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La loi et le chaos — Tome 2: Les dernières croisades

La loi et le chaos — Tome 2: Les dernières croisades

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Chapitres

Après avoir installé leur gouvernement fédéral, les gardiens vont faire la guerre successivement au Satanisme qu’ils ont réveillé, puis à un communisme islamique international qui prend de l’ampleur. Dans un futur proche, ils feront face au peuple Kabbale, ces vampires extra-terrestres revenus sur Terre dans le but de réduire à l’esclavage l’Humanité en plaçant leurs victimes sur leurs murs de sang. À PROPOS DE L’AUTEUR Dans La loi et le chaos — Tome II — Les dernières croisades, Sylvain Prat s’est inspiré de nos évidences historiques et géopolitiques pour amener le lecteur dans son monde où le fantastique pourrait frôler une certaine réalité.

Chapitre 1 No.1

I

Le Cercle des Théocrates du Mal

1

La rencontre de Benarès

Octobre 2024

Ils seraient 14 à se retrouver dans ce grand hôtel particulier perché sur un mont proche de la ville antique de Benarès située sur les rives du Gange.

Il s’agissait d’un ancien palais racheté par une richissime famille de fossoyeurs, de propriétaires de cimetières, propriétaires de la plupart des exploitations arboricoles de la région, ainsi que des temples hindous dévolus à la crémation des corps.

Benarès dont il était natif était la ville des morts.

Il était le théocrate d’intendance hindoue, et son pouvoir était limité en ce moment à celui d’organisateur des rencontres des 14 du Cercle.

Il était un agent du Chaos, et dont la souveraine était la déesse Kali.

Il occupait la place de sa maîtresse autour de la table ronde en obsidienne noire, et son nom était Ivishan Paramaradebolan.

Ils étaient tous allés au préalable déposer leur contribution au Cercle sur leur compte dans une banque du Liechtenstein : La « InternationaL FédératE banK ». La ILFEK.

En anglais, l’autre signification secrète de la ILFEK était :

International Ligue Federated and Enforcement of « Kabbal » : les forces du Mal affiliées au peuple Kabbale et dévolues au Chaos.

Il s’agissait de la banque du groupe à son échelon fédératif, car elle capitalisait tous les actifs mondiaux de ce Trust aux ramifications tentaculaires, et qui avait comme ennemi héréditaire : les antiques mafias.

Les mafias italiennes à l’exception de la Gamorra, les Yakuza, la mafia russe, les mafias chinoises organisées en triade, le croissant noir arabe, la Savak pour les Perses, et les illuminatis étaient depuis l’aube des temps le rempart religieux et spirituel, qui travaillaient de concert et étaient opposés au pouvoir politique selon les époques et ceci au fil des siècles depuis l’âge des grandes migrations humaines.

Durant la guerre contre le nazisme et l’impérialisme nippon, les mafias s’étaient alliées aux Anglo-américains, et avaient fait profiter aux Anglo-saxons ainsi qu’à la résistance européenne de leurs moyens, de leurs formations, de leur logistique, de leurs réseaux, et de leur financement.

Option bien différente du grand-banditisme qui était plutôt allée du côté de l’occupant

Les 12 hommes et les 2 femmes y avaient également été retirer personnellement leurs bagues, symbole et sésame de leur présence dans le Cercle le lendemain.

Ils ne se voyaient que tous les sept ans, date à laquelle leur nouveau chef de file allait être élu au hasard.

Le précédent chef ne ferait pas partie du tirage au sort.

Chacun avait un numéro de 1 à 14. Le numéro 6, le maître Hindou, allait laisser sa place pour sept longues années maintenant.

Un double code numérique connu d’eux seuls ouvrait un cortex dans leur coffre personnel à l’ILFEK selon le code simple et ancestral de « l’Avocat ».

Le A vaut le K… et le 1 vaut le A.

Le Graal de ce code résidait en un mot de passe qui leur était propre, pour ouvrir le coffre, et y découvrir une bague avec la svastika inversée.

Les anneaux étaient en argent, surmontés en chevalière d’un décagramme en or au sein duquel des éclats de rubis formaient une svastika inversée.

Le symbole secret du Chaos représentait les 4 sens spirituels, et les 4 éléments physiques, le tout inversé.

Le Chaos se devait d’être l’inverse de la vie sur Terre qui était un Monde de la Loi.

Les humains étaient naturellement des créatures de la Loi dans notre Monde.

C’était l’équilibre cosmique qui en avait décidé ainsi.

Il fallait faire un pacte avec un démon ou un Haut-Démon pour changer de camps, et devenir ainsi un agent du Chaos.

Irrémédiablement, ce pacte assurait Richesse pour l’intéressé, Luxure, et Pouvoir.

Cela signifiait aussi, la douleur, la rudesse des ordres, et la peur de l’échec qui vous valait une mort certaine.

À la mort de l’agent, son âme allait se réincarner dans les limbes, et ensuite se réincarnait dans une créature du Chaos dans une autre dimension.

La descendance et la famille élargie aux frères et sœurs, père et mère de l’agent devenaient également agents du Chaos.

Ils devenaient ce que l’on nommait « les maudits » chez les agents de la Loi, leurs ennemis héréditaires, puisque toute la famille était incluse dans ce pacte maudit.

La banque ILFEK appartenait au Cercle, et tous les employés étaient des agents du Chaos.

Leur entraînement physique et universitaire, leur recrutement, leur vie était réglée depuis leur âge de raison ; et ce ancestralement, pour servir le Chaos et les forces du Mal.

Depuis la création de cette banque sous le Saint Empire germanique, le Cercle avait capté les réseaux de certains juifs, ceux avec qui ils travaillaient de concert depuis l’aube des temps.

La branche juive du Cercle avait choisi le Liechtenstein comme centre bancaire de leur organisation : elle s’appelait La Kamala.

En langue Kabbale, « Kamala » signifiait profit.

La Kamala avait pour Dieu du Chaos celui de l’Avarice : Sester. Les sesterces de l’époque romaine étaient une référence cachée à ce dieu.

Dans le Cercle du Mal, Hakatar représentait Kali, la Déesse de la Mort hindoue.

Ses origines maléfiques, et l’affiliation de sa famille à l’Ordre du Mal et du Chaos, datait de l’époque du bassin mésopotamien. Il était un Perse.

Il avait fui le régime du Shah d’Iran bien avant l’arrivée des Mollahs.

La police secrète du Shah l’avait démasqué à cause de sa femme qui lors d’une phase dépressive, qui leur était inconnue jusque-là, avait déambulé nue dans les rues de Téhéran, proférant des incantations maléfiques que la police secrète avait prises au sérieux, suite au témoignage d’un mollah témoin de la scène.

Elle avait utilisé la langue de la Kabbale juive pour les proférer.

Le Mollah était un certain ayatollah dénommé Khomeiny.

Le futur président de la première République Islamique d’Iran.

Il allait par la suite fonder une Théocratie, dont le but réel était de retrouver cette famille.

Le Président français, François Mitterand, bien qu’il n’était pas franc-maçon, avait accordé sa protection à l’ayatollah, lors de son exil, pour cette seule raison.

La Savak était d’abord officiellement et avant tout, un organe secret travaillant contre les intégristes religieux chiites et sunnites affiliés au Mal qui manipulaient les Mollahs.

La Savak était en fait l’antique mafia perse.

Raktar Jovis, chef de la Savak, qui discutait d’égal à égal avec le Shah d’Iran, était un ancien agent du Chaos.

Il s’était libéré de leur emprise en combattant le demi-dieu de son cercle dans un combat spirituel, car son âme avait été choisie par les agents de la Loi comme rétribution à l’équilibre cosmique.

Car l’Équilibre devait faire supplanter la Loi avant le Chaos, qui durant la Seconde Guerre mondiale, avait vu les forces du Mal en passe de vaincre d’ordre mondial de l’Équilibre cosmique.

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