Login to Kifflire
icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon Déconnexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon
UNE PRINCESSE DANS LA MAFIA.

UNE PRINCESSE DANS LA MAFIA.

Roseli

5.0
avis
8.5K
Vues
21
Chapitres

Eliona Martins, princesse du royaume d'Algésiras se retrouve kidnappée suite à une vieille vengeance par un mystérieux inconnu qui la veut sous son emprise. Que va-t-il se passer ?

Chapitre 1 I.

Il lui ouvre le crâne devant mes yeux, le sang coule de partout et recouvre la salle puis, un autre coup de feu.

Je regardais tout cela terrorisée lorsqu'il posa son regard sur moi j'en pouvais plus je me suis évanouie pour la deuxième fois.

*

Un jet d'eau froid me réveille.

« je t'avais pourtant dit de rester à l'écart mais tu ne m'as pas écouté ! »

Il m'attrape les cheveux, j'ai mal puis il le relâche. Comment aies je fais pour me retrouver là ?

#___QUELQUES_JOURS_PLUS_TÔT___

– je t'ai demandé de mieux coiffer cette natte imbécile !

– pardon madame. Me dit cet idiote de servante.

– dégage !

– mais madame...

– je dis dégage ! MAINTENANT ! Et pas la peine de revenir ici je vais exiger ton renvoie immédiat !

– mademoiselle, je n'ai pas un autre boulot j'ai un fils s'il vous plaît ! S'agenouillant devant moi.

Je rie un instant qu'est ce qu'elle croit ? Que j'ai un cœur ?

– ¡Fuera! ( dehors !! )

Elle se lève s'incline et s'en va.

Je me lève de mon siège, une de mes servantes me met un peignoir une autre me présente une de mes robes royale posées sur le lit. Je prends place et je respire. Ah le pouvoir j'aime être bien traitée j'aime sentir la classe inférieure à mes pieds. Je me regarde dans le miroir que n'aies je pas ? Une longue chevelure brune ondulée en cascade jusqu'au dos, des yeux marron et profond, un corps de rêve une poitrine aguichante et un derrière rebondie.

Mon nom est Eliona Martins la fille du roi Elbert et la reine Rosa du royaume d'Algesiras nous sommes en Espagne. Je suis leur fille unique, la princesse promise au futur roi du royaume de Castille, Raphael Williams.

– SORTEZ TOUTES DE MA CHAMBRE ! Je le dis à mes inutiles de servantes elles sortent toutes de la chambre j'aimais mon intimité.

Lorsqu'elles sortent je vais ouvrir ma grande fenêtre pour prendre de l'air le vent souffle ainsi sur mes cheveux. Je pense, nous sommes à la veille de mes fiançailles publiques avec le prince Williams alors que je balayais le jardin du regard, je vois une silhouette qui m'est inconnue un homme plutôt barraqué grand de taille, torse nu et intimidant il m'observait de bas donc quand nos regards se sont croisés, il a détourné le regard tel un voleur pris sur le fait.

« hey ! » dis je perchée à ma fenêtre. Il ne m'écoute point et continue son chemin je descends donc moi même pour l'affronter. Je sors par la porte de ma chambre.

– Hey c'est à toi que je parle !

Il s'arrête mais ne se retourne pas pour me faire face.

– j'exige que tu te retournes !

Il ne le fait toujours pas.

– je suis la princesse imbécile donc retourne toi sujet de malheur !!

Il se retourne et me regarde en face. Quel toupet ! En même temps je ne peux m'empêcher de constater ce regard de fureur et mépris un regard qui me glaça.

– qui... qui es tu ?

« je n'ai pas d'ordre à recevoir de vous ! Qu'importe vos caprices »

– je te demande qui tu es !

« vous le saurez bien assez tôt ! »

Il se retourne et s'en va.

– REVIENS ICI ! Je t'ai dit de revenir ! Je suis la princesse !

Je n'ose pas le poursuivre j'entre dans ma chambre furieuse en étant certaines qu'il finira à la rue aujourd'hui même. Je me presse de me vêtir de ma robe longue belge.

On frappe à la porte.

– princesse.

Je la regarde avec une colère noire.

– je ne t'ai pas autorisé l'entrée pauvre servante !

– le roi, la reine et votre fiancé sont en bas il vous prie de descendre pour le petit déjeuner.

Je la dévisage cette Sara j'ai toujours haï cette servante misérable mais je le supportais je patientais le bon moment pour enfin me débarrasser d'elle.

– bien. Je reajuste ma natte et exige qu'elle me tienne la robe pour descendre.

Nous sommes descendues ensemble à peine j'étais à la fin des marches que mon fiancé me sauta dessus.

– princesse. Dit-il en s'avançant vers moi. Il me fit un baise-main et pris ma main pour descendre.

– que fais tu ici ? Je pensais qu'on ne devait pas se voir, surtout aujourd'hui nous sommes à la veille de nos fiançailles.

– je le sais. Il tire ma chaise et je m'assoie.

– Hola padre. Hola madre. (bonjour mère. Bonjour père ).

– j'avais envie de te voir. Continua Raphael. Et t'emprunter ta servante Sara j'ai un présent à lui remettre pour toi.

Je souris, j'étais très heureuse les cadeaux étaient la seule plus bonne chose que pouvait m'offrir un homme.

Les couverts de la table furent ouverts par les servantes, je tend la main et l'une me passe ma serviette.

–j'ai appris par Maria que tu veux la renvoyer. Me dit père en se servant :

– elle y va vite elle est venue pleurer à tes pieds.

– cesse tes enfantillages. Tu sais que cette pauvre fille a un fils à élever toi tu veux la chasser. Répliqua ma mère.

– elle m'a manqué de respect. Je me défend !

– et comment ? Demanda ma mère.

– Rosa si ma fille veut la renvoyer c'est son choix je suis d'accord elle a sûrement fait quelque chose. Conclut père.

J'étais heureuse papa cédait toujours à toutes mes demandes je fais une grimace à ma mère qui était en colère je gagne toujours et ce sera toujours ainsi.

– papa il y a ce jardinier que tu as embauché lui aussi je ne veux plus de lui.

– quel jardinier ? Répond-il.

– comment ça quel jardinier ? J'en ai vu un ce matin.

– tu deviens folle ou c'est le stress par rapport aux fiançailles Eliona ? Demanda ma mère.

J'étais troublée je ne l'avais pas immaginé il était bien réel quand nous nous sommes vus.

Quoi qu'il en soit le petit déjeuner a repris son cours et le silence également. À la fin, le prince nous a quitté et a pris Sara avec lui je ne voulais pas m'énerver car il me réservait une surprise tout de même. Tout allait pour le mieux.

Je suis sortie prendre l'air sur ma chaise dans le jardin en fait c'était plus un moyen pour moi d'observer à nouveau le jardin pour me rassurer de ne pas avoir halluciné en ce qui concernait cet homme mais à mon grand malheur, il n'était pas dans le jardin mettant ainsi mon calme à rude épreuve.

– votre thé princesse. C'était une servante.

Je le lui arrache presque des mains et lui fait signe de partir. Tous ces gens de bas peuple me mettent les nerfs à vifs.

#___ LE_SOIR_VENU___

Il est 20h quand je suis devant mon miroir, me mettant de la poudre pour dormir j'étais très en colère contre Raphael il ne nous avait pas encore rendu notre servante et je n'avais toujours pas reçu de présent de sa part.

Ma poudre routine finir, je vais m'assoir sur mon grand lit quand mon téléphone bipe c'est un message. Je l'ouvre.

« hôtel Mercure chambre 23 Raphael Williams y est ».

Pff quel sottise. Je jette mon portable et me positionne pour me coucher Raphael est en prince de renom il ne fréquente pas les hôtels. C'est ce que j'essayais de me persuader pourtant je me suis retournée sur mon lit plus d'une dizaine de fois je n'avais pas les idées claires je suis curieuse je dois le vérifier.

Je n'avais que mon pyjama léger, mes longs cheveux ondulés en un chignon quand je suis sortie par la porte de ma chambre qui menait au jardin afin de sortir en douce vec ma voiture.

Mission réussie !

Je suis montée et ai démarré très rapidement ce ne sera qu'une affaire de 10minutes pour satisfaire ma curiosité et pour pouvoir réduire en bouillie l'auteur de ce texte.

Je suis arrivée !

Je descends de la voiture et trouve la réception elle avait l'air assez anxieuse.

– princesse !! Princesse c'est un plaisir de vous recevoir ici.

Elle me bloque le passage menant au couloir.

– hôte toi de mon chemin. Lui dis-je avec un air effrayant.

Elle n'a pas d'autre choix que de se pousser car les autres nous observaient.

Je monte en trombe pour retrouver la chambre 23 je ne savais pas pourquoi mais j'ai l'impression que c'est de plus en plus vrai.

Je trouve la chambre et les clés déposéeq sur la moquette au sol. J'entends des gémissements venant de l'intérieur donc je les ramasse et ouvre.

Mon fiancé était bel et bien là au dessus de ma servante Sara en train de lui prendre dans la position communément appelé " cheval " ils étaient tous nus tous les deux et surpris voir même choqués de me voir.

– princesse ! Me lance cet hypocrite. Il se lève sur ma servante et s'approche de moi.

Je lui colle une gifle assez serrée.

– comment... comment tu...

L'autre se lève également l'air coupable je la regarde sangloter comme un bébé elle était nue devant moi.

– princesse... princesse... je...

Je sors de la chambre très vite et monte dans ma voiture je ne pleure pas je ne pleurerais pas pour ça. Ne pensez pas que le faite qu'il me trompe me fasse mal non c'était loin de là mais qu'il m'humilie en couchant avec la servante ça je ne l'accepte pas cette craceuse a quoi de plus que moi ?

J'ai mis assez longtemps avant d'arriver au palais dans le but de tout raconter à mes parents mais lorsque j'arrive je vois tous les gardes du corps de l'entrée principale à terre, la grande barrière a été forcée. Que se passe-t-il ?

Je sors de mon véhicule et tout est comme un champ de guerre, poussée par l'inquiétude j'entre tremblante.

Doucement, j'avance jusqu'au salon principal où j'y entend des gémissements de douleur on aurait dit la voix de mon père.

Prenant mon courage à deux mains, j'entre et le trouve à terre gisant dans son propre sang.

– PÈRE !! PÈRE !! Que s'est-il passé ? Pourquoi vous êtes dans cet état ? J'étais en larme déjà sous le choc sans savoir que le pire était devant.

Il me regarde et force pour parler.

– ma... ma...

– que s'est-il passé ? Qu'est ce tu as papa ?

– fui ! Va t'en d'ici ! Le château il est attaqué.

Je pleurais à chaude larmes comment cela a pu arriver ? En deux heures que je sois sortie de la maison ? Jamais une attaque n'avait été aussi grave. J'étais paniquée, choquée je ne voulais pas laisser mon père ainsi que s'était il passé ?

– levez vous allons nous en d'ici !

– tu dois partir Eliona je te l'ordonne sort d'ici si non ils vont te tuer fais ce que je te dis je vais gérer.

– et maman ?

– ça ira ! Alors va t'en. !

Avec beaucoup de mal je lève et avec difficulté je sors je n'arrête las de regarder en arrière mes larmes ne faisaient que s'accentuer.

De nul part, un groupe d'hommes surgissent et se jettent sur moi. Ils me couvrent la bouche et m'embarque mon cri s'étouffe entre la paume de sa main.

– AVANCE SALOPE ! M'avait dit celui qui me tenait.

Ils m'ont fait entrer dans une voiture noire avant de m'y abandlnner avec un mystérieux chauffeur deux hommes autour.

– qui êtes vous ? Je vous ordonnes de me lâcher.

« à vos ordres princesse ! » me dit ce chauffeur

Mais cette voix... un mouchoir blanc m'atterit sur les narines j'ai de la peine à respirer je sens mes forces me quitter alors que ma vision devenait flou peu à peu je vis son visage, c'était lui...

– bienvenue dans ton calvaire princesse...

À Suivre...

Continuer

Autres livres par Roseli

Voir plus

Inspirés de vos vus

Cœur de Glace: Fragile Espérance

Cœur de Glace: Fragile Espérance

Milliardaire

5.0

Kalinda Mon cœur est comme du verre cristallin très fragile. Il se briserait à rien. Non. Je corrige! Il a déjà été brisé. Piétiné encore et encore par mes parents adoptifs et ma sœur cadette. Aussitôt que cette naissance miraculeuse est survenue dans la famille, de ma petite sœur adorée... Je n'étais plus la saveur du jour. Je n'avais plus le moindre intérêt. Papa! Maman! Pourquoi m'avoir adoptée, si c'était pour m'abandonner, de même que l'avaient fait mes parents biologiques avant vous? Je ne comprends pas! Je ne peux me battre. Je ne peux me défendre. Je ne dois même jamais m'agiter... plus que de raison! C'est ce que me disent mes parents adoptifs depuis toute petite! Parce que mon cœur est fragile. Eh oui, vous l'avez bien compris! En plus d'être si durement traitée depuis l'enfance... Je suis aussi atteinte d'une maladie chronique. Je ne peux en aucun cas m'agiter... ce qui risquerait d'aggraver ma situation. Je me suis donc enfermé dans le silence. Dans un parfait anonymat, acceptant la défaite contre ma sœur cadette encore et encore... Acceptant l'éloignement constant de mes parents, petit à petit... jusqu'à être reniée et chassée de ma propre maison! Acceptant l'abandon et le rejet si cruel de tous les gens qui m'étaient si proches! Acceptant aussi tous mes rêves brisés. Mais c'était avant qu'il entre dans ma vie... lui... cet homme qu'on dit pourtant si dur et si cruel avec le sexe faible! Lui dont les femmes disent à Orlando qu'il a un cœur de glace! Il est devenu ma rédemption. Mon jardin secret. Ma fragile espérance. Ma vie peut-elle vraiment changer? Le soleil peut-il entrer dans ma demeure? C'est le rêve très vivide que William Fairsight tente de me vendre quand je le trouve à mon chevet à mon réveil, dans cette chambre d'hôpital si froide et impersonnelle, et qu'il affirme que ma maladie n'est pas du tout incurable tel qu'on me l'avait laissé croire jusqu'ici. William Fairsight m'a redonné vie. Comment pourrais-je lui témoigner mon éternelle reconnaissance? «Épousez-moi!» ordonne-t-il d'une voix qui est sans appel. «Ma vie vous appartient.» lui dis-je alors, d'un seul souffle. Il est mon sauveur, mon libérateur. Même s'il désirait m'infliger les pires tortures imaginables, tout cela pour son plaisir personnel, je l'accepterais sans hésiter! Mais William Fairsight est-il vraiment ce sadique empli de cruauté que toutes ces femmes décrivent? Petit à petit j'apprends à découvrir que derrière cette façade très cruelle, se cache en fait un homme très tendre!

Chapitres
Lire maintenant
Télécharger le livre