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MOI VS SA DERNIÈRE VOLONTÉ

MOI VS SA DERNIÈRE VOLONTÉ

Sikag

5.0
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Chapitres

MOI VS SA DERNIÈRE VOLONTÉ

Chapitre 1 Chapitre 01

Salam'Aleykum et bienvenue à tous les lecteurs et lectrices! Je vais vous faire un prologue de cette histoire qui est ma première sur Wp. 😊

J'espère que vous aimerez et dites-le moi si c'est le cas après les premières parties. Bisous😘 Et bonne lecture💖

------____ (12 mois en arrière)____------

En plein milieu de la nuit, je me réveille, suffoquant, et ne voyant rien d'autre que de la fumée, qui emplissait l'espace et me piquait terriblement les yeux. Je pus tout de même voir, derrière la porte, une lumière, rouge, qui m'a fait comprendre que ma maison brûlait!

Sans réfléchir, je saute du lit et j'ouvre la porte mais je la referme aussitôt: les flammes étaient là, courant vers moi, comme qui m'en voulaient. Quand je referme la porte, j'eus un petit instant de lucidité et courus vers la salle de bain. Là, j'ouvre toutes les sources d'eau et laisse couler. Je ressors de nouveau dans la chambre pour appeler quelqu'un mais la fumée fut trop insupportable, je retourne dans la salle de bain et me mets sous la douche. J'entends des cris dehors, au rez de chaussée, ça veut dire que les gens étaient là.

-Moi: AU SECOURS!! AU SECOURS, JE SUIS LÀÀÀ!!

Personne ne m'entend ni ne me répond, je me mets à la fenêtre et je continue de crier, les larmes au yeux, j'avais peur pour ma vie, et pour celle de ma famille. Après de longues minutes, l'eau sortait de la salle de bain et avait inondé toute la chambre. J'ai fini par croire que tout le monde était sorti sauf moi et ça me rendait encore plus désemparée, j'avais perdu toute notion de ce qui se passait autour de moi.

J'me suis couchée dans la baignoire et j'ai commencé à réciter des versets tout en pleurant quand je me souvins qu'une fois, j'ai entendu que dire "allahu akbar" éteint le feu. Je commençai à le répéter, à le chuchoter, je suppliais Dieu dans ces "Allahu Akbar" que je chuchotais avec une voix entrecoupée de sanglots. J'entendais toujours les cris des gens au rez-de-chaussée, je finis par fermer les yeux en attendant soit la mort soit le sauvetage. Quand au bout de je ne sais combien de minutes ou d'heures, j'entendis la porte se fracasser sous de violents coups, je sursaute et me dépêche hors de la salle de bain, je vois les pompiers.

-Le chef: Sokhna ci, meun nga nooyi? (Madame, pouvez-vous bien respirer?)

-Moi: *hoche la tête en guise de oui* Où sont mes parents et mes frères et sœurs?

-Le chef: On va vous sortir de là, vous n'avez rien à craindre, le feu s'est éteint.

J'étais trempée jusqu'aux os car étant restée sous l'eau de la baignoire. Il veut me soulever mais je lui dis que je peux marcher, ce que je fais, accompagnée d'eux jusqu'à la porte. Ils me remettent aux ambulanciers qui m'emmitouflent dans une énorme couverture en laine. Couchée sur le lit de l'ambulance, ma vision commence à devenir floue, je ne vois plus que des ombres et ma tête tourne, j'entends du bruit, et dans tout ce bruit, j'arrive à distinguer la voix d'une femme, une voisine qui était reconnue dans tout le voisinage pour sa grande gueule, elle dît:

-Femme: Tieuy Yallah! Moom rekka ci mouthiou deh! (Eh Allah! C'est la seule à s'en être sortie!)

Le bruit revient et je perds conscience.

Je me réveille quelques heures plus tard à l'hôpital, on était le lendemain. Ma tante était là, mon oncle et ma cousine. Ma tante suspendit son wird en me voyant ouvrir les yeux, elle avait un grand voile sur la tête.

-Elle: Fatima? Sama doom dji, yèwou nga? (Fatima? Ma fille, tu es réveillée?)

J'avale ma salive et respire profondément avant de demander:

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