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Nos souvenirs

Nos souvenirs

SKORE

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Nous avons eu une soirĂ©e trĂšs arrosĂ©e hier, Jacques fĂȘtait un contrat qu'il venait de dĂ©crocher avec la prĂ©sidence de la RĂ©publique. Il a bien sĂ»r, Ă©tĂ© pistonnĂ© par un de ses cousins. Il devra couvrir les Ă©vĂ©nements people, lorsqu'il y aura des fĂȘtes ou lorsque les enfants de ces gens auront des Ă©vĂ©nements d'ordre social, des galas et j'en passe. Nous avons rĂ©ellement fait du chemin.

Chapitre 1 01

Zelda Malonda Obiang...

Nous avons eu une soirĂ©e trĂšs arrosĂ©e hier, Jacques fĂȘtait un contrat qu'il venait de dĂ©crocher avec la prĂ©sidence de la RĂ©publique. Il a bien sĂ»r, Ă©tĂ© pistonnĂ© par un de ses cousins. Il devra couvrir les Ă©vĂ©nements people, lorsqu'il y aura des fĂȘtes ou lorsque les enfants de ces gens auront des Ă©vĂ©nements d'ordre social, des galas et j'en passe.

Nous avons réellement fait du chemin.

AprĂšs cette soirĂ©e, il n'Ă©tait nullement question pour nous de nous lever tĂŽt, non, j'avais concoctĂ© tout un programme pour fĂ©liciter mon homme et lui faire prendre conscience de ma prĂ©sence malgrĂ© toutes ces annĂ©es. Je lui suis restĂ©e loyale, au-delĂ  de tout, mĂȘme de ses incartades quand l'argent a commencĂ© Ă  couler Ă  flot.

J'Ă©tais en train de passer ma main sur le corps de Jacques en une caresse langoureuse quand j'ai entendu la sonnerie retentir avec insistance. Qui avait l'outrecuidance de dĂ©ranger les gens de trĂšs bonne heure comme ça ? j'ai dĂ©cidĂ© d'ignorer et j'ai gobĂ© Ă  pleine bouche jusqu'Ă  la garde le membre de mon mari, on avait encore le droit de se faire plaisir, aprĂšs tout on avait que la quarantaine et il Ă©tait important d'avoir une sexualitĂ© Ă©panouie jusqu'Ă  notre vieillesse. Mon corps rĂ©pondait encore, je n'allais donc pas me gĂȘner.

Jacques grognait de plaisir et avait imprimĂ© Ă  ma tĂȘte un mouvement et la cadence afin de lui procurer ce plaisir dont moi seule avait le secret.

Je l'ai laissĂ© se dĂ©verser dans ma bouche avant de me dĂ©cider de faire une pause et voir ce qui se passait, en plus, il semblerait que le gardien cognait, il y avait peut-ĂȘtre une urgence.

Je me suis saisie d'un de mes vĂȘtements lĂ©gers, un kimono et j'ai brosser mes cheveux. J'avais en effet pour rĂšgle de toujours ĂȘtre mise, je n'avais pas le droit de me faire voir en dĂ©braillĂ©, j'avais une rĂ©putation Ă  maintenir.

Quelle n'a pas Ă©tĂ© ma surprise de trouver assis Ă  ma terrasse William OwanlĂšlĂš et une belle jeune femme. J'Ă©tais tout de mĂȘme intriguĂ©e et surprise, qu'est ce qu'il pouvait bien venir faire chez nous de bon matin ?

- William ? qu'est-ce que tu fais chez moi aussi tĂŽt ?

- Je veux voir ton mari et toi bien sûr pour une affaire importante.

Son ton Ă©tait sans appel, j'avais bien l'impression que quelque chose le contrariait, mais je ne pouvais pas savoir quoi.

Je n'ai plus eu des nouvelles de William depuis notre divorce et franchement, il était le cadet de mes soucis, on s'était quitté sur une note douloureuse et trÚs longtemps aprÚs la perte tragique de notre fille, j'ai eu une dent contre lui.

Il Ă©tait la derniĂšre personne a avoir Ă©tĂ© en sa prĂ©sence et lorsque les soupçons se sont portĂ©s sur lui, j'ai vu rouge, mon enfant ! j'avais plein de dĂ©fauts mais je ne pouvais pas laisser quelqu'un faire du mal Ă  ma fille et ĂȘtre toujours avec lui, c'est comme si j'avais moi-mĂȘme participĂ©.

Quelques minutes plus tard, aprĂšs moi, mon mari est sorti nous rejoindre.

Je suis incapable de vous dire exactement ce qui s'est passé, tout s'est déroulé tellement vite, devant mes yeux et ceux des personnes présentes.

William venait de mettre des coups de poings rapides à Jacques, comme s'il était à l'entrainement d'une séance de boxe et qu'il devait taper rapidement sur le punchingball. Jacques titubait aprÚs l'avalanche des coups de poings qu'il avait reçu, il était étourdi. Je me suis mise à crier :

- Mais ça ne va pas William, tu débarques chez les gens et tu les agresses, ça ne va pas se passer ainsi

- Je m'en fou Zelda, toi aussi tu Ă©tais sa complice. Dis-moi tu Ă©tais avec lui lorsqu'il noyait ma fille ?

- Mais de quoi parles tu ? Jacques n'a jamais fait une chose pareille et tu le sais. C'est toi qui avait été vu en dernier avec elle.

- Monsieur Sortez de chez moi, je ne vous permets pas de venir m'insulter Ă  domicile, non. Jacques venait apparemment de reprendre ses esprits

- Je ne vous insulte pas, vous avez tuĂ© ma fille. il n'a mĂȘme pas honte de dire chez lui

- Je ne sais pas de quoi tu parles

- Tu le sauras au poste de police. Commandant, vous pouvez l'embarquer, il répondra de son acte.

Je ne voyais vraiment pas de quoi il parlait et Jacques qui lui aussi donnait de la voix, j'Ă©tais quelque peu perdue. William parlait de la mort de notre fille et accusait Jacques. Mais qu'est ce que c'Ă©tait cette histoire ? Jacques, faire du mal Ă  ma fille ? mais oĂč allai il chercher de telles idĂ©es? Jacques n'aurait pas pu faire du mal Ă  Wildya, il n'Ă©tait mĂȘme pas lĂ , il avait juste trouvĂ© l'enfant dans les bras de son pĂšre, je ne comprenais donc pas d'oĂč sortais cette histoire.

Ce n'était pas juste de venir réveiller le souvenir de notre enfant parti trop tÎt.

Des hommes en uniforme venaient d'entourer Jacques et je crois d'ailleurs que c'est exactement à ce moment que j'ai pris conscience de leur présence chez nous.

J'Ă©tais perdue.

- Appelle un avocat Zelda, ils racontent n'importe quoi, ils veulent me coller une histoire vieille de plusieurs annĂ©es que je ne connais mĂȘme pas. Tu as toi-mĂȘme tuĂ© ta fille, toute la ville est au courant des sacrifices demandĂ©s par ta secte.

- William pourquoi le fais-tu alors que tu sais que ce n'est pas lui ?

- Comme je sais que vous étiez marié alors que tu vivais avec moi dans ma maison et que tu m'as fait prendre ton mari comme chauffeur. Dis, qu'est-ce que vous avez fait d'autres dont je n'étais pas au courant ?

J'ai perdu de ma superbe lorsque j'ai entendu ce qu'il venait de dire. Seigneur, comment a-t-il fait pour le savoir ? personne n'Ă©tait censĂ© ĂȘtre au courant.

J'ai posé mon regard sur Jacques, je ne pouvais regarder ailleurs, j'avais besoin de réfléchir et de comprendre ce qui nous arrivait.

La journée avait si bien commencé, je serai normalement entrain de me faire prendre vigoureusement par mon mari, son coup de rein du sud serait entrain de me faire parler le meilleur fang de ma vie.

- Tais-toi Zelda, il ment. Oui on était marié et alors ? Jacques défiait William du regard.

- Alors, ça te faisait mal de savoir que je prenais ta femme dans toutes les positions et que le matin tu venais la récupérer alors qu'elle était pleine de moi

- Et alors, je l'ai moi aussi prise sur votre lit et j'ai aimé le faire en me disant que je te faisais un doigt d'honneur. C'est ma femme, elle l'a toujours été, tu n'étais que notre moyen de parvenir vers l'argent et tu nous as bien servi ton argent, sale idiot

- En attendant, je suis heureux avec femme et enfants et toi tu iras vivre dans la pisse avec les gens de ton espĂšce

- Vous n'avez rien contre moi

Le jeune dame qui accompagnait William, à ce moment a pris la parole pour répondre à Jacques

- Oh que si, nous avons quelque chose oĂč on te voit noyer la petite, et on voit comment elle se dĂ©battait.

Non ce n'est pas vrai, ça ne pouvait pas ĂȘtre vrai ce qu'ils disent, Jacques n'avait pas pu me faire ça, tuer mon enfant ?

- Oh, ce n'est pas vrai, seigneur pourquoi venir l'accuser. Jacques dis-moi que c'est faux, tu n'as pas osĂ© quand mĂȘme le faire ?

- Tu n'avais pas le droit de lui faire un enfant. Ce n'était pas les termes de notre arrangement, non tu n'avais pas le droit, le seul qui devait te donner des enfants c'était moi et tu le savais mais tu n'as pas tenu parole et tu as donné un enfant à cette espÚce d'homme qui bavait devant toi, comme si avant il n'avait jamais vu une paire de sein

- Tu as tué ma fille Jacques ? tu l'as tué ?

- Et je t'ai donné deux autres filles et un magnifique garçon qui font notre fierté. Ne sommes-nous pas heureux ? nos enfants font des merveilleuses études, une travaille déjà, pourquoi veux tu pleurer une qui n'est plus ?

Il s'est tournĂ© plein de haine vers William et lui a dit « j'ai pris plaisir Ă  appuyer sur sa tĂȘte dans l'eau et me dire que c'Ă©tait toi, sale idiot."

Oh non ce n'était pas possible, toutes ces années je dormais avec l'assassin de ma fille ? Jacques, non il ne pouvait pas me faire ça, il n'avait pas le droit.

Je me suis laissĂ© tombĂ© au sol en me prenant la tĂȘte entre les mains, mes larmes Ă©taient un torrent et je n'arrivais pas Ă  arrĂȘter cette crise de larme « oh mon Dieu, oh seigneur, dites-moi que ce n'est pas vrai »

Jacques, non pas lui, nous avons tellement vécu tant de choses ensemble, nous avons tellement construit une vie et de penser qu'il ait pu poser un tel acte était impossible pour mon cerveau...

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