas pourquoi elle évite de me parler d'elle.

Inspirés de vos vus

Renaissance de la femme adultère

Renaissance de la femme adultère

Honey Goldfish
5.0

Sarah Dans ma première vie, j'ai trahi mon mari et renié toutes les valeurs que mon père m'avait enseignées. Je détestais l'homme que mon père avait choisi pour moi. J'étais prête à tout pour divorcer, même à traîner son nom et aussi le mien dans la boue. Dans ma première vie, j'ai fait confiance aux mauvaises personnes. Je prenais mes ennemis pour des amis et l'homme dont je m'étais entichée n'était en fait qu'un menteur, un voleur, un tricheur! Dans ma première vie, j'ai tout perdu. Mon héritage, la compagnie que mon père avait mis des années à construire... et même tous mes rêves se sont envolés en fumée! Tout ça pour quoi? À cause d'une obsession. Non! De mon infatuation! Dario Marconi ne méritait pas que je lui sacrifie toute ma vie. Je le découvris à mes dépens, le jour de ma mort! Ce n'est que dans mes derniers instants de vie que j'ai réalisé qu'un seul homme m'avait réellement aimée... au point de se sacrifier pour tenter de sauver ma vie, se jetant dans les flammes! Ses yeux bleu gris acier et l'expression de son visage au dernier instant, quand cet édifice en feu s'est effondré sur nous, me hanteront toujours. Damien Lockwood, si nous nous retrouvons dans notre prochaine vie, je te promets cette fois de t'aimer et de te chérir jusqu'à la fin de mes jours! Mais... qui aurait dit que la vie m'offrirait vraiment une seconde chance? Cette fois, je ne referai pas les mêmes erreurs. Cette fois... je vais me racheter du mal que j'ai fait à tous mes proches... et toi le premier, mon cher ex-mari! Bref, cette histoire est l'histoire secrète de la Renaissance d'une femme adultère.

Le rebelle

Le rebelle

Suzangill
4.9

« Baisse les yeux », a-t-il dit avec une pointe d'avertissement dans son ton. Elle n'a pas tressailli quand il l'empoignée à la gorge, au contraire, elle l'a fixé du regard avec un sourire narquois sur ses lèvres meurtries. Un geste de défi. « Soumets-toi ! », a-t-il grogné contre elle cette fois, frustré par sa capacité à l'énerver au point de vouloir la blesser. « Beaucoup ont essayé à me faire soumettre, mais personne n'a réussi, mon compagnon. » Le mot compagnon sonnait comme une moquerie, lui faisant resserrer légèrement sa prise sur son cou. « Je ne suis pas comme les autres Vera. Je suis ton compagnon. Ton supérieur. Soumets-toi maintenant ! » « Tu peux toujours essayer. Mais n'oublie pas, tu n'y arriveras jamais. » Il pouvait la terminer avec juste un peu plus de pression sur son cou, après tout c'était le sort de beaucoup d'autres qui ont osé le défier, mais quelque chose dans ses yeux l'arrêtait. Il voulait éteindre ce feu dans ces yeux, les voir retourner au blanc alors qu'il s'enfonçait en elle, les voir le supplier à continuer alors qu'il la niait. Il voulait qu'elle se soumette à lui à tous égards. Corps et âme à la fois. Il voulait être son protecteur, son bourreau, son dominant, son amant et son compagnon. Tout ! Mais il ne savait pas que sa compagne n'était pas une Luna ordinaire qui se soumettrait joyeusement aux caprices et aux besoins de son compagnon. Elle était le personnage mystérieux qu'on appellait tous « le rebelle ». Le protecteur mystère du bien et sauveur des femmes et celui qui rend justice à l'inégalité créée par les hommes. Si seulement ils savaient qu'il était une femme. .................................................................. ..

Chapitres
Lire maintenant
Télécharger le livre