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Les Larmes de Mon Destin

Les Larmes de Mon Destin

Noushky

4.4
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Chapitres

MA BELLE-MÈRE ~°° : "s'approche de moi "en me lorgnant de haut en bas" tu penses que tu mĂ©rites mon fils MALIK ? Tu te trompes largement p'tite effrontĂ©e... MOI : mais qu'ai-je donc fait belle-maman? C'est quoi cet acharnement contre moi ? Qu'ai-je fais ? Mais qu'ai-je donc fait de mal pour ĂȘtre traitĂ©e de la sorte. Disais-je Ă  me belle-mĂšre d'une triste voix en me mettant Ă  ses pieds MA BELLE-MÈRE : et elle ose me couper la parole?? Mais tu t'imagines Oumar? DĂ©gages de lĂ , tu ne mĂ©rites pas d'avoir une belle-mĂšre comme moi. MALIK mon fils vois-tu le genre de femme que tu as Ă©pousĂ© ? Regarde toi mĂȘme le genre de femme que t'as amenĂ© dans la famille et tu te dis ĂȘtre un homme?

Chapitre 1 Chapitre Ier

MA BELLE-MÈRE ~°° : "s'approche de moi "en me lorgnant de haut en bas" tu penses que tu mérites mon fils MALIK ? Tu te trompes largement p'tite effrontée...

MOI : mais qu'ai-je donc fait belle-maman? C'est quoi cet acharnement contre moi ? Qu'ai-je fais ? Mais qu'ai-je donc fait de mal pour ĂȘtre traitĂ©e de la sorte. Disais-je Ă  me belle-mĂšre d'une triste voix en me mettant Ă  ses pieds

MA BELLE-MÈRE : et elle ose me couper la parole?? Mais tu t'imagines Oumar? Dégages de là, tu ne mérites pas d'avoir une belle-mÚre comme moi.

MALIK mon fils vois-tu le genre de femme que tu as Ă©pousĂ© ? Regarde toi mĂȘme le genre de femme que t'as amenĂ© dans la famille et tu te dis ĂȘtre un homme?

Mais oĂč se croit elle ? Mais Franchement si je l'humilie de la sorte c'est pour OUMAR je veux qu'il voye que j'ai du respect pour sa Maman. Surtout qu'il m'a dit que sa mĂšre compte Ă©normĂ©ment Ă  ses yeux. Il tient trop Ă  elle. Parfois je me demande mĂȘme si Oumar est un vrai homme. En prĂ©sence de sa maman il devient comme un gamin et agit avec immaturitĂ©. Mais lorsqu'elle n'est pas lĂ  il devient une toute autre personne.

MA BELLE-SƒUR : ehhh....ehhh...ehhh baisse tes yeux quand maman te parle. Non mais qu'elle idiote celle-là

MOI : je ne te permet pas de me parler de la sorte sale petite fille gùtée.

MA BELLE-SOEUR : maman.... Regarde tu as entendu ce qu'elle a dit ? Est-ce que tu as entendu ce qu'elle a dit ?

MA BELLE-MÈRE : calme-toi Adama, calme-toi mon enfant.

MA BELLE-SOEUR : non maman comment veux-tu que je sois calme en pareil moment ? Il faut que tu sauve l'honneur de ta fille chérie. Donne lui une bonne correction.

MOI : arrĂȘtes d'importuner maman tu ne vois pas que t'es un poids lourd pour elle??

BELLE-MÈRE : tu la boucles Jahmila sinon tu en recevras une... C'est mon trĂ©sor que tu traites de fille gĂątĂ©e ? MALIK tu es lĂ  tu ne dis rien comme toujours ? Tu es mĂȘme sĂ»r que t'as des couilles ? C'est pas grave si t'es pas capable de rĂ©agir je le ferai Ă  ta place.

OUMAR : Mais Maman !!!

MA BELLE-MÈRE : tais-toi OUMAR tu n'as pas ton mot Ă  dire. Tu as laissĂ© cette chose manquer du respect Ă  ta petite sƓur et aussi Ă  moi ta maman. Je suis trĂšs déçue de part ta rĂ©action mon fils MALIK.

Disait elle à haute voix avant de regagner la chambre des invités suivie de sa fille une vraie vipÚre celle-là.

Mais comment Oumar pouvait-il ĂȘtre si Mou-mou en prĂ©sence de sa Maman. Je vais ĂȘtre franche il m'a aussi déçu j'aurais aimĂ© qu'il prenne mon parti comme je l'ai toujours fait.

Bref pour le moment je prĂ©fĂšre ne pas soulever le sujet, il risque trĂšs mal le prendre. Mais je soupçonne que sa mĂšre veuille prendre le contrĂŽle de sa vie. En ayant les commandes de tous ce qui concernerait son fils : son salaire, son travail, sa vie de couple, sa famille. C'est Ă  elle de dĂ©cider si les enfants doivent aller voir leur Grands-parents du cĂŽtĂ© maternel. Et ce qui est bizarre dans tout ça c'est que si sa maman dit "a" il ne s'y opposera pas. MĂȘme si cela a des rĂ©percussions sur lui.

Je prends un moment de réflexion puis je m'asseois au prÚs de mon mari Oumar MALIK qui visiblement n'avait plus mon temps.

MOI : bĂ©bĂ© ? Pourquoi fais-tu cette tĂȘte ? J'aime pas ce silence mon amour. Stp parles moi

Il se lĂšve et se dresse devant moi

OUMAR : non mais Jahmila t'as vu tout ce que t'as créé ? Voilà ma maman est fùchée contre moi tchrrr lùche moi les pédales un moment tu veux ?... Et quelle est cette maniÚre de traiter maman de la sorte??

MOI : "en secouant timidement ma tĂȘte" de quoi parles tu ? Qu'ai-je fais Ă  maman ? Je lui ai pourtant parlĂ© de maniĂšre polie. Aussi si ta mĂšre est fĂąchĂ©e contre toi cela ne me concerne guĂšre. T'avais qu'Ă  ne pas rester muet.

OUMAR : ah c'est comme ça maintenant okay .... Donc madame pense qu'elle a agis de façon polie en coupant la parole à ma mÚre. Mon unique parent qui me reste ? Vieille de son état tu oses lui manquer du respect ?? en plus en ma présence ?

Et de sur quoi madame pense toujours qu'elle a bien agit c'est ça ?

Les oncles se retiraient un Ă  un de la maison en saluant uniquement mon mari me laissant lĂ  comme un vieux poteau Ă©lectrique sans valeur.

OUMAR se leva lorsqu'il vit son Oncle MOUKTAR lui faire un signe de la main. Les deux se sont dirigés vers l'extérieur de la maison.

OUMAR MALIK

AprÚs une trÚs courte période de tension entre ma femme Jahmila et moi. Je vit mon Oncle MOUKTAR à travers ses gestes de la main me demandant de le suivre vers l'extérieur.

MOI : oui Oncle MOUKTAR que voulais tu me dire d'autres ?

ONCLE MOUKTAR : Mon fils...

MOI : oui papa

ONCLE MOUKTAR : mon fils...

MOI : oui Oncle

ONCLE MOUKTAR : mon fils...

MOI : oui Oncle

ONCLE MOUKTAR : je t'ai appelé combien de fois ?

MOI : trois fois Oncles MOUKTAR lui rĂ©pondis je en baissant lĂ©gĂšrement ma tĂȘte vers le bas.

ONCLE MOUKTAR : j'espÚre que tu as bien compris ce que nous t'avons dis lors de la réunion ?

MOI : ne t'en fais pas mon Oncle j'ai bien compris ce qu'il faut faire à présent. T'as pas à t'en faire je sais ce qui me reste à faire.

ONCLE MOUKTAR : là n'est pas le problÚme je crains que ta femme le prenne trÚs mal. Elle risquerait péter un cùble c'est à toi de la calmer lorsque l'occasion se présentera.

MOI : mon oncle tu n'as rien à craindre je maßtrise la situation. Elle le comprendra j'en suis persuadé.

ONCLE MOUKTAR : ne sois pas si sĂ»r que ça mon fils, moi aussi dans mon passĂ© je dĂ©gageais la mĂȘme assurance que toi mais Ă  la fin ça avait mal fini. Il y avait eu des morts et les regrets ont suivis. Je te conseille d'ĂȘtre trĂšs patient avec ta femme trĂšs patient mĂȘme. Car ce que ta mĂšre est entrain de vouloir faire dĂ©truira ton couple et toi aussi par la mĂȘme occasion. Prends garde mon fils

MOI : oncle j'ai beaucoup de respect pour ta personne. Tu m'as toujours donnĂ© de trĂšs bon conseils mais celui-ci n'est pas le meilleur. Je ne peux plus patienter c'est au dessus de mes capacitĂ©s. Et en plus RAÏSSA est dĂ©jĂ  enceinte de moi tu m'entends ? Elle porte mon enfant et pour rien au monde je ne laisserai Jahmila m'empĂȘcher d'ĂȘtre papa.

Ma dĂ©cision est prise j'epouserai RAÏSSA, si Jahmila souhaite toujours rester alors les portes lui sont grandement ouvertes. Car c'est en partie grĂące Ă  elle que je suis lĂ  oĂč je suis Ă  prĂ©sent mais si il s'avĂšre qu'elle veuille semer le trouble dans cette maison alors lĂ  elle pliera bagages. Dans le cas contraire je la mettrai moi-mĂȘme dehors.

ONCLE MOUKTAR : sois sage mon garçon ne commets pas les mĂȘmes erreurs que moi.

MOI : j'en ai assez Oncle MOUKTAR, arrĂȘtes de me comparer Ă  toi. Si tu as fait des erreurs dans ton passĂ© cela te regarde. Je n'en ai rien Ă  faire de ton passĂ©. Laisse-moi vivre ma vie. J'espĂšre que j'ai Ă©tĂ© clair.

ONCLE MOUKTAR : D'accord c'est comme tu veux. Tu me déçois vraiment beaucoup mon Fils. Mais laisse-moi juste te dire ces quelques mots. "Ce n'est pas au vieux singe qu'on apprend à faire des grimaces".

Ta maman détruira ta vie crois-moi il est encore temps d'agir mon fils MALIK.

MOI : vas-tu te taire ?? Laisse ma maman en dehors de tout ça. Oncle MOUKTAR j'avais beaucoup d'estime pour toi mais là tu viens de me prouver que tu ne mérite pas cet estime de ma part.

ONCLE MOUKTAR : soit.... Je t'aurais au moins mis en garde mon fils

MOI : je ne suis plus ton fils est-ce clair? La prochaine fois que tu oseras mal parler de ma maman je ne répondrais plus de mes actes. Tu peux t'en aller Oncle je n'aurai plus besoin de toi.

JAHMILA COULIBALY

J'étais assise dans un des canapés du salon manipulant mon téléphone lorsque je vis ma belle-mÚre accompagnée d'une demoiselle que je n'avais jamais vu.

Les deux semblaient vraiment de comprendre, il y avait une complicité impeccable entre les deux femmes.

Curieuse de mon Ă©tat, j'ai voulu en savoir plus sur elle.

MOI : heu qui c'est une invité ? Demandais-je avec courtoisie

MA BELLE-MÈRE : tsuiiip... et bien ce n'est pas une invité. Sache qu'elle est venue pour rester ici désormais elle logera dans cette maison avec mon Petit bébé, le bébé de MALIK.

Je n'arriverai pas Ă  comprendre ce qui se passait. OUMAR nous avait rejoins Ă  l'instant.

OUMAR : mais maman on s'Ă©tait mis d'accord que c'est moi qui devrait lui annoncer la nouvelle. Il faut que tu apprenne Ă  tenir ta langue tu l'as fait exprĂšs maman je le sais.

MA BELLE-MÈRE : oups désolé OUMAR j'avais tellement hùte qu'elle le Sache que je n'ai pas pu me contrÎler. Maintenant qu'elle le sait elle va se calmer et cesser de s'agiter comme une gamine celle-là.

MOI : mais de quoi parlez vous ? Oumar ?? J'attends des explications...

Je me dresse devant Oumar puis je lui demande.

MOI : qui c'est ? Et qu'est-ce qu'elle fout ici?

OUMAR n'arriverait pas à me répondre et fuyait mon regard. J'ai su que quelque chose n'allait pas. Il me cachait un truc. Je commençais à me douter de quelque chose

MOI : tu vas parler?? Et qu'est-ce que ta mÚre voulait-elle dire en faisant allusion à "elle logera désormais dans cette maison avec le bébé?" De quel bébé parlait elle ?

... : Maman j'aime bien cette robe regarde, et je trouve qu'elle est trĂšs belle

MA BELLE-MÈRE : trÚs trÚs belle

.... : Elle te plaĂźt aussi

MA BELLE-MÈRE : oui elle me plaßt ma fille. Elle t'ira à merveille j'en suis certaine.

.... : Orrr merci maman hihihi..

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ESTEVAN venait tout juste de terminer le travail qui lui avait Ă©tĂ© confiĂ© par son patron et Ă  l'instant il regagna aussitĂŽt la chambre conjugale oĂč il espĂ©rait trouver sa femme dans une tenue sexy. Il ouvre la porte et fut Ă©tonnĂ©, il trouva sa femme couchĂ©e sur le lit, mais visiblement elle dormait dĂ©jĂ . ESTEVAN : ChĂ©rie...ChĂ©rie que fais tu ? tu dors dĂ©jĂ  ? as-tu oubliĂ© ce que l'on devait faire ensemble aujourd'hui ? demandait il a sa femme en la secouant un tout petit peu. MIA : or j'aime pas quand on me dĂ©range pendant mon sommeil. Qu'est-ce qu'il y a encore ESTEVAN ? Demanda-t-elle d'un ton assez tĂ©nĂ©breux Estevan essaya alors de la caresser et... ESTEVAN : Mais c'est un Jean ?? Pourquoi as-tu mis un Jean MIA ? MIA: Ne me touche plus Estevan. Je peux savoir qui t'a donnĂ© l'autorisation de me toucher de la sorte. ESTEVAN : Je suis ton homme, et j'ai le droit de te toucher oĂč je veux. allez lĂšve toi.. Tu me l'as pourtant promis qu'aujourd'hui serait le jour idĂ©al pour le faire. Surtout enlĂšve moi ce Jean Mia et que ça saute !! MIA se redresse du lit avec pĂ©nibilitĂ©... MIA : Quoi !? Ai-je bien entendu ? T'es qui pour me dire ce que je dois faire ou pas ? faire l'amour est devenue forcĂ© ? je n'enlĂšve pas mon Jean fais ce que tu veux faire. Comme tu veux procĂ©der par la force je t'attends. Estevan essaie Ă  nouveau de caresser MIA mais ce dernier se voit rejeter par sa femme. ESTEVAN : mais qu'est-ce qui ne va pas avec toi MIA ? pourquoi me repousses tu ? MIA : je n'ai plus tout simplement envie de faire l'amour avec toi okay ? est-ce difficile Ă  comprendre ? ESTEVAN : Ça fait plus de 8 mois que nous n'avons pas fait l'amour et il faut que je te l'avoue ça me gĂšne beaucoup. PrĂ©sentement j'ai trĂšs envie de toi MIA et aussi tu me l'as promis qu'on passerait Ă  l'acte dĂšs ce soir. J'ai dĂ©jĂ  trop entendu tu vois et lĂ  je n'en peux plus faisons-le. MIA: oh non!! Je ne peux vraiment pas mon chĂ©ri je suis tellement fatiguĂ©e, trĂšs Ă©puisĂ©e mĂȘme ça va devoir attendre. Stp laisse-moi me reposer stp Estevan je n'aimerais pas ĂȘtre dĂ©sagrĂ©able avec toi. ESTEVAN : ça va devoir attendre ? mais comment ça attendre ? Dois-je te rappeler que depuis que nous nous sommes mariĂ©s nous n'avons jamais fait l'amour ? 8 mois sans passer Ă  l'acte ? mais MIA c'est pas possible. MĂȘme le jour de notre lune de miel tu as inventĂ© un truc soit disant que tu ne te sentais pas bien et maintenant tu me sors l'excuse de la fatigue incroyable !! Mais MIA qu'est-ce qui ne va pas ? as-tu peur du sexe ou tu n'aimes le sexe ? MIA : ESTEVAN...Tu me traites de menteuse maintenant ? okay j'ai compris. Mais ce qui est certain est que aujourd'hui je ne peux pas et je ne veux pas qu'on parle du sexe car je suis trĂšs fatiguĂ©e stp laisse-moi dormir okay ? ESTEVAN : Mia je t'ai demandĂ© d'enlever ce Jean.. MIA : je ne l'enlĂšve pas. ESTEVAN : D'accord d'accord fais comme tu veux. Ça ne regarde que toi. Ce qui est sĂ»r dĂšs demain il y aura une Assise familiale parce que lĂ  tu y vas un peu fort. MIA : bref fais comme tu veux. Ça ne me pose aucun problĂšme MR...Mon mari. ESTEVAN trĂšs en colĂšre se lĂšve du lit conjugal oĂč il n'a encore jusqu'Ă  prĂ©sent conjuguĂ© le verbe aimĂ© avec sa tendre bien aimĂ©e MIA et se dirige vers le salon. MIA Quant Ă  elle ne se prĂ©occupait de rien tout pour elle Ă©tait son sommeil.

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