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Ravivre la flamme

Ravivre la flamme

Lady MCD

5.0
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Synopsis : Renoncer de ses biens pour complètement fuir son passer et se créer une nouvelle vie Ana Maria avait enfin la vie qu'elle a toujours voulu avoir dans cette nouvelle vie mais quand Javier Barbera un homme d'affaires implacable et mystérieux tombe sous son charme dès la première rencontre, Elle se retrouve dans un dilemme entre refaire confiance à son cœur ou écouter sa tête.

Chapitre 1 1

En Espagne, Ville De Madrid.

Moi c'est Anna Maria Beltran. J'ai 30 ans malgré que physiquement je fais plus jeune .

Mon père est un riche homme d'affaire qui ,tout seul, m'a élevé après son divorce et la séparation avec ma maman qui s'est remariée avec un autre homme.

Il y'a quelques temps, j'étais fiancée à mon meilleur ami d'enfance. À quelques jours de mon mariage, j'ai été, abusée, violée par celui que je considerais #mon potentiel homme de la vie.

Apres avoir commis son viol sur moi, ce dernier a disparu pour de bon. La seule chose qu'il m'avait laissé c'était une lettre que j'ai pu découvrir une semaine plus tard.

Grâce à cette découverte puis à l'imprégnation de son contenu, j'avais pris la décision de quitter l'Angleterre, quitter mon père, d'abandonner le domicile parental et tout laisser derrière moi pour venir s'installer en Espagne dans ma ville natale.

Je suis quelqu'un de discrète .

Après avoir découvert que les gens n'aiment pas telle ou telle autre personne pour ce qu'elle est mais plutôt parcequ'elle porterait le nom d'untel, je me suis sevrée du luxe au sein duquel je baignais pour aller expérimenter une autre vie différente de celle que j'ai toujours connue jusque là.

Apartir de ces moments, je me suis fais la promesse d'adopter le changement pour me départir de l'utilisation de l'une des cartes bancaires de mon père pour l'achat d'une robe .

Apartir de ces instants, j'ai décidé, par mon travail, de me prendre en charge par mes propres ressources pour vivre le bonheur en fonction de la définition que je l'attribuais, pour embrasser le changement désiré pour être aimée pour ce que je suis et non parceque je baignerais dans une vie de rose ou de l'opulence.

Une fois arrivée à destination et que je me suis débarquée du taxi, le chauffeur m'aida à sortir les valises placardés dans le coffre.

Après son payement, il ( ce dernier) m'a fait ses adieux pour aller à la traque des potentiels nouveaux clients. Chose faite que j'ai pu observer avec un air innocent pendant quelques instants avant de me retourner face à ce grand immeuble dans lequel j'allais élire domicile.

Je me suis dirigée vers l'intérieur avec mes valises et grâce à l'ascenseur je me suis retrouvée vite devant la porte de l'appartement.

Avec l'emploi de la sonnette, j'ai pu avertir par le biais de la sonnerie ma présence devant la porte et on ne tarda pas à m'ouvrir.

- Tu dois êtes Ana Maria Beltran ? Ma Nouvelle colocataire ?

- Moi : Enchantée (Je lui serre la main)

- Ravis de te rencontrée Ana, Moi c'est Julia Rodriguez.

- Moi : Plaisir Partager Julia.

- Julia : Allez entre. Laisse moi t'aider avec tes valises.

- Moi : Merci !

Elle m'aida à porter mes bagages et on entra dans l'appartement où elle me conduisit direct dans l'une des chambres.

- Julia : Voici ta chambre. L'appartement est composé de 3chambres et nous y serons 3 à vivre, Toi, moi et ma meilleure Camille pour le moment elle est à son travail.

- Moi : Je vois, Merci.

- Julia : Pas de quoi, Je te laisse ranger tes affaires moi je suis juste au salon si tu as besoin de quelque chose.

- Moi : Oui merci encore.

Elle partit.

C'est maintenant j'eus le temps de bien regarder cette chambre et honnêtement elle n'arrivait pas en terme de confort à se prêter à une comparaison légitime avec celles dans les quelles j'avais l'habitude d'y vivre. Mais elle m'allait bien de par sa simplicité et de par la sérénité qu'elle offrait.

Ma joie d'être ici se lisait sur mon visage, je ne pus m'empêcher d'afficher un grand sourire, d'affûter un beau sourire ce que je n'avais pas fait depuis longtemps avant de me mettre à déballer mes affaires et de les ranger dans ma petite armoire.

Soudain mon téléphone se mit à sonner, c'était mon père.

<>

- Moi : Salut Papa !

- Sergio : Comment se porte ma princesse ? Bien installé ?

- Moi : Oui ne t'inquiète pas.

- Sergio : Tout sauf ça, Je m'inquiète trop pour toi quand j'y pense je n'aurais jamais dû te laisser partir aussi loin.

- Moi : C'est ce qu'il me fallait papa et crois moi t'as bien fait. Je me sens bien ici.

- Sergio : Si tu es heureuse alors sa me va mais ta mère n'arrête pas de m'appeler, elle ne supporte pas de te savoir dans le même pays, la même ville qu'elle et tu refuse d'aller vivre chez elle.

- Moi : Je ne veux pas trop déranger.

- Sergio : Enfin ma chérie c'est ta mère.

- Moi : Oui et aussi la femme d'un autre homme. Je ne veux pas la déranger avec son nouveau mari.

- Sergio : Bien c'est toi qui décide.

- Moi : Merci papa je t'aime.

- Sergio : Moi de plus, Prends soin de toi, Si tu as besoin d'argent ou de quoi que ce soit n'oublie pas de m'appeler.

- Moi : Je saurais m'en sortir toute seule allez bisous ciao papa.

- Sergio : Ciao ma chérie.

<>

Le soir .

J'ai passé toute la journée dans ma chambre à ranger mes affaires.

Je n'ai même pas vu le temps passé.

Je venais de finir et me posais sur le lit pour passer un coup de fil à ma mère. Un toquement de la porte m'interrompit .

J'allais ouvrir.

- Julia : J'espère que je ne dérange pas ?

- Moi : Pas du tout.

- Julia : Super (Soupire t-elle) Je viens de finir de nous faire le dîner, Je voulais qu'on attends Camille mais elle tarde trop et j'ai super faim donc vient.

- Moi : Oui je te suis (Je jetta mon téléphone sur le lit avant de la suivre)

On arrive dans la cuisine et on repart s'installer autour d'une petite table avec 4 chaises autour.

- Julia : Assieds toi je vais nous servir.

Je hoche la tête et elle nous servit à chacun dans une assiette, Une sorte de plat avec des haricots.

- Moi : C'est quoi ça ?

- Julia : Quoi tu ne connais pas ça ?

Je tourne la tête en signe "non" et elle se mit à rigoler.

- Julia : Non mais tu vie dans quel planète toi ?

Dans ma planète je me nourris plus des plats modernes et ce plat là ressemble plus à un plat traditionnel que moderne.

- Julia : Excuse moi ! Sa doit surement être parceque tu n'as pas grandis ici bref écoute ceci est la Fabada Asturiana, un plat typiquement espagnol que m'a appris ma grand-mère. Tu verras suis sur tu vas l'adorer.

Je souris légèrement pas du tout convaincue mais bon je ne veux pas la blessé en refusant de manger ça. Malgré ce fût dure je réussi à prendre une gorgé et honnêtement le goût n'est pas mal.

- Julia : Alors ? Comment tu trouve ?

- Moi : Sa passe..je veux dire cool, Le goût est vraiment bon.

- Julia : Je savais ça allait te plaire (Elle commence à manger)

- Moi : Et ta grand-mère ? Elle est mor...

- Julia : Non ! Elle vit à 1h d'ici avec ma grande sœur.

- Moi : Suis désolée je pensais...

- Julia : Non t'inquiète.

Tout à coup quelqu'un qui sonna à la porte nous interrompues.

- Julia : Enfin ! Ça doit être Camille, J'arrive (Elle s'en alla et revient plutards avec une fille aux cheveux courts)

- Camille : Elle c'est ? (Me pointe t-elle du doigt)

- Julia : Je te présente Ana Maria Beltran La nouvelle colocataire dont je t'avais parler et Ana je te présente Camille Garçia ma meilleure amie.

- Camille : Ravis de te rencontrée Ana.

- Moi : Moi aussi (On se serre la main)

- Julia : Alors tu te joins à nous ?

- Camille : Non j'ai pas faim, Je travaille dans un resto quand-même.

- Julia : hahaha, je savais c'est n'était pas nécessaire de t'attendre.

- Camille : Bah oui.

- Moi : Et toi Julia ? Tu travaille ?

- Julia : Oui, Je suis la nounou d'une fille de 7ans.

- Camille : Hahaha, c'est le travail le plus détestable que j'ai jamais entendu de ma vie.

- Julia : Pas du tout, j'adore m'occuper des enfants moi en plus ils sont super riches, il me paye mieux que ce que tu gagnes dans ton restaurant ma belle.

- Camille : Ouais mais travailler dans un resto c'est plus cool pour moi que de m'occuper d'un enfant.

- Julia : Chacun son avis.

- Camille : Et toi Ana ?

- Moi : Oh moi je viens d'arrivé d'abord, c'est à partir de demain je vais commencé à chercher du boulot.

- Julia : Tu veux quel genre de boulot ?

- Moi : J'ai un diplôme dans le domaine de la mode.

- Julia : Oh la vache ! Si j'étais toi j'aurais depuis longtemps postuler dans une grande entreprise de mode pour me faire pleins de fric.

- Moi : Non ! Je veux juste un travail simple avec du mouvement.

- Camille : Un travail simple comme ?

- Moi : Peu importe ! Tant que j'arrive à être indépendante avec ça va.

- Camille : Si le travaille de serveuse te plaît, Je pourrais te recommander à mon chef c'est un très bon ami à moi en plus en ce moment même il cherche une nouvelle serveuse car la dernière a été renvoyé pour manque de respect envers un client.

- Moi : Sa serait super !

- Julia : Vous êtes sérieuse là ? Avec ton diplôme de mode tu veux travailler en tant que serveuse dans un petit resto comme celui-ci ? Tu es bizarre !

- Camille : T'es juste jalouse parcequ'elle n'a pas voulu être nounou comme toi.

- Julia : Oui c'est ça 🙄

- Camille : Ne t'inquiète pas Ana aussitôt que je mettrai les pieds là-bas demain je parlerai de toi au chef.

Je souris.

- Camille : Bonne nuit les filles, Je suis super fatigué j'y vais me reposer.

- Nous : Bonne nuit aussi.

Camille s'en alla.

Moi et Julia on continua notre dîner tranquillement.

Le Jour suivant.

J'étais au téléphone avec ma mère.

<>

- Moi : Arrête d'insister maman, je ne viendrai pas vivre là-bas, Je me sens bien là où je suis et je reste là.

- Marta : Même si je te supplie ?

- Moi : Peu importe ce que tu feras. Enfin comprends que c'est difficile pour moi d'aller vivre dans la même maison que ma mère avec son mari, je ne suis plus une enfant j'ai 30ans tu te souviens ?

- Marta : Comment puis-je l'oublier ? Mais à mes yeux tu restes toujours ma petite fille, s'il te plaît chérie allez vient vivre avec maman je t'assure qu'Esteban ne trouverait pas d'inconvénient avec ça c'est un homme bien c'est pourquoi je l'ai épousé.

- Moi : Bye maman.

- Marta : Ana s'il te...(J'avais déjà raccrocher)

- Julia : Coucou (Elle Débarque, La porte n'était pas fermée)

Je sursaute.

- Julia : Désolée je ne voulais pas te faire peur.

- Moi : Non ça va !

- Julia : Camille vient de m'appeller elle dit que t'as été pris tu commence dès ce soir qu'elle t'enverrai l'adresse.

J'étais si contente de cette nouvelle que j'alla l'enlacer.

- Moi : Je suis tellement heureuse ☺️

- Julia : Beaucoup de courage et travaille dure.

- Moi : Promis.

- Julia : Allez ciao je pars à mon travail.

- Moi : Vas y fais attention à toi.

Le soir.

Le taxi 🚖 se gare juste devant le restaurant indiqué dans l'adresse et je sortis de la voiture.

Je regarde autour de moi super contente, c'était un magnifique simple petit resto qui se trouve au bord de la mer.

- Moi : C'est tellement beau ! 🙂

Et comme convenu avec Camille, Je l'envoie un petit message l'annonçant mon arrivé. Elle ne tarde pas à se présenter devant moi en uniforme de serveuse.

- Camille : Allez suis moi, Dépêche toi surtout on a beaucoup de clients ce soir.

- Moi : Oui je te suis.

Une fois dans le restaurant.

Camille m'amène voir un homme.

- Camille : Ana, Je te présente Le chef.

- Moi : Bonsoir chef !

- Oh non appelle moi juste Rafael ou Rafa, chef j'ai l'impression d'être trop vieux.

- Camille : Tu l'es, Tu as 35ans après tout.

- Rafael : Oh lâche moi 35ans c'est rien.

- Camille : Es tu d'accord avec lui Ana ?

Je souris juste légèrement.

- Camille : Tu vois !

- Rafael : Sa veux pas dire qu'elle est d'accord et arrête de parler, Bouge toi et va faire laver la vaisselle la cuisine est presque remplis de bol sale si tu ne veux pas être viré bref maintenant je pars Ana bienvenue.

J'affiche un sourire et il parti.

- Camille : Non mais quel culot celui là (Dit-elle en lui regardant s'éloigner)

- Moi : Je croyais que tu es serveuse.

- Camille : Je suis les deux mais puisque tu es là pour servir avec les quelques autres serveurses aujourd'hui ma place c'est faire la vaisselle on dirait.

- Moi : humm.

- Camille : Allez vient que je te donne ton uniforme.

...

Sa fait un moment depuis que j'avais commencé et j'adorais déjà ce boulot.

- Rafael : Te voilà Ana je te cherchais justement.

- Moi : Oui chef vous voulez quelque chose ?

- Rafael : Oui mais oublie chef appelle moi juste Rafa bref écoute moi je veux que tu pars prendre la commande de la table qui se trouve près du bord de la mer.

- Moi : Bien.

- Rafael : Mais surtout fais le bien, Les gens autour de cette table ne sont pas n'importe qui je t'ai choisi pour s'occuper d'eux par ce que t'as l'air plus instruite que les autres même si j'ai l'impression c'est la première fois tu tiens un plateaux dans tes mains, A chaque fois que je te regarde j'ai l'impression il va tomber enfin bref dépêche toi ne les fait pas attendre.

- Mo : Oui Chef !

- Rafael : Oh non c'est pas vrai ! Encore chef (J'étais déjà parti)

Je m'avance vers cette table et un homme dans les trentaines magnifiquement beau accompagné d'un autre plus âgé y était et semblait être dans une conversation assez complexe.

- J'arrive pas à comprendre que de tous les restaurant qui existe à Madrid vous Mr Fernandez ayez choisi celle-là pour notre rendez-vous d'affaire (Dit l'homme de trentaine d'une voix très froid)

- Mr Fernandez : Veuillez M'excuser Mr Barbera.

- Mr Barbera : Assez de vos excuses bidon ! Et la prochaine fois que vous m'enverrez dans un restaurant aussi pourri comme celui-ci je rompe notre contrat (Bafouille t-il)

- Mr Fernandez : Calmez vous s'il vous plaît Mr Barbera, sa ne se répétera plus je vous promets. Je m'étais juste dit que vous alliez adorer ce restaurant car il est simple et se trouve à côté de la mer.

- Mr Barbera : Je suis Javier Barbera la simplicité c'est pas mon truc vous pigez ?

- Mr Fernandez : Oui c'est la dernière croyez moi.

- Mr Barbera : Je l'espère pour vous.

NON MAIS POUR QUI IL SE PRENDS ? Ne comprends t-il pas que ses mots sont blessantes ? Quel taré.

- Moi : Escusez moi que voulez-vous commander monsieurs ?

- Mr Fernandez : Un Ca...

- Mr Barbera : On t'as jamais appris de ne pas rentrer dans la conversation des gens ? (Dit-il sans même me lancer un quelconque regard)

- Moi : Excuser moi ! J'ai bien attendu jusqu'à ce que je sois sur vous ayez finit avant de vous adressez la parole.

- Mr Barbera : C'est finit que quand je dis c'est finit t'as pigé ? (Réplique t'il toujours la tête sur son portable)

- Moi : Non !

Il s'arrête d'un coup en posant son téléphone sur la table sans pour autant me regarder.

- Mr Barbera : Pardon !

- Moi : Vous avez bien entendu monsieur !

Il affiche un sourire nerveux et roule un peu la tête.

- Mar Barbera : Tu sais au moins qui je suis pour me parler sur ce ton et avec autant de manque de respect ?

- Moi : Oui je sais qui vous êtes. Il m'a suffit juste quelques secondes avec vous pour savoir quel genre d'homme Arrogant, blessant, Insolent, condescendant, dédaigneux, fier, hautain, impertinent, méprisant, prétentieux, provocant, supérieur vous êtes.

Et c'est enfin qu'il se lève et tourne la tête vers moi. il me fixe droit dans les yeux comme s'il en lui était impossible de s'en détacher.

- Javier : Whaouh ! Tout ça pour moi ?

- Moi : Vous Voulez plus monsieur ?

Un sourire craquant se posa sur ses lèvres.

- Javier : Non se me suffit (Dit-il doucement impossible de se détacher de moi)

- Moi : Bien, Si vous n'avez rien à commander je pars.

- Javier : Non reste ! (M'attrape t-il le bras pour me retenir)

Je m'arrête mais retire direct sa main et sa lui fait sourire de nouveau.

- Javier : Je n'avais jamais rencontré une serveuse aussi intéressante de toute ma vie.

- Moi : Suis ravis pour vous cette fois ci.

- Mr Fernandez : Mr Barbera vous...

Il lui regarde tellement mal que ce dernier ne pu finir sa phrase.

- Javier : Vous savez très bien je déteste être déranger quand je parle et vous savez finalement j'annule ce contrat.

- Mr Fernandez : Quoi ? Mais Mr Barbera ne faites pas.

- Javier : C'est déjà fait.

- Mr Fernandez : Mais Mr...

- Javier : Je ne reviens jamais sur ma parole ! Levez vous et dégager j'aimerais être seule avec cette demoiselle (Dit-il tout en gardant son sourire quand il se tourne vers moi)

- Mr Fernandez : s'il...

- Javier : J'ai dit dégager ! (Vocifère t-il cette fois)

L'homme en question finit par se lever de sa chaise et il me regarde avec haine avant de partir.

J'ai lui es fait quelque chose moi ?

- Javier : Maintenant à nous mademoiselle.

- Moi : Vous m'avez toujours pas dit ce que vous voulez commandez monsieur Barbera ?

- Javier : J'adore quand vous m'appelez comme ça ! Ça sonne si bien dans votre bouche ! Et c'est tellement craquante (Soupire t-il)

- Moi : Est ce que vous me draguez Mr ?

- Javier : Sa serait un crime ? (Me demanda t-il droit dans les yeux en regardant quelques fois mes lèvres)

- Moi : Un très grand crime Mr !

- Javier : Dans ce cas j'aimerais commettre ce crime (Dit-il en fixant uniquement mes lèvres)

- Moi : Vous risquez de le regretter.

- Javier : Ce que je risque de regretter c'est de partir sans savoir le goût que ses lèvres charnues procure (Il dit seulement cela qu'il se penche sur moi et sa bouche se retrouve brusquement sur mon visage, Puis sa langue s'enfonce dans mes lèvres)

J'essaie par tous les moyens de le repousser mais il me plaque contre le mur et presse son corps contre le mien. À ce moment là c'est la scène de mon viole qui repassait en boucle dans ma tête.

Allais-je à nouveau revivre la même chose ?

Malgré tous mes efforts pour le repousser en vain. Il place mes poignets au dessus de ma tête et detâche ses lèvres du mien pour me regarder. Son regard assombri de désir changea d'un coup.

- Javier : Tu pleure ? (Dit-il choqué)

En effet mes larmes ne cessait de couler. Il me lâche direct et je me laisse tomber contre le mur.

- Javier : Je...je suis désolé..je ne suis pas un vio... (S'empressa t-il de dire mais je le laissa même pas le temps de terminer que je me lève vite et parti en courant) PUTAIN ! qu'est ce que je viens de faire là ? J'ai même pas demandé son consentement.

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