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Le quinquagénaire et la mineure

Le quinquagénaire et la mineure

SYLMAN

5.0
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Chapitres

Avant-gout Gracia : tu es oĂč Adolphe?? Adolphe : je suis en famille Gracia s'il te plait je t'Ă©cris aprĂšs. Elle : j'ai envie de baiser Adolphe et si dans les prochains heures je ne te vois pas Ă  notre lieu habituel, je ne vais pas me gĂȘner de coucher avec une autre personne. J'ai lu le message plusieurs fois, quoi ?? Elle est entrain de dire qu'elle va faire Ă  un autre homme ce qu'elle me fait ?? Cette petite va me rendre fou wallah. Que faire ?? Dans ma famille chacun reçoit chaque samedi les membres de la famille pour partager un repas ensemble et ainsi de suite. Aujourd'hui c'est moi qui reçoit chez moi et nous allons bientĂŽt passer Ă  table oh non quel excuse je vais sortir ici pour que je puisse abandonner tout ce monde et partir rejoindre Gracia ?? Emmanuela (ma femme) : depuis quelques minutes tu es accrocher Ă  ton portable au lieu de t'occuper de nos hĂŽtes, je n'aime pas ça Adolphe. Moi : dĂ©soler mais il y'a une urgence que je dois partir rĂ©gler au boulot vite fait. (Mensonge) Emmanuela : mais tu ne peux pas partir et laissez nos invites comme ça, l'urgence ne peux pas attendre ?? Moi (me grattant la barbe): non ma belle. (Les yeux doux) Tu peux me couvrir s'il te plait ?? Elle : et comment tu comptes partir d'ici ?? Moi : je vais leurs dire que je vais prendre la boisson dans moins d'une heure je serais dĂ©jĂ  lĂ . Je suis partie vite rejoindre ma petite et lorsque je pense Ă  ce qu'elle va me faire dans quelque minutes j'ai des frissons. Moi : coucou toi Elle : coucou bĂ©bĂ© tu as mis du temps. Moi (nerveux): je viens de laisser les membres de ma famille chez moi pour tes caprices Ă  deux balles. Je n'aime pas ce comportement Gracia, je n'aime pas ! Elle : bon dans ce cas rentre chez toi rejoindre tes invitĂ©s comme ils sont plus important que moi. Elle se lĂšve en prenant son sac au passage non elle ne peut pas oser me faire ça. Moi (bloquant les passages): oĂč est-ce que tu vas ?? Elle : bah je rentre chez moi. Moi (doux): s'il te plait ne le prends pas mal reste ma poupĂ©e. Elle a posĂ© son sac sur la table basse puis dans un geste sensuel elle s'est dĂ©vĂȘtĂźt, puatate je jure maman que cette gamine va me tuer (pardon enlever le nom de ta mĂšre dans tes conneries). Je ne faisais que baver sur son corps, je sens mĂȘme la salive au coin de ma bouche. Elle : ferme ta bouche tu risques d'avaler une mouche. Elle m'a tendue sa main que j'ai saisi, elle m'a dĂ©vĂȘtĂźt puis allonger au lit, j'ai vite fait de prendre la position gynĂ©cologique parce que je sais que ce qui va suivre la hum. L'auteur : un vieux tonton comme toi loleuh Elle as pris un glaçon dans un verre poser Ă  la table de chevet, elle a mis dans sa bouche aprĂšs quelques secondes elle a remis dans le verre puis elle est venue m'embrasser sur la bouche, le baiser froid et dĂ©licieux a fait monter mon excitation a une vitesse indescriptible puis elle est descendue sur mon cou en me lĂ©chant avec sa langue bien humide et froide . Elle faisait des vas et vents entre mon cou et ma bouche. Puis elle a pris un autre glaçon dans sa bouche qu'elle a fait passer sur mon torse, mes cuisses dans un mouvement sensuelle, j'ai froid et chaud en mĂȘme temps mais putain cet enfant n'a pas froid dans la bouche ?? Elle a laissĂ© tomber le glaçon qu'elle avait dans sa bouche puis elle a pris mon pĂ©nis avec sa main froide en faisant des mouvements circulaires sur ma verge. Elle regarde mon pĂ©nis comme un gosse devant une glasses puis elle Ă  avaler mon pĂ©nis de toute sa longueur sans sourciller, j'ai poussĂ© un cri de que moi-mĂȘme je ne peux pas dĂ©crire, de soulagement, de plaisir moi-mĂȘme je ne sais pas. Elle m'a sucĂ© mini Adolphe puis elle est descendue tout droit sur mes bijoux des familles en caressant mon pĂ©nis avec son autre main libre. J'ai Ă©touffĂ© mes gĂ©missements avec l'oreiller sinon toute la ville pouvait m'attendre gĂ©mir. Moi (n'en pouvant plus): bĂ©bĂ© han je vais jouir Elle a continuĂ© sa tache comme si la seule chose qui la prĂ©occupait au monde Ă©tait ma jouissance. Je me suis dĂ©versĂ©e dans sa petite bouche rose et elle a tout avaler sans cligner les yeux .... Oh God les enfants de cette pluie, les enfants de cette pluie baza bana te (ce ne sont pas des enfants) dixit Koffi Olomide dans une de ces nombreuses chansons ......

Chapitre 1 01

Chapitre 1

Adolphe

C'est le weekend je suis sorti avec mon pote de long date Alex, c'est un homme trÚs carré et fidÚle a son épouse contrairement à moi qui tire sur tout ce qui bouge mais l'essentiel est qu'on se comprend. Nous nous sommes rencontrés en France et depuis nous sommes devenus des frÚres. A la fin de nos études nous sommes retournés ensemble au pays et nous avons ouvert un cabinet d'audit et conseil. Nous sommes le meilleur du pays bon je ne me vante pas hein malgré mon cote homme a femme je suis quelqu'un de trÚs sérieux lorsqu'il s'agit de mon travail.

Moi : Alex mate un peu la petite en bikini rouge de l'autre cÎté de la piscine.

Alex : et ??

Moi : merde tu ne vois pas que c'est une bombe ??

Alex : c'est une bombe oui mais ma part de bombe est assise tranquillement chez moi entrain de m'attendre.

Moi : oui je sais monsieur qui ne trompe pas sa femme.

Alex : et tu devrais aussi faire pareil Ado. Depuis que je te connais tu sautes sur tout ce qui bouge tu n'es pas fatigué ?? Qu'est-ce qu'a cette petite que ta femme n'a pas ??

Moi : Emma c'est une bombe mais bon toutes les bombes n'Ă©clatent pas de la mĂȘme façon. Je ne vois pas oĂč est le mal si je goutte a ses gros seins et ses deux grosses pastĂšques.

Alex : c'est ton problĂšme type mais le jour oĂč Emma va t'attraper n'ose pas m'appeler.

Je fais semblant de partir aux toilettes puis j'envoie un serveur remettre ma carte a la petite et mettre sa consommation sur ma facture. Je croise juste les doigts qu'elle puisse m'Ă©crire. Je ne fais que regarder dans sa direction mais la petite ne me calcule mĂȘme pas pff j'espĂšre qu'elle va m'Ă©crire.

Le lendemain

J'ai reçu un message c'est matin signé « la petite bombe en bikini rouge » hum mon sexe à tressauter dans mon pantalon lol donc elle a pensée a moi ?? J'avais déjà perdu espoir mais bon je suis un bel homme aucune femme ne peut me résister. Nous avons échangé pendant de minutes par message, elle m'a dit qu'elle est à l'école mais à 12heures 30 elle aura déjà fini.

J'ai annulé tous mes rendez-vous et je suis parti rejoindre la petite au maquis (restaurant). Elle porte une robe blanche avec une longue fente et des sandales noires. Elle est trÚs belle et à la voir on peut croire que c'est une étudiante et non une lycéenne.

Moi : ça va petite fille ??

Elle : oui et vous monsieur ??

Moi : je vais bien alors ce quoi le prénom de la petite bombe en bikini ??

Elle : je m'appelle Gracia et vous ??

Moi : Adolphe tu sais tu peux me tutoyer.

Elle : tu as quel Ăąge ?? Tu travailles oĂč ?

Merde je suis Ă©tonnĂ© ko j'ai quel Ăąge, je travaille oĂč ?? Mais les petites filles d'aujourd'hui n'ont plus peur des vieux pĂšres lol.

Moi : Adolphe, j'ai 53 ans, je suis auditeur et toi petite fille ??

Elle : Gracia, j'ai 16 ans, je suis en classe de premiÚre a l'école française.

J'ai failli m'Ă©touffer avec ma boisson, quoi ?? Elle a 16 ans mais putain elle ne fait pas son Ăąge.

Elle (comme si elle lisait dans mes pensĂ©es): j'ai 16 ans mais je suis plus mature t'inquiĂšte (clin d'Ɠil).

Je la regarde juste et aucun mot ne sort de ma bouche, une petite fille de 16 ans qui n'a pas peur d'un grand monsieur comme moi ?

Elle : et si tu me dis pourquoi nous sommes ici ?

Moi (franc): je voulais avoir une relation avec toi mais tu as le mĂȘme Ăąge que ma deuxiĂšme fille, je n'aimerais pas faire la prison pour viol d'une mineure.

Elle (jouant avec une mĂšche de ses cheveux): qui t'a dit que tu vas faire la prison ?

Sans que je ne place une elle a glissé sa main en dessous de la table, sa main s'est diriger tout droit sur ma braguette, elle a ouvert la fermeture de mon pantalon puis elle a introduit sa main dans mon boxeur putain. Elle faisait tout ça en me fixant droit dans les yeux le sourire aux lÚvres.

Elle : tu aimes ?

Moi : si mais nous sommes dans un restau n'importe qui peut nous voir.

Elle : tu as peur ?

Moi : non

Elle : alors ??

Moi : le restaurant n'est pas un endroit approprié pour ce genre de chose.

Elle (avec assurance) : partons Ă  l'hĂŽtel alors.

Moi : sur ??

Elle : yup

Nous avons juste traversé de l'autre cÎté de la route a l'hÎtel Mombassa. J'ai réservé une chambre, j'ai voulu commander la bouffe mais elle m'a dit qu'elle n'avait pas faim bref.

Elle s'est dĂ©shabiller comme si on se connaissait depuis des annĂ©es, c'est moi l'adulte ici mais j'ai mĂȘme honte alors qu'elle ne se gĂȘne pas mĂȘme un tout petit peu.

Elle : tu vas rester assis en train de me regarder ??

Je n'ai rien dit, je me suis levé et je fais comme elle. Je me suis allonger sur le lit, elle a fait pareil, j'avais un peu honte de moi parce que ce que je vais faire là ne m'honore pas. Coucher avec une petite de 16 ans hum Adolphe qu'est ce qui ne va pas avec toi.

Moi (soupirant) : Ă©coute Gracia nous ne sommes pas obliger de le faire s'il te plait tu es comme ma fille, je ne peux pas.

Elle n'est m'a pas laisser finir ma phrase qu'elle avait dĂ©jĂ  mon pĂ©nis dans sa bouche putain mais cette petite est dĂ©licieuse dis donc. Je gĂ©missais comme un adolescent qui venait Ă  peine de dĂ©couvrir le plaisir charnel. J'ai mĂȘme oubliĂ© que c'est une adolescente qui est en face de moi.

Elle : tu as toujours peur ou bien je continue ??

Moi : continue s'il te plait.

Elle a introduit mon pĂ©nis dans son vagin caressant son bouton de rose avec son majeur. J'avais la tĂȘte appuyĂ© sur mes deux mains, les yeux plissĂ©s en regardant la petite se dĂ©chaĂźner sur mon pĂ©nis. Elle s'est retournĂ©e en s'agenouillent m'offrant une vue Ă©patant sur ses deux grosses fesses, seigneur elle agitait ses fesses comme ses chanteuses amĂ©ricaines qui font de clip a moitiĂ© nu.

Elle (en tournant ses reins): tu veux que j'arrĂȘte ??

Moi (hurlant de plaisir) : nooon.

J'ai honte, honte parce que c'est une petite de 16 ans qui est en train de faire gĂ©mir un vieux pĂšre comme moi, j'ai comme l'impression que c'est la premiĂšre fois que je couche avec une femme. Je l'ai allongĂ©e sur le dos puis je me suis introduit en elle en la secouant correctement. C'est vrai le gout m'ai montĂ© dans la cervelle mais je ne peux pas laisser la petite me faire jouir alors que c'est elle qui mĂšne la danse. Je dois ĂȘtre au-dessus lors de la jouissance.

....

Elle (ajustant sa tenue) : ça va ??

Moi : oui et toi ??

Elle : ça va comme tu le vois. Je dois rentrer à la maison avant 17 heures il ne faut pas que ma mÚre me trouve dehors.

Moi : je ne peux pas te déposer tiens le sous du taxi.

Elle (étonnée): le sous du taxi seulement ?? Et pour le plaisir que je viens de t'offrir ??

Moi : oh !donc c'est payant ??

Elle (sans aucune gĂȘne) : oui qu'est-ce que tu croyais ??

Moi : quel est ton prix ??

Elle : j'ai besoin de 500 milles.

Moi : quoi ?? 500 milles ?? Que tu vas faire quoi avec ??

Elle : bah qu'est-ce qu'on fait avec l'argent si ce n'est pas l'utiliser ??

Moi : je n'ai pas cette somme ici, il faut que j'aille faire un retrait Ă  la banque.

Elle : dans ce cas on ira ensemble alors.

Heureusement au maquis il y'a un distributeur automatique et ce n'est pas loin d'ici. Je ne crois pas que je viens de donner 500 milles juste pour une partie de jambes en l'air alors que j'ai une femme qui peut me faire tout ce qu'elle vient de faire (soupirant) bon ma femme est bonne au lit mais le gout de la petite est différente son vagin est trop serré et chaud.

Gracia

J'ai gardĂ© l'argent dans ma cachette, j'ai mis une robe en pagne et je suis partie faire le repas de ce soir. Evelyne doit trouver sa maison propre et la nourriture prĂȘte sinon bienvenue le bruit.

Je m'appelle Gracia, j'ai 16 ans, je suis en classe de premiÚre a l'école française. Enfant unique, j'habite avec ma mÚre dans le quartier Asiatique. Mon pÚre bah je ne sais rien de lui. Ma mÚre est directrice général d'une banque de la place, elle a 30 ans de nationalité ivoirienne.

Elle m'a dit un jour que mon pĂšre est de nationalitĂ© congolaise sans plus ni moins. Je ne connais mĂȘme pas le visage de mon pĂšre et lorsque je vois les autres enfants de mon Ăąge avec leurs deux parents, je suis triste, triste parce que moi je ne connaitre jamais ce que ça fait de vivre sous le mĂȘme toit avec ses deux parents.

J'ai connu les hommes à l'ùge de 14 ans, a l'époque on vivait à Kinshasa avec ma mÚre, elle travaillait à la banque centrale du Congo puis elle devait se rendre d'urgence dans son pays, du coup elle m'a laissée sous la responsabilité de son collÚgue de service Elvis. Le monsieur avait 35 ans, il était divorcé et vivait avec son fils de 6 ans.

Flash-back

Elvis (devant la porte de la chambre) : Gracia

Moi : oui tonton

Elvis : quelqu'un t'a dĂ©jĂ  dit que tu es trĂšs belle, que tu as un corps qui fait rĂȘver ??

Moi : non tonton

Elvis (s'asseyant sur mon lit): tu es belle Gracia, tu es le genre de fille que tous les hommes veulent avoir dans leur vie.

Je savais ce qu'il voulait dire, j'ai eu des relations avec mes collÚgues de classe mais on se limitait à des attouchements et pas plus. Je veux aussi sauter le pas comme ma camarade Sophie mais malheureusement tous les garçons du collÚge ont peur de le faire.

Sophie m'avait dit qu'il avait fait pour la premiĂšre fois avec leur voisin de 26 ans et depuis je l'envie parce que elle a pu faire ce que je n'ai jamais fait. Ma mĂšre est en couple avec un blanc et les jours oĂč il passe la nuit ici, j'entends ma mĂšre gĂ©mir, pleurer. Un soir j'ai surpris ma mĂšre en train de se faire prendre par son type dans la cuisine, j'ai voulait aussi jouer Ă  ses jeux, connaitre le gout qu'une femme ressens lorsqu'elle se fait prendre par un homme.

Elvis : tu es déjà une grande fille je crois que tu comprends déjà ce que je veux dire.

Moi : oui tonton.

Lui : appel moi Elvis. Tu as un copain ??

Moi : j'Ă©tais en couple avec un collĂšgue mais nous ne sommes plus ensemble.

Lui (tenant mon menton): vous avez couchée ensemble ??

Moi : non tonton juste des attouchements.

Lui : okay je vais t'apprendre tout t'inquiÚte ma chérie.

Le lendemain je ne suis pas partie Ă  l'Ă©cole, lui aussi n'est pas parti au travail. Nous Ă©tions allongĂ©es dans son lit, j'Ă©tais juste vĂȘtu d'une robe courte sans dessous, mon minou n'Ă©tait pas raser et lorsqu'il s'est rendu compte, il m'a proposĂ© de la faire pour moi. Au dĂ©but j'avais honte mais il a su me mettre Ă  l'aise.

AprĂšs la sĂ©ance d'Ă©pilation, il m'a lĂ©cher le minou, j'avais chaud et froid en mĂȘme temps, tout mon ĂȘtre Ă©tait en transe. A bout de ma vie, j'ai senti un liquide sortir dans mon vagin, j'ai cru que je me suis pissĂ© dessus mais non tonton m'a dit que je venais d'avoir l'orgasme.

Lui (assis sur le bord du lit): viens.

Je me suis accroupie au milieu de ses jambes, puis il a sorti son kiki de sa cachette, il m'a montré comment faire pour le sucé, au début je ne savais pas comment faire mais à l'aide de ses instructions je lui ai fait du bien avec ma langue.

Lui : tu apprends vite ma chérie .Allonge toi nous allons passer aux choses sérieuses, si je te fais mal tu me dis. D'accord ?

Il m'a pĂ©nĂ©trer pendant de long minutes avec ses doigts puis il a introduit son engin dans ma chatte. J'ai failli m'Ă©vanouir, j'ai mĂȘme pleurĂ© parce que j'avais mal mais il ne s'est pas retirĂ© non plus. Il faisait plutĂŽt de mouvements de vas et viens lent en me susurrant de mots doux a l'oreille. VoilĂ  comment j'ai perdu ma virginitĂ© Ă  14 ans sans que ma mĂšre ne se rende compte.

Tonton m'a fait prendre une pilule pour que je ne puisse pas tomber enceinte. Ce jour-lĂ  on n'avait baisĂ© toute la nuit et les autres fois je n'avais plus mal, je voulais qu'on continue de le faire et qu'on ne s'arrĂȘte jamais.

Lorsque j'ai dit à Sophie ce qui m'était arrivée, elle m'a conseillé de ne pas m'offrir gratuitement a tonton Elvis, qu'il doit chaque fois m'offrir des cadeaux, me donner de l'argent. Le jour suivant j'ai fait savoir à tonton Elvis qu'il doit m'offrir des choses, de grosses sommes d'argent sinon j'irai le trahir chez maman. Et depuis ce jour-là tonton Elvis répondait a tous mes caprices sans rechigne et en échange je lui offrais mon corps.

Malheureusement nous avons dĂ©mĂ©nagĂ© ici et tonton ne voulait pas d'une relation Ă  distance. Sa rĂ©action ne m'a mĂȘme pas un tout petit peu rendu triste, j'Ă©tais avec lui juste parce que j'avais envie de me faire coucher par un adulte expĂ©rimentĂ©.

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