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Angel : la mafia le plus dangereux

Angel : la mafia le plus dangereux

Naomi 09

5.0
avis
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45
Chapitres

Cade est une Ă©tudiante en art en Italie qui tente d'Ă©chapper aux dĂ©mons de son passĂ©. Angel Falcone est le chef de la mafia sicilienne le plus dangereux. Lors d'un casse qui mĂȘle leurs destins, Cade n'a d'autre choix que de faire confiance Ă  l'impitoyable seigneur de la mafia Mais aprĂšs quelques temps l'amour se trouve entre les deux par hasard.

Chapitre 1 01

01

MON PREMIER SOUVENIR EST un ciel bleu SANS NUAGES et un pistolet argenté, chaud dans ma main.

Parfois, je me réveille en goûtant le gris ùcre de la fumée. J'entends la musique se fondre dans le bruit des cris. Je sens la pression du métal contre ma paume, brûlant.

Je sais que le souvenir ne peut pas ĂȘtre rĂ©el. Ma mĂšre et moi avons toujours vĂ©cu Ă  Los Angeles, oĂč des toiles d'araignĂ©es de smog Ă©pais recouvrent la couleur du ciel. Je n'ai jamais touchĂ© une arme avant, et encore moins en ai tirĂ© une.

Mais c'est difficile à croire―surtout maintenant, alors que je tiens le Beretta d'Angel.

En le pointant. Le viser.

L'homme en face de moi se fige.

Ce ne peut ĂȘtre que de la mĂ©moire musculaire. Je sens l'acier froid de la gĂąchette, palpitant sous le bout de mon doigt. Suppliant d'ĂȘtre tirĂ©.

Ma respiration devient inégale. Je ferme les yeux.

Bang.

Musique-musique joyeuse et palpitante. Le genre que vous entendez lors des mariages, des fĂȘtes. Le genre qui inspire la danse. La musique s'enclenche dans le silence, puis―

Bang.

En hurlant.

Je m'en souviens.

Mes yeux s'ouvrent, et la mémoire du sang et de la chanson disparaßt.

« Comment as-tu pu. »Je ne reconnais pas ma voix. Froid total, glace totale.

Dante lÚve les mains en tremblant. « Je devais le faire. S'il te plaßt, Cade. J'avais besoin d'argent. »

DerriĂšre moi, j'entends Angel tendu.

Du coin de l'Ɠil, la peinture se dĂ©place. Quelqu'un d'autre sort une arme―Vittoria ou Dominic. On manque de temps.

« Ne fais pas ça », supplie Dante. « Je te connais, Cade. Je sais que tu ne tireras pas. Tu ne me feras pas de mal, je sais que tu ne le feras pas. »

Si je ne le fais pas, il dira Ă  la famille GĂ©noise comment trouver Angel.

Ils reviendront pour elle. Ils vont la déchirer, la dépecer vivante. Ils attendaient l'occasion, et ça y est.

Tout ce qu'elle a, tout ce qu'elle est, ils le lui prendront.

Je peux pas laisser ça arriver.

Choisis maintenant, Cade.

La police nous encerclera en quelques minutes. L'alarme du musée retentit toujours. Si on doit s'échapper, ça arrive maintenant.

« Tu ne me connais pas, » je siffle.

Ses yeux s'Ă©carquillent et j'appuie sur la gĂąchette.

Bang.

IL Y A TROIS SEMAINES

JE ME RÉVEILLE AVEC LE genre de maux de tĂȘte qui ne peut ĂȘtre dĂ©crit avec prĂ©cision que par les peintures de l'Enfer de Bosch.

Que s'est-il passé hier soir ?

Vittoria. Rouge Ă  lĂšvres. Du vin. Encore un tir . . .

Un feu brûlant éclate contre ma tempe.

D'accord. Je tape ma main contre mon front-lisse de sueur et de cheveux emmĂȘlĂ©s. Penser n'est pas une bonne idĂ©e.

C'est Ă  ce moment-lĂ  que je remarque ma table de chevet.

Sauf . . . ce n'est pas Ă  moi.

Bouteille d'eau. Arme. Argent liquide-des euros se répandent négligemment sur le sol.

Mais ce sont les lunettes qui me font réaliser que ce n'est pas mon appartement.

Et si ce n'est pas mon appartement, ce n'est pas mon lit.

Lentement, lentement, je regarde sur le cÎté. Au monticule de draps blancs, montant et descendant trÚs légÚrement.

Je me bats pour garder ma respiration stable. Qui est lĂ -dessous ? Que vais-je trouver ?

Un homme à moitié nu qui a profité de moi ?

Un membre de gang qui a préparé un cocktail de drogue pour me mettre dans son lit ?

Un dangereux chef de la Mafia qui me tirera dessus à son réveil ?

La pile de couvertures remue, et je tressaille.

Merde. Et s'il se réveillait ?

Je me glisse hors des draps blancs. La lumiĂšre chaude du soleil imprĂšgne mon dos, se dĂ©versant par la fenĂȘtre. Pendant un moment, je trĂ©buche sur mes pieds.

Jambes nues. Ventre nu. Bras nus.

Mais je ne suis pas nue.

Je suis déshabillée jusqu'à mon soutien-gorge et ma culotte.

Alors . . . J'ai couché avec lui. Mais seulement de maniÚre littérale.

Ensuite, les vĂȘtements. Je fouille le sol Ă  la recherche de la robe et des talons de la nuit derniĂšre. LĂ . PliĂ© sur le dossier d'une chaise en velours. PliĂ© ?

Pas le temps d'y penser.

Je tire frénétiquement dans ma robe. Quel jour c'est aujourd'hui ?

Une horloge de grand-pÚre, en marbre noir avec des veines d'or, commence à sonner depuis le coin de la piÚce. Mes yeux se précipitent vers l'heure. Un quart à neuf heures.

Un quart Ă  neuf ? Merde.

Mon premier cours du semestre commence dans quinze minutes.

Et je porte toujours les vĂȘtements de fĂȘte d'hier soir.

Tu parles d'une marche de la honte.

Le tas de couvertures commence à gémir.

Vite, Cade ! Arme !

Je saute pour le pistolet que j'ai vu sur la table de chevet. J'enroule deux mains tremblantes autour d'elle. Je ne sais pas me servir d'une arme. Je n'ai jamais touché une arme avant. Ai-je ?

La pile de couvertures se contracte, se contracte, la personne Ă  l'intĂ©rieur a du mal Ă  les jeter. Avec un bruit sourd surprenant―et qui doit ĂȘtre douloureux―, ils roulent tout de suite hors du lit.

Une série de violents jurons italiens s'ensuit.

Sauf que la voix n'appartient pas Ă  un homme.

« Pourquoi pointez-vous cette chose sur moi ? »gémit la plus belle femme que j'aie jamais vue.

Pendant un instant, je ne peux que trembler, mes doigts verrouillés sur la gùchette. La chaude lumiÚre du soleil imprÚgne la femme alors qu'elle se détache des couvertures. L'éclat de ses épais cheveux noirs tombe en cascade sur ses épaules, une riviÚre d'encre. Ses yeux brillent comme du miel fondu, se prélassant dans la lueur du soleil.

Je resserre mon emprise sur le pistolet.

Et si c'Ă©tait une femme ? Je me suis Ă©vanoui hier, d'une maniĂšre qui ne s'est jamais produite auparavant qu'Ă  Los Angeles, lorsque Nathan―

N'y pense pas.

Elle a dĂ» me droguer. Elle a dĂ» m'emmener ici.

Et ? Et quoi, Cade ? Qu'a-t-elle fait ? Elle a pliĂ© tes vĂȘtements ! Est-ce que ça ressemble Ă  un meurtrier pour vous ?

La femme soupire. « Allez-vous tirer ou . . . ? »

Je peux pas rĂ©pondre. Mes yeux se promĂšnent dans la piĂšce, attrapant un grand portrait de femme Ă  l'Ă©chelle de la vie. C'est un tableau―je le reconnais instantanĂ©ment. Un de mes prĂ©fĂ©rĂ©s.

Le Danseur Désespéré. Accroché dans la galerie Santa Cecilia de l'autre cÎté de la ville.

« 1765. Peint par Corinthe Alexandrie Ă  l'Ăąge de vingt-six ans. ÉvaluĂ© Ă  un demi-million de dollars. »Je ne peux m'empĂȘcher de dire les mots Ă  haute voix. Que fait-il ici ?

Les yeux de la femme clignotent vers le tableau. Puis de retour Ă  moi.

« Tu ne te souviens pas ? »demande – t-elle.

Je secoue la tĂȘte sans un mot.

La femme lùche une malédiction colorée en italien. Et dit : « Nous l'avons volé la nuit derniÚre. »

MA BOUCHE S'OUVRE. FERME.

« Nous l'avons fait . . . on a fait quoi ? »

En quelques instants, la femme a comblé le fossé entre nous. Dans les dix secondes qui suivent, le pistolet est dans ses mains et un sourire narquois est sur son visage.

« La prochaine fois que vous pointerez une arme », dit-elle avec un clin d'Ɠil, jetant nĂ©gligemment l'arme sur le lit , » assurez-vous de dĂ©sactiver la sĂ©curitĂ©. »

Je recule, frénétique. Je retourne dans la table de chevet, et les objets se dispersent et entrent en collision sur le sol. Arme-J'ai besoin de quelque chose, n'importe quoi.

Mes doigts se referment autour d'une bouteille d'eau.

« Ne t'approche pas ! »Je préviens en le brandissant comme un couteau.

La femme s'approche. « Si j'avais voulu te blesser maintenant, je l'aurais fait. »Elle sourit d'un air de loup. « Et d'ailleurs . . . tu ne veux pas savoir ce qui s'est passé hier soir ? »

Oui. « Non. Je ne te crois pas. Je n'aurais jamais volé quelque chose au Musée. »

« Eh bien . . . J'étais assez persuasif. »

Je secoue la tĂȘte. « Je ne me souviens de rien. Ça . . . ça n'est jamais arrivĂ©. Je ne veux pas savoir. »

Quelque chose comme une dĂ©ception passe Ă  travers ses yeux. Si vite que ça m'a presque manquĂ©, mais―

« Oh, ce n'est pas ce que tu disais hier soir », dit-elle, son sourire assez vif pour trancher.

Qu'est-ce que je disais hier soir ?

« Je ne me souviens de rien ! »Je claque. Mes yeux se tournent vers l'horloge de grand-pÚre. Merde. Sept minutes pour aller en classe. « J'étais saoul, d'accord ? Je ne savais pas ce que je faisais. »

Continuer

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