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UN ENFANT À TOUT PRIX

UN ENFANT À TOUT PRIX

Nelly Carelle

5.0
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19
Chapitres

Je suis Aline trentenaine approchant la quarantaine mariée à Léon depuis pus de 10 ans, la vie nous a offert certains privilèges et nous vivons dans l'opuence. Malgré cette richesse il manque un enfant pour que notre bonheur soit complet ce petit être innocent qui fait la joie d'une femme et nous fait voir la vie autrement, malheureusement je n'ai pas eu cette grâce d'en avoir pas que je sois stérile! Non! Depuis des années j'ai fait les tours chez de nombreux gynécologues, bu des concoctions traditionnelles sans succès, mais mon désir de maternité s'intensifiait au fil du temps jusqu'au jour où le destin plaça la jeune Anna sur mon chemin, une adolescente désespérée et brisée à la rue de surcroit enceinte de jumeaux. Prise de pitié je l'ai soutenu et aidé mais sous la pulsion de mon désir ardent de devenir mère j'ai profité de la faiblesse de celle-ci pour hériter d'un des jumeaux. Nous garderons tous deux ce lourd secret,mais des années plus tard la réalité nous rattrapera, des vies seront brisées par ce lourd secret...

Chapitre 1 1

Docteur : bonjour Mme, enfin vous vous réveillez!

Aline : bonjour docteur, qu'est-ce que je fais sur ce lit ? Aïe ! (Aline se tort de douleur) mon ventre docteur, mon bébé, où est mon bébé ? (Pleures)

Docteur : désolé Madame Ndédi vous avez perdu votre bébé votre chute lui a été fatale.

Aline (en pleures) : pas ça! Non docteur pas mon bébé! Non ! Pas encore!

Docteur : calmez-vous madame ne faites pas trop d'efforts vous êtes encore fragile.

Aline (en pleures) : Seigneur jusqu'à quand ce bonheur me sera refusé, pourquoi ? Ai-je tué quelqu'un ? Qu'ai-je fait de mal que de prier chaque jour pour avoir un enfant, celui-là qui illuminera mes jours mais au contraire se sont des pleures que tu m'infliges depuis de nombreuses années...

Docteur : calmez-vous madame, je passerai plus tard !

Je suis Aline, j'ai 35 ans bientôt la quarantaine, je me suis mariée à Léon il y'a de cela 10 ans, Léon est un homme d'affaires très fortuné il voyage beaucoup et parfois la solitude m'emporte d'autant plus que jusqu'à présent je n'ai pas un enfant. Cela fait de moi la risée de ma belle-famille, la stérile comme ils aiment bien m'appeler, si l'amour que mon mari avait pour moi n'était pas assez fort il y'a bien longtemps il aurait écouté sa famille et m'aurait répudié.

Je suis pointée du doigt où que j'aille, même ma propre famille pense que Léon a vendu mon uté.rus pour la richesse, je pleure tous les jours tout en demande au Seigneur de m'aider mais tout ce que je reçois ce sont des fausses cou.ches à répétition et des humiliations.

J'ai parcouru toutes les cliniques du pays, rencontrée tout sorte de gynécologues, bu de nombreuses concoctions traditionnelles mais rien de positif, les rares fois où je suis tombée enceinte je l'ai per.du aussitôt, ma vie est triste plus tragi.que que le Titanic...

Puis il Ya quelques mois grâce à la fécondation in vi.tro(F.I.V) Léon et moi allions devenir parents, un petit être grandissait en moi, la joie qui m'animait était indescriptible enfin mes larmes allaient être des fous rires, je remerciais le ciel matin midi et soir pour ce miracle que j'allais tenir dans mes bras.

Un mois avant l'incident Léon se rendit à l'étranger pour ses affaires il n'allait pas être de retour ni assister à la naissance du bébé ça m'attristait beaucoup lui également mais c'était pour le boulot, vous vous demandez certainement comment j'ai per.du mon bébé...

# Flash-back

Il y'a une semaine ma belle-sœur Yasmine fêtait l'anniversaire de son fils, malgré que je m'entendais pas avec ma belle-famille je me devais d'y assister en tant que belle fille, la nouvelle de ma grossesse avait en peu apaisé les tensions , mais je me méfiais d'eux comme la pes.te, c'est toute maquillée , talons aiguilles et arborant ma jolie robe qui montrait mon joli petit ventre que j'arrivais à la fête, je respirais la fraicheur cette grosse.sse m'avait redonné mes 15 ans.

L'attention était portée sur moi, tous ces gens-là qui m'insultaient et se moquaient de moi, plaisantaient avec moi des vrais hypocrites je connaissais leur jeu.

Après avoir passé une bonne soirée tout ce dont je me souviens c'est ce verre que ma belle-mère m'avait tendu disant que c'était une cou.tume chez eux je devais le boire pour enlever le mauvais sort dû à mes nombreuses fausses cou.ches, j'ai été bien naïve de le boire juste pour ne pas lui faire de tort je ne voulais surtout pas qu'elle me gâche la soirée.

C'est ainsi que je pris le verre et le bu à pleine gorgée, un poi..son qui allait tu.er mon bébé à petit feu. La soirée finit, je suis rentrée chez moi, après avoir causé avec Léon par appel vidéo je me suis endormie.

Les jours qui suivaient je ressentais des dou.leurs au bas ventre , des ver.tiges de surcroît je n'avais plus d'appétit cela ne m'avait pas inquiété pensant que c'était naturel, étant une novice c'est tout naïvement que je cru que c'étaient des symptômes passagers, le processus normal d'une gross.esse sans doute.

Jusqu'à hier où je me voyais débouler les escaliers de la maison prise de ver.tiges, je gisais sur le sol, du sa.ng s'écoulait de mes fes.ses et une dou.leur atro.ce me tenait au bas ventre, c'était mal me connaitre j'en avais eu des douleurs mais celle-ci était au-dessus de tout entendement, ensuite tout était devenu flou autour de moi. Le lendemain je me réveillais dans ce lit, mon gardien m'y avait emmené après avoir entendu mes cris...m

Ma belle-mère m'avait eu cette sor.cière m'avait enlevé mon bonheur, je la mau.dissais dans mon cœur.

Docteur : madame Ndédi vous allez mieux ?

À son avis j'allais bien, quelle question insensée me posait-il là ? Fichez-moi la paix c'est tout ce que je voulais.

Aline : silence...

Docteur : madame Ndédi vous allez bien ? depuis hier vous ne parlez plus, je comprends votre douleur, mais on ne pourrait vous libérez si vous ne montrez aucun signe d'amélioration!

Non je ne pense pas que tu comprennes cher docteur!

Aline : silence...

Bientôt deux jours je suis dans cet hôpital, coupée du monde je ne sais pas à quoi me rattacher ma raison de vivre s'était envolée, ce petit être en qui j'avais mis tous mes espoirs qui allait égailler mes journées, à quoi bon lutter. Je ne prenais pas d'appels, Léon devait s'inquiéter...

Je faisais les cents pas dans le couloir, je fis un tour en pédiatrie, le fait de voir tous ces bébés dans la pouponnière me rendait heureuse je m'imaginais avec le mien, ces mamans qui portaient leurs petits anges dans les bras m'attristaient tellement, mes larmes coulaient sans arrêt, la vie pouvait être cru.elle des fois pour certaine. Une jeune fille attira mon attention toute en pleures elle m'avait ému, je me dirigeais vers elle...

Aline : éh ma puce qu'est-ce que tu as ? Pourquoi tu es dans cet état ?

Anna (en pleures) : silence...

Elle me regardait l'air attendrissant, sans me connaitre elle se blottit dans mes bras, c'est tout naturellement que je l'acceptais, je caressais ses cheveux et elle se calma...

Aline : alors ma belle tu t'es calmée mais pourquoi pleures-tu à chaude larmes ? as-tu perdu quelqu'un ?

Anna (en pleures) : c'est pire que la m.ort madame, je suis finie !

Aline : calme toi ce n'est pas bon de pleurer ainsi dans ton état tu risques de faire du mal à ton bébé!

Anna : s'ils pouvaient disparaitre de mon ventre ça résoudrait mes problèmes!

Aline : comment t'appelles-tu ?

Aline : Anna madame et vous ?

Aline : Aline!

Cette petite me faisait vraiment de la peine, aussi jeune et être en.ceinte cela ne devait pas être une mince affaire!

Aline : sent toi chanceuse et heureuse de porter ces petits êtres en toi, pleurer ne résoudra pas tes problèmes, sais-tu qu'il y a des femmes qui recherchent ce petit miracle, connaitre un jour la dou.leur de l'enfantement ?

Anna : je leur donnerai volontiers je n'en veux pas!

La nature pouvait être bizarre des fois, il donnait à certaines ce qu'elles ne désiraient pas et refusaient à d'autres...

Aline : ne dit pas cela, où es ta famille ?

Anna : je n'en ai plus, mes parents m'ont mis à la porte à l'annonce de ma grosse.sse!

Aline : et le père ?

Anna : il a disparu dans la nature depuis l'annonce de ma grossesse je suis seule, je n'ai personne, vous vous rendez compte même pas un enfant mais deux c'est trop!

Aline : ne t'en fait pas je t'aiderai, tient voici 30.000 francs trouve toi un endroit où dormir dans deux jours je te contacterai, tu as de quoi noter mon numéro?

Anna toute réticente, refuse de prendre la somme qu'elle lui tend.

Anna : non madame Aline c'est trop je ne peux pas accepter cela, vous ne me connaissez même pas et vous êtes si généreuse avec moi

Aline : ne discute pas, je le fais avec le cœur.

Anna : d'accord merci beaucoup, tenez voici de quoi noter.

Aline note son numéro dessus. Anna se dit être chanceuse d'être tombée sur une femme aussi gentille et généreuse.

#ANNA

Je suis Anna , j'ai 17 ans et je suis élève en classe de terminale, j'avais un brillant avenir devant moi et je faisais la fierté de mes parents, à cause des longs yeux je suis tombée en.ceinte.

Je fréquentais une bande d'amies qui avait pour objectif de sortir avec des hommes riches pour de l'argent, poussée par mes amies j'avais entamé une relation avec un homme de la trentaine qui m'avait fait longtemps auparavant la cour.

À chaque sortie de classe il était toujours là, il avait une belle range rover blanche , mes copines en étaient même jalouses qu'il s'intéresse à moi et pas à elles , il ne m'intéressait pas mais il était friqué et c'est tout ce dont j'avais besoin pour faire mes preuves et entrer dans la cour des grands comme disaient mes copines.

Sous la pression j'entamais une idylle avec lui, j'avais tout ce que je désirais, argent vêtements, chau.ssures de mar.que, j'étais au petit soin, mon comportement à la maison avait changé j'étais devenue très in.solente, je décou.chais pour sortir avec mes copines, je n'écoutais plus personne, j'étais tombée amoureuse comme on le disait souvent au quartier on ne conseille pas une fille amoureuse.

Mon petit ami comme je l'appelais très fièrement m'avait clairement fait comprendre qu'il ne dési.rait pas d'enfants j'aurai du comprendre qu'il voulait juste prendre son pi.ed ,après mon premier rap.port et plusieurs autres non pro.tégés, j'ai commencé à avoir des ma.lai.ses, je vo.missais en longueur de journée ce qui parut bizarre à ma mère. Elle m'avait fait faire un te.st de gro.sse.sse qui s'était avéré positif, confirmé plus tard par un autre test fait à l'hôpital. La foudre s'était abattue sur moi, l'auteur de ma gro.sse.sse avait nié et m'avait traité de tous les noms et disparu de la circulation.

Mes parents m'avaient mis à la porte il ne voulait pas d'un enfant ba..tard chez eux je les avait déçu, même mes propres copines m'avaient tourné le dos je me retrouvais seule et abandonné, quelle bêtise avais-je commise! Je regrettais énormément mes actes, j'étais devenue la risée de ma famille, je n'avais plus de toit où vivre.

Je vivais le jour le jour comme on disait en langage familier , je passais parfois mes nuits dans les maisons aban.don.nées ou dans des chantiers dans lesquels je travaillais en journée jusqu'à épuisement pour avoir de quoi manger, mon travail consistait à porter des parpaings sur ma tête il fallait bien que je mange. Mon accouchement était prévu dans trois mois mais je n'avais même pas une couche, je ne savais pas encore que j'attendais des jumeaux. Après des jours de travail j'avais pu économiser de l'argent pour une visite au cours de laquelle le médecin m'annonça que j'attendais des jumeaux, quelle choc j'eu, comment allais-je pouvoir m'en sortir avec deux bébés ?Je me suis écrou.lée sur un banc, je pleurais de toute mes forces, c'était au-dessus de mes forces, comment allais-je survivre avec mes bébés, comme je regrettais mes actes.

Je pleurais tellement que je n'avais pas vu cette dame s'approcher de moi, l'air si innocent elle me consolait dans ses bras je me revoyais avec ma mère. Je remerciais le ciel de l'avoir mise sur mon chemin, j'avais de quoi manger pour deux jours, le Seigneur n'oublie pas ses enfants me disais-je, toute optimiste je quittais l'hôpital. Ce fut le premier contact avec Aline.

Anna sentit à nouveau un brin d'espoir, Aline venait de lui redonner le sourire. Elle chercha une petite chambre dans un motel, et s'acheta un petit portable et une carte si.m, elle inséra la puce dans le téléphone et enregistra le numéro d'Aline...

#Aline

Le docteur m'a finalement libéré après quelques jours passés dans cet hôpital, je n'ai jamais aimé les hôpitaux pour les odeurs qu'ils dégageaient, l'atmosphère n'était pas gaie, me retrouver dans ce lit sans mon bébé dans mon ventre m'avait enlevé ma joie de vivre, qu'allais-je pouvoir bien dire à Léon ? Il n'allait pas certainement digérer cette énième gro.sse.sse perdue.

J'étais dans ma voiture pour rentrer chez moi lorsque mon regard se posa devant une boutique de ventes de vêtements pour bébé et femmes enceintes je décidais de m'arrêter, voir ses articles affichés à la vitrine m'avait bouleversé je n'avais pas pu résister à l'envi d'y faire un tour.

La vendeuse me reçut en affichant son joli sourire.

- Que désirez-vous particulièrement madame?

Une question à laquelle moi-même je n'avais pas de réponse.

Aline : je vais regarder les articles.

-D'accord !

Instinctivement je me dirigeais vers le coin des vêtements bébé, je touchais les vêtements tout en imaginant mon bébé avec, mes larmes coulaient malgré moi, ce qui attira l'attention de la vendeuse qui se dirigea vers

-Vous allez bien madame ? Vous voulez de l'eau ça vous fera du bien!

J'avais juste acquiescé, elle alla chercher une bouteille d'eau et vint me la donner, je bus quelques gorgées, mon attention se porta sur les faux ventres exposés à côtés des vêtements pour femmes enceintes.

Je me dirigeais vers ce rayon et prit un faux ventre et l'essaya, je le caressais comme si c'était mon ventre.

-Madame vous n'en avez vraiment pas besoin avec votre ventre.

Celle-là de quoi se mêlait-elle?

Je n'avais nullement demandé son avis, c'est vrai que mon ventre d'à peine cinq mois de gro.sse.sse n'était pas encore fini malgré le fait que j'avais subi une opération il y'a quelques jours, donc j'avais encore un ventre de grossesse personne ne se doutait qu'il n'avait plus de bébé à l'intérieur. Tant mieux car je ne me voyais pas encore m'en séparer.

Aline : je sais mademoiselle, c'est pour l'offrir à une personne qui est actrice elle en a besoin pour un tournage.

Pauvre Aline comme tu mentais terriblement mal, je m'en fichais pas mal en tout cas

-Ok !

Je réglais la note et je retournais chez moi, une grosse solitude s'empara de moi, Léon était à des milliers de kilomètres de moi, je n'avais personne sur qui pleuré, soudain je reçu un appel d'un numéro inconnu, je me demandai bien qui ça pouvait être.

# ANNA

Cela fait maintenant deux jours que je suis dans ce petit motel, j'occupe une petite, elle est si petite par rapport à celle que j'avais chez mes parents. Madame Aline m'avait demandé de l'appeler dans deux jours, je pris mon téléphone, composa l'appel, au bout du fil c'est une voix faible qui se faisait ressenti...

#ALINE

Anna: bonjour madame Aline, c'est Anna la jeune fille enceinte de jumeaux, nous avons discuté à l'hôpital et vous m'avez donné votre numéro.

Je reconnu, aussitôt la voix de la petite Anna, la douleur de la perte de mon bébé m'avait fait l'oublier...

Aline : bonjour ma petite, tu vas mieux ?

Anna : bien madame, et vous ? Vous m'avez l'air fatigué!

Aline : ce n'est rien c'est ma gro.sse.sse qui me dérange énormément!

Anna : je l'avais remarqué à l'hôpital, vous devez être heureuse de cet heureux évènement!

Aline : euh... Oui avais-je dit tout en essuyant les larmes qui s'écrasaient sur mon visage

Silence...

Anna : madame Aline tout va bien?

Aline : ne t'en fait pas pour moi, c'est de toi qu'on devrait se préoccuper, les bébés vont bien ?

Anna : oui madame, ils bougent bien haha...

Aline : j'en suis ravie. Tu as pu te trouver un endroit où dormir ?

Anna : oui, j'ai trouvé un motel avec des chambres à bas coût.

Aline : ça ne doit pas être si confortable que ça.

Anna : non mais je fais avec, merci c'est grâce à vous si je ne dors pas à nouveau dans la rue!

Aline : ne me remercie surtout pas, je ne pouvais pas rester indifférente face à ta situation, et je compte t'aider.

Anna : vous êtes sérieuse ?

Aline : bien sûr !

Anna : vous en avez déjà fait énormément!

Aline : ce n'est rien, quel niveau d'étude as-tu ?

Anna : j'ai a.ban.donné la classe de terminale à cause de ma grossesse mes parents m'ont mis à la porte, je n'ai plus rien je suis seule au monde!

Aline : non ! tu ne l'es plus tu as tes enfants qui viendront au monde, et je vais t'aider !

Anna : merci beaucoup Aline, que le bon Dieu vous le rende

#ANNA

Je suis sans voix, madame Aline est d'une gentillesse sans pareille, une inconnue sortie de nulle part qui volait à mon secours...

#ALINE

Je ne savais pas exactement ce qui me poussait à aider cette jeune fille mais mon instinct me demandait de le faire...

Je fis signe également à Léon pour qu'il ne s'inquiète pas d'avantage il était capable de prendre l'avion et de revenir au pays pour voir si je me portais bien, j'ai dû lui inventer une excuse prétextant une panne avec mon téléphone. Ça l'avait tout de même calmé, puis il prit des nouvelles du bébé, une fois de plus je n'avais pas eu le courage de lui dire la vérité...

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