Login to Kifflire
icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon Déconnexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon
Double division

Double division

YEM

5.0
avis
17
Vues
23
Chapitres

L’avion vient de se poser sur le sol gabonais, nous ralentissons jusqu’à ce que ce que je vois les gens se bousculer pour descendre leurs bagages à main, enfin je réalise que je suis arrivé. Je me lève et récupère mon trolley de toute façon j’ai que ça comme bagage. Je passe les procédures sans problème avec un passeport diplomatique ç’est expéditif. Bled pourri, je sors et pose mes lunettes de soleil et pose ms lunettes de soleil sur mon nez. Revenir de Tokyo après un périple d’escale et atterrir à cette heure à Libreville c’est juste bof.

Chapitre 1 01

Prologue

L’avion vient de se poser sur le sol gabonais, nous ralentissons jusqu’à ce que ce que je vois les gens se bousculer pour descendre leurs bagages à main, enfin je réalise que je suis arrivé. Je me lève et récupère mon trolley de toute façon j’ai que ça comme bagage. Je passe les procédures sans problème avec un passeport diplomatique ç’est expéditif. Bled pourri, je sors et pose mes lunettes de soleil et pose ms lunettes de soleil sur mon nez. Revenir de Tokyo après un périple d’escale et atterrir à cette heure à Libreville c’est juste bof.

Je me dirige vers mon chauffeur et le suit jusqu’au véhicule. C’est avec un rythme de soul que je me laisse conduire à la maison. Quand on gare, je regarde l’immense bâtisse que Chris à acheter ici et comme à chaque fois je secoue ma tête en souriant.

Je pousse la porte et me rend directement dans mes appartements. Ils savent que je suis arrivé et doivent être attelle à me faire un bon repas. Tout ce que je veux c’est dormir.

Apres une douche bien chaude, je m’allonge et m’endors immédiatement. Il est 18 h quand j’émerge de ma bulle. Je prends mon iPhone dans mon sac à main ou je l’ai abandonné et me rallonge dans mes draps. 45 appels en absence, Chris 40 fois et mon majordome de Tokyo.

Je rappelle Chris

Lui : we honey tu dormais hein ?

Moi : comment tu as su ? Tu es trop bon

Lui : kiakiakiakia, alors bien reposé ?

Moi : ouais quand même, il est 18h le décalage horaire va me prendre

Lui : oui ça c’est clair, je suis toujours à Franceville pour terminer la procédure de l’achat comme je te disais. Je rentre certainement demain à 9h.

Moi : snif, snif

Lui : pleure pas, vais je vais en réunion, je te laisse.

Je demande qu’on me porte mon repas en chambre et après manger je me rendors devant une série

Ce sont des baisers , sur mes mollets qui m’ont réveillés, tout doucement j’ouvre les yeux et je sens sa bouche contre ma peau, il l’a parsème de baiser, je bouge un peu et il se rapproche de mon visage et e fait un méga baiser des qu’il atteint ma bouche.

Je ne le lâche pas, mes mains caresse déjà son dos et les siennes tiennent mes fesses. Il plonge sa tête dans mon chemisier et m’embrasse follement, et c’est dans cet élan que nous satisfaisons ce désir qui nous consument. C’est transpirant et essoufflé qu’il laisse tomber son corps sur moi.

Chris : tu me vides l’énergie, je vais le dire à mes parents

Moi : que tu as fait quoi ?

Chris : tchip

Moi : hum, j’ai même rien ressentis

Lui : tu as crié

Moi : vas la bas,

Je vais me faire une petite toilette, car je reviens continuer il faut me mettre en condition pour mes futurs gâteries.

Quand je sors de la douche monsieur est déjà sur sa tablette en train de lire ses emails, les lunettes sur les yeux. Mi m’approchant de lui et mettant mes bras autour de son cou.

Moi : bae tu ne vas pas recommencer je viens à peine d’arriver.

Lui : j’ai pu acheter l’entreprise et maintenant je travaille au nouveau plan a mettre en place pour effectuer un meilleur rendement. Il le faut chéri sinon tout cet investissement ne nous sert a rien. Tu as désormais 50% de part dans une multinationale, allez souris

Moi : toi et les chiffres. Et Atlantis ?

Lui : j’ai rendez-vous avec leur Directeur Général samedi matin à un brunch, nous aurons une occasion de fixer un rendez vos définitif car nous serons à ce brunch avec BGFI pour un autre contrat.

Moi : ok, Olam ?

Lui : validé lundi.

Moi : ok, normalement les quatre magasins fonctionnent à merveille. Quand j’étais à Londres j’ai eu une réunion avec la responsable comptable et les chiffres sont impressionnants. Bon, demain on va à la pointe Denis pour faire le point avec les investisseurs pour le financement du mole à agondje.

Lui : je sais chef… allez viens dormir

Quelques mois plus tard …..

Atlantis

Je suis stressé la réunion pour la présentation des avoirs de notre groupe à un nouvel acheteur. Atlantis va mal si nous n’arrivons pas à vendre ou entreprendre un partenariat qui va nous soulager de toutes ses charges c’est clair qu’on va droit dans le mur. Je suis en discussion professionnelle avec un franco- américain homme d’affaire qui voudrait voir cela de plus près. Apes qu’il ait reçu les chiffres catastrophiques, il a quand même engagé cette réunion. Je saisi le combiné de mon téléphone de bureau.

Secrétaire : oui monsieur Koffi

Moi : Mr Hunt sera là avec son staff dans moins de 5 minutes j’espère que tout est prêt ?

Elle : oui monsieur, ils viennent à peine de franchir les portes de l’entreprise, je les conduits en salle de conférence

Moi : ok

J’aspire, un bon coup. Je vais dans ma douche e regarde le miroir, « tu vas y arriver ».

Je pousse la porte en verre avec un sourire et salue tout le monde. Mes équipes font la mise en place et 4 heures plus tard. Hunt est le nouveau patron d’Atlantis. J’ai pu nous grignoter une part de 30% mais ce n’est rien du tout. Je suis dans mon bureau avec le nouveau patron de la boite.

Moi : quels seront vos exigences par rapport aux nouveau personnel.

Lui : je nais emmener 200 de mes meilleurs techniciens de terrains, ils seront logés, et payes par moi. Je garderai 100 employés que je jugerai utile à commencer par le Directeur Général que vous êtes, le problème d’Atlantis c’est situé dans l’accomplissement des tâches et leurs couts mais je vais vite pallier à ce problème.

Moi : merci, pour la confiance que vous me faites,

Hunt : je ne fais jamais confiance à personnes, je jauge plutôt si ils en sont digne. Un requin fonctionne comme ça.

Moi : gêné

Hunt : c’est votre famille (en regardant la photo sur mon bureau)

Moi : oui ; oui

Hunt : très beau portrait, je peux avoir encore un peu de Gin?

Moi en le réservant : bien sûr, pourquoi vous êtes-vous intéressé au Gabon ?

Hunt : Atlantis n’est pas mon premier acquis au Gabon, je suis propriétaire dans ce pays depuis mes 15 ans mon père à acheter ma première maison ici car il avait pleins d’acquis. Je suis son seul fils alors j’ai dû mettre ma main à la pâte après sa mort. Je n’aime pas ce pays mais bon j’y fais affaire, l’argent n’a pas d’odeur. Vais Monsieur Koffi je vais vous dire à lundi pour la mise en place de la nouvelle entreprise.

Moi : à lundi monsieur Hunt

Lui : Appelez-moi PDG

Moi : ok

Dans une rude poigné de main, il s’en alla avec son staff et ses colosses de sécurité. Cet homme avait un caractère bien trempé. Il aime le pouvoir et ça se voit qu’il sait le tenir. Je l’ai rencontré en Asie lors d’une conférence sur les grands investisseurs d’Afrique. C’était une conférence pour discuter des stratégies évolutives dans l’entreprenariat en Afrique. Je vis par contre un homme d’affaire ancré dans la finance, maitrisant les circuits économiques, il a exposé son plan de façon très claire. Et c’est au sortir de la conférence que j’ai appris qu’il avait des acquis et même des entreprises au Gabon. La prise de contact fut facile car dans ce genre de rencontre les cartes de visite vont bon train. J’ai lancé un appel d’offre pour l’achat de certaines parts dans l’entreprise. Et j’ai été contacté par le chargé des affaires de monsieur Hunt et de plusieurs autres boites. Aujourd’hui ce contrat a été signé par les plus rudes en affaire en espérant que Atlantis se fasse du sang neuf.

Je viens de garer chez moi et les chiens aboient à n’en plus finir, j’ai déjà le crane en émoi. Dès que je gare chez moi, je suis stressé. Je descends et rentre, a vu d’œil il n’ya personne dans cette maison.

Je vais au salon et sur la table il y’a un mot. Je déplie le papier, « chéri, je vais déposer les enfants chez maman, il faut qu’on discute.

Pff, Valéry qu’es ce qu’elle va me sortir cette fois, elle me soule, ma femme es adorable mais l’aimer me fatigue. Je vais prendre une douche et essaye de décompresser sous l’eau chaude et les jets masseurs. Je ferme, le robinet, m’essuie, enfile mon pyjama et vais à la cuisine me faire à manger en entrant je la trouve assise sur la table de la cuisine son ordinateur ouvert.

Moi : bonsoir

Elle froide : bonsoir

Moi : alors c’est quoi cette tête et de quoi tu veux qu’on discute ?

Elle me regardant dans les yeux d’un ton calme et ferme : Koffi, depuis quand tu as un enfant dehors ?,,

Moi :🤐🤐🤐🤐🤐🤐🤐🤐🤐

Like, commente et partage

Continuer

Inspirés de vos vus

Autres livres par YEM

Voir plus
Chapitres
Lire maintenant
Télécharger le livre