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Les confessions de Nahima

Les confessions de Nahima

SOFIANE

5.0
avis
121
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28
Chapitres

Victime de ces sentiments qui marquent Ă  vie.

Chapitre 1 01

Chapitre 1

Tout commence il y a quelques années de cela...

La musique rĂ©sonnait dans ma tĂȘte, je me sentais bien, je me sentais dĂ©sormais libre.

Je rĂȘvais en laissant l'avion dĂ©coller, Paris Ă©tait dĂ©sormais sous mes pieds et le paysage ne cessait de dĂ©filer. Je retrouvais peu Ă  peu ce sourire que j'avais perdu depuis un certain temps.

Lunettes de soleil et autres accessoires accompagnaient ce moment si exceptionnel pour moi.

Entre mer et dĂ©sert, fraĂźcheur, chaleur et immensitĂ© j'Ă©tais encore endormie lorsqu'on commençait Ă  survoler la ville. L'arrivĂ©e venait d'ĂȘtre annoncĂ©e pour l'aĂ©roport Internationale FĂ©lix HouphouĂ«t Boigny.

AprĂšs un long vol Ă  destination de la capitale magique je n'Ă©tais plus qu'Ă  quelques minutes de voir enfin mon rĂȘve d'enfance se rĂ©aliser, toute ma famille allait ĂȘtre rĂ©unie et j'Ă©tais de plus en plus excitĂ©e Ă  l'idĂ©e de savoir que j'allais bientĂŽt pouvoir serrer ma mĂšre dans mes bras.

Lorsque je penchais ma tĂȘte vers le hublot les couleurs du ciel Ă©taient si chatoyantes que je savais d'hors et dĂ©jĂ  qu'il faisait beau au pays, le temps avait Ă©tĂ© clĂ©ment et ça tombait bien car au fond de moi j'Ă©tais persuadĂ©e que je partais pour vivre une expĂ©rience inoubliable.

Mon voisin d'Ă  cĂŽtĂ© semblait lui aussi trĂšs impatient d'y ĂȘtre tant il affichait une mine dĂ©tendue et heureuse.

Cela faisait maintenant 17ans bien comptés que j'avais vécu à Paris dans le 6eme arrondissement avec mon pÚre qui travaillait dans cette ville depuis ma naissance.

Ma mÚre quant à elle vivait à Abidjan avec mes deux frÚres, contrairement à ce que l'on aurait pu penser mes parents n'étaient pas séparés, ils étaient toujours bels et bien ensemble, un véritable couple atypique.

Ne me demandez pas pourquoi nous vivions auparavant ainsi car je serais incapable de vous rĂ©pondre, je n'avais pas la rĂ©ponse. Ces choses que je ne comprenais moi mĂȘme pas, je les avaient toujours trouvĂ©es comme ça et Ă©tait contrainte de vivre avec.

La seule chose que je savais c'est que c'Ă©tait Ă  prĂ©sent terminĂ©, les choses allaient ĂȘtre diffĂ©rentes car on partait rejoindre les autres pour toujours, fini la vie Ă  deux comme si nous Ă©tions seuls au monde.

Mon pÚre et moi foulions maintenant le sol de notre nouvelle terre d'accueil. A peine sortons-nous de l'aéroport qu'on apercevait une femme qui ne cessait pas de s'agiter au loin.

Lui : regarde Nahima, lĂ -bas, c'est maman.

Je n'avais mĂȘme pas encore eux l'occasion de bien la contempler qu'elle m'avait dĂ©jĂ  sautĂ© dans les bras, une foule impressionnante se pressait pour enlacer mon pĂšre on aurait dit qu'il Ă©tait un HĂ©ros.

- Nahima ma fille, regarde comment tu es belle, tu es toute grande, atout,monte sur mon dos ooh, je suis trop contente de te voir. Disait Bernadette ma mĂšre en me prenant dans ses bras.

Prise entre joie et frisson une chose ne cessait pas de retenir mon attention, je ne comprenais pas pourquoi tant de monde pour deux personnes, on n'était pas des rescapés de guerre à ce que je sache, apparemment j'étais vraiment décalée et ce n'était là que le commencement.

Au mĂȘme moment, mon pĂšre en rajoutait une couche :

- Tu n'embrasse pas tes frĂšres ? Allez Fabrice et Arnaud ne soyez pas timides saluĂ©s votre petite sƓur.

Euh aucune rĂ©action malgrĂ© ça, ils Ă©taient encore un peu statiques certainement pris entre Ă©motion et gĂȘne.

Bon on allait quand mĂȘme pas se regarder comme ça longtemps alors je prenais les devants.

Je me rapprochais d'eux et je leur faisais la bise.

- Vous allez bien ? demandais-je

- Oui et toi tu as fait bon voyage ? questionnais Arnaud le plus grand.

- Un peu fatiguĂ©e mais bon je suis qu'Ă  mĂȘme contente de vous voir et c'est l'essentielle.

- Bonne arrivée alors ... terminait Fabrice le frÚre cadet.

Chez nous en France on disait ' soit la bienvenue' et ici c'était 'bonne arrivée' un tas d'expression comme ça avec lesquels je devais rapidement me familiariser si je voulais m'en sortir cÎté linguistique.

Pour me rassurer, papa disait que j'allais trĂšs vite finir par m'y habituer....

Ensuite, on se dirigeait tous vers un énorme 4X4 noir qui se glissait rapidement dans les rues ensoleillées de la capitale.

Je découvrais la ville, c'était une grande premiÚre, le paysage était différent de ce que j'avais toujours l'habitude de voir mais quelque part ça avait du charme, rien avoir avec les clichés qu'on pouvait avoir sur l'Afrique de l'autre cÎté de l'occident.

Jusque là je n'ai vu ni jungle, ni cabane, mais plutÎt une civilisation charmante, agréable, pleine de vie et de modernisme.

La voiture s'arrĂȘtait Ă  la Riviera devant une petite Villa trĂšs coquette, qui allait ĂȘtre notre lieu d'habitation durant tout notre sĂ©jour; moi qui avait toujours vĂ©cu du haut d'un immeuble de 12 Ă©tages en arrivant dans ma nouvelle maison j'avais juste l'impression d'ĂȘtre dans un chĂąteau, quant Ă  ma chambre un vĂ©ritable jardin, enfin bref ... le 'kiff' quoi.

TrĂšs rapidement je prenais mes marques et je retrouvais une vie de famille normale.

Un jour alors que je traĂźnais encore dans ma chambre, maman venait m'annoncer que pour cette annĂ©e, c'est-Ă -dire ma derniĂšre annĂ©e au lycĂ©e, elle m'avait inscrit dans une Ă©cole catholique de sƓur ou il n'y avait que des filles.

La nouvelle tombait dans mes oreilles comme un véritable coup de massue. L'idée ne m'enchantait absolument pas d'autant plus que durant tout mon cursus j'étais dans un lycée mixte et là apprendre d'un coup qu'on voulait m'éloigner de l'univers masculin alors que j'étais déjà habituée à leur présence c'était tout simplement inimaginable pour moi.

Je me sentais déjà quasiment isolée il fallait que ça change car, pour moi ce n'était absolument pas possible.

Malheureusement la dĂ©cision de maman Ă©tait sans appels, ça allait ĂȘtre comme ça un point c'est tout, elle disait Ă  qui voulait l'entendre que cette Ă©cole Ă©tait un vĂ©ritable nid d'Elite et que toutes les femmes influente du pays y avaient pris leur marque du coup j'Ă©tais un peu obligĂ©e de me soumettre Ă  cette dĂ©cision qui Ă©tait sans Ă©quivoque.

Voilà une autre chose avec laquelle j'allais avoir du mal l'autorité parental. Mes habitudes différaient totalement de ce qu'on semblait vouloir me montrer, ici, en gros, s'agissant de tout ce qui me concerne je n'avais pas mon mot à dire ma mÚre décidait tout pour moi et je devais le prendre comme ça.

Bizarrement mon pĂšre qui depuis toujours m'avait laissĂ© faire se dĂ©solidarisait peu Ă  peu de moi et m'observait dĂ©pourvu de moyen subir la presque dictature de ma mĂšre mais , heureusement que, malgrĂ© des dĂ©buts difficiles car j'avais un mal fou Ă  m'adapter Ă  tout cela je finissais tout de mĂȘme par m'y habituer et Ă  prendre mes marques.

C'est ainsi que, peu de temps aprĂšs, j'avais fait la rencontre de Rokia, une voisine de maison qui frĂ©quentait le mĂȘme lycĂ©e que moi et qui allait par la suite devenir l'une de mes plus fidĂšles amies.

Peu Ă  peu elle et moi partagions un peu plus que nos Ă©tudes, on se disait pratiquement tout et rien ... Au point oĂč, lorsqu'arrivait les premiers congĂ©s d'hivers autrement dit les vacances de noel et que mes parents avaient dĂ©cidĂ© de m'envoyer faire une semaine Ă  Paris histoire de changer d'air trĂšs rapidement je sentais un manque.

Le jour de mon retour donc, je ne perdais pas une seconde, avant mĂȘme de dĂ©faire mes valises, je filais rapidement rejoindre mon amie, ma nouvelle sƓur qui m'avait tant manquĂ©.

Une fois chez elle, je parcourais toutes les piÚces de la maison direction sa chambre en ouvrant la porte toute enthousiaste, j'étais saisie de surprise, elle n'était pas seule, en effet, un jeune-homme se tenait couché à cÎté d'elle, lorsque, celui-ci dévoilait son visage et que mon regard croisait le sien, quelque-chose d'inhabituel se passait, une sorte de trouble, un bouleversement,j'étais un peu confuse et c'était assez impressionnant comme sensation.

DÚs lors, mon aventure en Afrique allait prendre une véritable tournure, c'était là, le début du bal des sentiments qui marqueront ma vie à tout jamais.................................................................................................................................

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