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Le chef de la mafias

Le chef de la mafias

Naomi 09

5.0
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Chapitres

J'ai fermĂ© les yeux et j'ai attendu la douleur. Je savais que j'allais mourir. Mourir entre les mains de mon ravisseur. Kelsey Blake voulait se venger. Elle voulait dĂ©truire l'homme qui avait kidnappĂ© sa jumelle. Non seulement sa vie avait pris un tournant soudain en Italie, mais elle avait Ă©tĂ© sĂ©parĂ©e de sa seule famille. Cependant, mĂȘme si elle pensait ĂȘtre libĂ©rĂ©e du monde cruel de la mafia, ce n'Ă©tait pas le cas, car Kelsey avait rĂ©ussi Ă  attirer l'attention de Severon Aresco. Severon Aresco est une Ă©nigme ; personne ne sait qui il est vraiment. Dans son milieu, on l'appelle Snake, car il frappe et tue sans que personne ne s'en rende compte. Les gens pensent que Severon est le jumeau le plus faible, mais ils ne pourraient pas ĂȘtre plus loin de la vĂ©ritĂ©. Lorsque Severon rencontre la femme inhabituelle qu'est Kelsey Blake, il est instantanĂ©ment captivĂ© par cette fille Ă  la fois folle et audacieuse. Et tout comme son frĂšre, Severon ferait tout pour que Kelsey se soumette Ă  lui. Severon parviendra-t-il Ă  plier Kelsey Ă  sa volontĂ© ? Kelsey sait que Severon est dangereux, et elle veut s'enfuir le plus loin possible de lui. Mais elle sait aussi qu'Ă©chapper Ă  Severon est une tĂąche impossible en soi.

Chapitre 1 01

"Bande de salauds! LĂąche-moi!"J'ai agitĂ© mes bras et mes jambes dans une vaine tentative de m'Ă©chapper, mais j'ai Ă©chouĂ©. L'emprise que les babouins gĂ©ants avaient sur mes bras Ă©tait trop serrĂ©e, et malgrĂ© mes efforts pour les combattre, les serviteurs d'Aresco ont rĂ©ussi Ă  me traĂźner hors du gigantesque manoir, loin de ma sƓur.

Aresco, le rejeton du diable, avait ma sƓur, et qui savait quelles choses barbares il avait l'intention de lui faire. J'ai luttĂ© sans relĂąche, mais les gĂ©ants qui m'Ă©loignaient de ma sƓur Ă©taient plus forts. Je savais que les stĂ©roĂŻdes pompaient dans ces flux sanguins virils, leur donnant beaucoup trop de force qu'ils ne le mĂ©ritaient rĂ©ellement.

Les serviteurs gĂ©ants ont rĂ©ussi Ă  me traĂźner hors du gigantesque manoir. Je n'avais aucune idĂ©e de ce qu'ils avaient l'intention de me faire, peut-ĂȘtre qu'ils allaient me tuer. Non, Aresco a dit Ă  Maril et moi que l'un de nous serait en sĂ©curitĂ© si nous ne vivions pas avec Aresco, donc me tuer n'Ă©tait pas ce que ces idiots au cerveau de pois avaient en tĂȘte. Allaient-ils me larguer au milieu de nulle part? Me laissant retrouver mon propre chemin vers mon appartement. On Ă©tait dĂ©jĂ  Ă  Florence?

Agitant mes jambes et travaillant ma mĂąchoire pour tenter de mordre l'un des hommes costauds, j'ai Ă©tĂ© emmenĂ© Ă  l'air libre. Le soleil brillait de mille feux, crĂ©ant une atmosphĂšre joyeuse, mais je me sentais tout sauf heureux. La fureur bouillait au creux de mon estomac. Je voulais devenir folle de rage mais je savais que ça n'aiderait pas Maril. Je devais ĂȘtre intelligent et sauver Maril avant qu'il ne soit trop tard.

Prenant une profonde inspiration, j'ai essayĂ© de convaincre ces non-pensants de me laisser partir. "HĂ©, grand gars, qu'est-ce que tu dis toi et moi allons nous amuser?"Je me suis penchĂ© plus prĂšs de l'homme Ă  droite et j'ai chuchotĂ©, faisant de mon mieux pour ĂȘtre sĂ©duisant, "Quelque part en privĂ©?"D'accord, je sais que c'Ă©tait la chose la plus stupide Ă  laquelle je pouvais penser, mais j'avais besoin de distraire ce gars pour me laisser partir.

L'homme grogna avant de dire: "Silenzio."Je me demandais ce que cela signifiait. (Silence)

Ils m'ont emmenĂ© dans ce qui ressemblait Ă  une forĂȘt. Des arbres gigantesques me regardaient de haut, lĂ©gĂšrement intimidants. Les rayons du soleil n'Ă©taient pas aussi forts ici que dans le reste de la rĂ©gion. Le silence ici Ă©tait Ă©pais, seulement pour ĂȘtre rompu par le claquement occasionnel de brindilles sous les pieds des babouins.

Nous sommes entrés dans une petite clairiÚre et les hommes de main d'Aresco m'ont laissé tomber sur le sol boueux comme un sac de pommes de terre. J'ai juré sous mon souffle alors que je sentais de minuscules rochers creuser dans mes cuisses, mon jean ne faisant pas grand-chose pour me protéger des bords tranchants et inégaux.

Maudissant les vilains serviteurs, je me suis rapidement levĂ© et me suis Ă©poussetĂ©, le marron et le vert n'Ă©taient pas de bonnes combinaisons avec mes vĂȘtements. Passant une main dans mes cheveux, je me suis assurĂ© que chaque mĂšche Ă©tait en place, mais je me suis retrouvĂ© Ă  grogner de frustration lorsque j'ai rĂ©alisĂ© que mes cheveux Ă©taient en dĂ©sordre.

"Allez tout droit."L'homme de main Ă  gauche pointait derriĂšre moi. "Trouver un taxi. Rentre chez toi."En disant cela, les deux hommes se sont retournĂ©s et se sont rapidement Ă©loignĂ©s, me laissant Ă©chouĂ© dans la forĂȘt dĂ©serte.

"Eh bien, c'est gĂ©nial, maintenant je suis libre", murmurai-je lamentablement Ă  moi-mĂȘme avant de regarder autour de moi. Je n'avais aucune idĂ©e du genre d'extraterrestres qu'Aresco avait engagĂ© pour faire ses ordres, je veux dire, ils m'ont juste laissĂ© ici et m'ont dit de retrouver mon chemin, Ă  quoi ressemblais-je, Dora l'Exploratrice?! À ce rythme, mĂȘme Dora aurait un avantage, elle avait une carte.

N'ayant aucune intention de rentrer chez moi, j'ai commencĂ© Ă  retourner d'oĂč je venais. Je n'allais pas quitter cet endroit sans Maril, je ne laisserais pas ma sƓur dans la fosse aux lions. J'espĂ©rais juste ne pas mourir de faim avant.

AprĂšs avoir marchĂ© pendant dix minutes, j'ai maudit les hommes d'Aresco et ma santĂ© mentale; j'Ă©tais perdu. Je n'avais aucune idĂ©e de la direction Ă  prendre car partout oĂč je me tournais, il y avait des arbres, des arbres et encore des arbres. Et j'Ă©tais trop occupĂ© dans mes tentatives pathĂ©tiques de sĂ©duire la brute laide pour remarquer d'oĂč elles venaient. Putain, putain.

J'avais errĂ© dans la forĂȘt pendant une Ă©ternitĂ© avant qu'une idĂ©e ne me vienne Ă  l'esprit. Peut-ĂȘtre que si je fermais les yeux et marchais aveuglĂ©ment, je pourrais juste m'Ă©chapper de cette forĂȘt et retourner au manoir. MĂȘme si c'Ă©tait un long plan, j'ai dĂ©cidĂ© de donner suite Ă  mon idĂ©e. Fermant les yeux, j'ai lentement commencĂ© Ă  marcher. Je n'avais aucune idĂ©e du temps qui s'Ă©tait Ă©coulĂ© ni de l'endroit oĂč j'allais, j'ai juste continuĂ© Ă  marcher.

"AĂŻe, oh merde", jurai-je alors que ma tĂȘte heurtait quelque chose de dur avant de perdre l'Ă©quilibre et de tomber, une fois de plus sur le sol boueux. En gĂ©missant, je me suis assis et j'ai frottĂ© ma tĂȘte qui Ă©tait soudainement tendre. "Super, maintenant je vais avoir des ecchymoses."J'ai marmonnĂ© avant de me lever.

Mes yeux se sont Ă©carquillĂ©s et j'ai presque criĂ© de frustration quand j'ai vu que je n'avais fait que quelques pas alors que j'Ă©tais entrĂ© directement dans un arbre. Et je le savais parce qu'il y avait un gros buisson avec une sorte de grosses fleurs rouges lĂ  oĂč je me tenais tout Ă  l'heure, et maintenant ce mĂȘme buisson Ă©tait Ă  quelques mĂštres de lĂ  oĂč je me tenais maintenant.

Prenant une profonde inspiration pour retrouver mon calme, j'ai commencĂ© Ă  marcher, faisant de mon mieux pour Ă©viter les Ă©normes arbres. Mon front a commencĂ© Ă  palpiter lĂ  oĂč je l'avais cognĂ© contre le tronc de l'arbre. Je n'arrĂȘtais pas de prier pour retrouver mon chemin et ne pas me perdre pour que les insectes et autres animaux se nourrissent. J'ai croisĂ© de nombreux arbres et buissons aux fleurs colorĂ©es, mais je n'ai pas vu la fin de la forĂȘt.

Juste au moment oĂč je commençais Ă  abandonner, je l'ai vu. Le manoir. Il se tenait haut et fier sur sa fondation, hypnotisant tous ceux qui ont eu un aperçu de la façade spectaculaire. La belle architecture italienne m'a coupĂ© le souffle et m'a presque fait oublier mon front maintenant meurtri.

Ne perdant pas de temps Ă  admirer la grande structure du manoir d'Aresco, je plissai les yeux alors que ma colĂšre revenait de plein fouet. J'allais pourchasser Aresco et sauver ma sƓur. Prenant une profonde inspiration, je courus lentement en direction des grandes portes d'entrĂ©e. J'Ă©tais sur le point de penser Ă  un moyen de me faufiler Ă  l'intĂ©rieur quand je l'ai vu; Aresco, sortant de la voiture, un manteau blanc drapĂ© sur son bras.

"EspĂšce de salaud", murmurai-je en regardant Aresco fermer doucement la portiĂšre de la voiture avant de se diriger vers les portes d'entrĂ©e. Je pensais que mes yeux me trompaient, que ce n'Ă©tait pas Aresco parce qu'il Ă©tait avec ma sƓur, mais il n'y avait pas d'erreur; son visage Ă©tait le mĂȘme que je l'avais vu la derniĂšre fois, comme si Dieu avait pris un soin particulier en modelant son visage et son corps parce que c'Ă©tait la perfection, ses cheveux avaient l'air doux mĂȘme s'il Ă©tait loin de l'endroit oĂč je me cachais derriĂšre un pilier. Mais je pouvais dire que c'Ă©tait lui, la chose Ă©trange et dĂ©rangeante Ă©tait qu'il Ă©tait lĂ , agissant comme si tout allait parfaitement bien dans son monde et qu'il n'avait pas une fille innocente enfermĂ©e chez lui, prĂȘte Ă  torturer pour ses amusements malades.

Oh, je vais te tuer, Aresco. Je vais te faire regretter le moment oĂč tu as dĂ©cidĂ© de garder ma sƓur captive.

Décidant de le prendre par surprise, j'ai chargé vers Aresco et l'ai plaqué au sol. Je ne pensais pas, j'ai juste commencé à frapper et à griffer Aresco, essayant d'infliger autant de dégùts que possible à son corps parfaitement sculpté.

"Je vais te tuer! Rends-moi ma sƓur, espĂšce de monstre, sinon je te gratte les yeux!" J'ai criĂ© et j'ai continuĂ© Ă  le frapper et Ă  le gratter.

Je pensais vraiment que j'allais gagner. Je pensais que j'allais frapper et gratter Aresco jusqu'Ă  ce qu'il me supplie de pitiĂ© et promette de me rendre Maril. Mais j'avais tellement tort. En moins de cinq minutes, Aresco m'avait maĂźtrisĂ©, et je me suis retrouvĂ© allongĂ© sur le dos avec le visage battu d'Aresco qui se profilait au-dessus de moi. Et le garçon avait – il l'air en colĂšre.

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