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La décision d'un milliardaire

La décision d'un milliardaire

Naomi 09

5.0
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66
Chapitres

J'ai couru. J'ai couru aussi vite que mes jambes le permettaient. Loin. Loin de lui. Hailey Pritchett aimait son travail de secrĂ©taire d'Henry Caldwell, le PDG de Caldwell Industries. C'Ă©tait une femme qui aimait la sĂ©curitĂ© et qui restait loin du danger. Cependant, la sociĂ©tĂ© est rachetĂ©e par un homme d'affaires impitoyable connu sous le nom de Sniper. Theodore Benson est un milliardaire impitoyable, connu sous le nom de Sniper dans le monde des affaires. En effet, il tue ses adversaires sans les prĂ©venir. Il ne s'incline devant personne et, lorsqu'il veut quelque chose, il fait tout, lĂ©galement ou non, pour l'obtenir. Lorsque Hailey et Theodore, alias le Sniper, se retrouvent face Ă  face, Hailey sait que Theodore est dangereux. Hailey fait donc ce qu'elle fait le mieux face au danger. Elle s'enfuit. Mais Theodore la laissera-t-il s'enfuir ? Theodore veut Hailey Pritchett, et ne s'arrĂȘtera pas avant de l'avoir – de toutes les façons possibles.

Chapitre 1 01

J'ai redressĂ© ma jupe crayon et je me suis dirigĂ© vers le bureau de M. Caldwell. Il m'avait appelĂ© dans son bureau il y a 10 minutes, mĂȘme si je ne savais pas pourquoi. Mais c'Ă©tait mon travail de secrĂ©taire du patron, je devais faire ce qu'il disait.

J'ai lĂ©gĂšrement frappĂ© Ă  la porte du bureau de M. Caldwell et je suis entrĂ©. M. Caldwell Ă©tait assis Ă  sa place habituelle, derriĂšre le bureau. Cependant, il y avait un homme assis sur l'une des chaises de visite. Il Ă©tait vĂȘtu d'un costume d'affaires. Ses cheveux Ă©taient coiffĂ©s Ă  la perfection. D'oĂč je me tenais, je ne pouvais pas distinguer ses traits, mais seulement la coupe nette de sa mĂąchoire.

M. Caldwell se tourna vers moi et sourit. J'ai souri en retour. C'est pourquoi j'aimais M. Caldwell, il souriait toujours, ce qui me faisait sourire pour une raison Ă©trange. Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce parce qu'il avait un sourire trĂšs authentique et magnifique-pour un homme de 58 ans, ou peut-ĂȘtre Ă©tait-ce parce que son sourire me mettait toujours Ă  l'aise, je ne savais pas pourquoi.

"M. Caldwell, vous vouliez me voir," dis-je doucement.

"Oui Hailey, s'il te plaĂźt, entre," fit signe M. Caldwell.

Je suis entrĂ© et je me suis dirigĂ© vers lui. Une fois arrivĂ© Ă  son bureau, je me suis arrĂȘtĂ© et j'ai attendu que M. Caldwell me dise ce qu'il avait besoin que je fasse.

M. Caldwell regarda Ă©trangement la personne assise dans le fauteuil du visiteur. Si je ne savais pas mieux, je dirais que c'Ă©tait presque comme s'il y avait une tension entre les deux messieurs.

"Hailey, je t'ai appelé ici pour te présenter ton nouveau patron."Il a dit.

Dire que j'étais confus serait un euphémisme. Nouveau patron?? Comment? Comment?

"Je suis désolé monsieur, avez-vous dit New Nouveau patron?"J'ai demandé.

"Exactement Hailey, nouveau patron. Rencontrez M. Benson, le nouveau propriétaire de cette entreprise, qui serait connue sous le nom de Benson Enterprises", a déclaré M. Caldwell en faisant un geste vers M. Benson.

M. Benson m'a jetĂ© un coup d'Ɠil et j'ai eu le souffle coupĂ© mentalement. Il Ă©tait magnifique! Et mĂȘme pas le genre rĂ©gulier. Oh non, il Ă©tait le genre de magnifique qui n'existait que dans les fantasmes. Celui avec qui tu voulais passer au moins une nuit. Celui qui vous a coupĂ© le souffle avec juste un simple sourire. Le rĂȘve humide de chaque fille!

Il avait un visage sculptĂ© pointu qui Ă©tait bĂ©ni avec les yeux gris les plus fascinants que j'aie jamais vus. Il avait un nez aristocratique avec des pommettes hautes et des lĂšvres si parfaites qu'on pouvait passer des heures Ă  les embrasser. Et mĂȘme si je ne pouvais pas le voir, je parie qu'il avait un beau corps construit, avec un pack de six et des biceps solides.

Il Ă©tait parfait. Et c'Ă©tait aussi le genre d'homme dont je faisais de mon mieux pour rester Ă  l'Ă©cart. Des gars comme lui Ă©taient le rĂȘve d'une fille; pourtant, ils Ă©taient aussi la raison pour laquelle ces filles ont fini en larmes. Et c'est pourquoi j'avais besoin de rester loin de lui. Je ne voulais pas que mon cƓur soit brisĂ© par qui que ce soit, encore moins par lui.

"Bonjour Mme Pritchett, ravie de vous rencontrer", a dĂ©clarĂ© M. Benson en me tendant la main pour que je la serre. Je l'ai regardĂ© pendant quelques secondes. Il avait l'air familier d'une certaine maniĂšre, mais je ne pouvais pas me souvenir oĂč je l'avais vu.

J'ai regardé sa main tendue. Je ne voulais pas lui serrer la main, mais je n'avais pas le choix car j'étais l'assistant et non le patron. Alors avec tout en moi criant de ne pas le faire, j'ai attrapé sa main avec la mienne dans une prise ferme.

"Ravi de vous rencontrer aussi, M. Benson."J'ai répondu, et j'ai été surpris de la force de ma voix.

"Mme Pritchett ici était mon assistante depuis cinq ans, et je peux affirmer sans crainte qu'elle est la meilleure assistante de tout ce secteur d'activité."A déclaré fiÚrement M. Caldwell.

J'ai rougi au compliment. "Eh bien, je ne dirais pas le meilleur, exactement..." j'ai traßné, ne sachant pas quoi dire d'autre. Sans oublier que le regard de M. Benson sur moi me faisait me tortiller.

"Oh Hailey, toujours modeste."Dit M. Caldwell avec un sourire.

"Vous avez dit que M. Benson était le nouveau patron, quittez-vous l'entreprise, monsieur?"J'ai interrogé, désireux de changer de sujet.

"Eh bien, vous voyez, M. Benson ici a acheté Caldwell Industries, et maintenant il est le propriétaire et le nouveau patron de l'entreprise."M. Caldwell m'a dit avec un soupçon de tristesse.

Je l'ai regardé bouche bée. Il a acheté l'entreprise. Et M. Caldwell? Et plus important encore, qu'en est-il de moi? Je ne pouvais pas trouver un autre travail. Je veux dire que je pourrais, mais ce serait trÚs difficile.

"Mais, et vous, monsieur?"Demandai – je en exprimant mes pensĂ©es.

"Je vais partir. M. Benson ici prendrait ma place. Je crois qu'il est temps que je démissionne de toute façon, j'ai besoin de passer du temps avec mes proches", a expliqué M. Caldwell.

"Mais ne t'inquiĂšte pas Hailey, ton travail est en sĂ©curitĂ©. Au lieu d'ĂȘtre mon assistante, tu seras l'assistante de M. Benson."

Dire que j'ai Ă©tĂ© choquĂ© serait un euphĂ©misme. L'assistante de M. Benson? Oh non, je ne pouvais pas ĂȘtre son assistante. Le gars m'a fait me sentir tout tortillĂ© et faux. Non non, je ne pouvais pas travailler pour lui; je ne travaillerais pas pour lui.

Cependant, je ne pouvais pas le faire savoir Ă  M. Caldwell, alors au lieu d'exprimer mon incrĂ©dulitĂ© et ma colĂšre face au changement soudain de patron, j'ai souri et hochĂ© la tĂȘte.

"C'est merveilleux. Je suis sûr que vous et M. Benson vous entendrez trÚs bien", a déclaré M. Caldwell.

"Oui, mais vous allez me manquer, M. Caldwell", ai-je dit et je suis allĂ© lĂ  oĂč il se tenait maintenant, et j'ai enroulĂ© mes bras autour de lui. Peu importe combien de temps j'ai travaillĂ© pour lui, l'homme Ă©tait comme un pĂšre pour moi.

M. Caldwell a enroulé ses bras autour de moi et nous sommes restés comme ça pendant quelques minutes. Le bruit du raclement de gorge nous avait séparés. Nous avons tous les deux levé les yeux et avons vu M. Benson debout là avec une expression illisible sur son beau visage.

"Si vous avez terminé, Henry, je pense que nous devrions terminer notre conversation."Dit sÚchement M. Benson.

"Oui oui, bien sûr, Hailey, pourquoi n'irais-tu pas continuer ton travail, pendant que M. Benson et moi terminons notre conversation."Dit M. Caldwell et me poussa doucement vers la porte.

J'ai hochĂ© la tĂȘte et suis sorti du bureau de M. Caldwell, mais pas avant de regarder derriĂšre moi et de trouver M. Benson me fixant avec la mĂȘme expression illisible.

Oh mon dieu, je n'avais pas du tout hĂąte de travailler pour M. Benson.

J'ai attrapĂ© mon sac en veillant Ă  vĂ©rifier que tout Ă©tait dedans avant de le glisser dans mon bras et sur mon Ă©paule. Ensuite, j'ai attrapĂ© mon manteau et je l'ai mis. Une fois terminĂ©, je suis sorti derriĂšre mon bureau et j'ai marchĂ© vers l'ascenseur. DĂšs que j'ai entendu le cliquetis de l'ascenseur, je suis entrĂ© Ă  l'intĂ©rieur. J'ai appuyĂ© sur le bouton du hall et j'ai attendu que les portes se ferment. Juste au moment oĂč les portes commençaient Ă  se fermer, un doigt appuyĂ© sur le bouton de l'ascenseur arrĂȘtait la progression de la porte. Au lieu de cela, les portes se sont ouvertes et personne d'autre que M. Benson est entrĂ©.

Wow, juste ma chance.

Instinctivement, j'ai reculé jusqu'à ce que je sois debout dans un coin ou dans l'ascenseur. Je ne voulais vraiment pas me tenir prÚs de lui. Il a cependant appuyé sur le bouton fermé de l'ascenseur puis est venu et s'est tenu à cÎté de moi. Que diable?

Mon cƓur me sauta Ă  la gorge Ă  proximitĂ©. Pourquoi, oh pourquoi a-t-il dĂ» venir et se tenir Ă  cĂŽtĂ© de moi. Ne savait-il pas que je ne l'aimais pas.

Bien que je ne le veuille pas, je ne pouvais pas m'empĂȘcher de le regarder. Je veux dire pas directement, mais de dessous mes cils, j'ai passĂ© mes yeux sur lui. Mon Dieu, il Ă©tait chaud. En fait, je souhaitais qu'il soit un bon gars et pas votre coureur de jupons typique, mais j'en doutais. Des gars comme lui avaient des filles qui se jetaient sur lui tout le temps, et il serait stupide de ne pas profiter de ces filles. Encore une fille pouvait rĂȘver.

"Si vous avez fini de me lorgner, je vous suggÚre de m'écouter trÚs attentivement", vint une voix grave de ma gauche. J'ai sauté dedans surpris de voir M. Benson me regarder avec une expression dure. J'ai rougi d'une trÚs vilaine nuance de rouge, sachant que mes regards cachés n'étaient pas si secrets aprÚs tout.

J'ai fait de mon mieux pour ne pas avoir l'air Ă©nervĂ© et calme moi-mĂȘme. Je ne le laisserais pas m'intimider.

"Oui monsieur, vous disiez."Lui ai-je dit, ma voix tremblant légÚrement. Putain!

Continuer

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