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Au cœur du destin

Chapitre 3 Chapitre 03

Nombre de mots : 5021    |    Mis à jour : 08/07/2023

un coup d'œil. Elle soupire avant de lancer: La fille inconnue : ce sont des lâches qui s'acharnent sur les maths. Moi: Il vaut mieux que je m'acharne sur les maths si je ne veux pas av

n n'aurait pas lieu. Elle était obligée de dormir ici. Mamère : mais pourquoi ? Chancelle : en réalité, je dois la vie à Adoï. Il m'est venu à la rescousse alors que j'étais agressée par des jeunes sans scrupules qui voulait abuser de moi et qui sait, en finir avec moi. Mamère : mon Dieu. J'espère que tu n'as.... Chancelle : heureusement que Adoï était venu à temps sinon le pire aurait survenu. Rufi: le héro mon grand frère... mon grand frère...mon grand frère ouuuufff quelle fierté. Moi: Je n'ai pas ramené Chancelle chez elle parce qu'elle ne sentait pas bien après ce qu'elle a subi. Elle voulait être loin de toute sa famille. Mon père : tu as bien fait de l'amener ici. Mais Chancelle il faut que tu dénonces ces hors la loi. Chancelle : non monsieur c'était juste des jeunes trop ambitieux qui cherchent à tout prix à se faire un nom. Mon père : sois dorénavant prudente ma fille. Chancelle : c'est compris Monsieur. Ma mère : et si tu as besoin de quoi que ce soit, cette maison est grandement ouverte pour toi. Chancelle : Merci beaucoup madame. Ma mère : au moins avec toi, je suis sûre que mon fils donnera tout pour te voir en sécurité. Moi: Maman toi aussi, ne commence pas. Rufi: Apparemment je ne suis pas la seule à voir les choses sur un point de vue de prospérité. Toute la famille se mit à rire. Le petit déjeuner se prit dans des commérages de toute nature. C’est papa qui nous laissait en premier puisque le devoir l’appelait. Il taquinait Chancelle avant de partir en lui disant que la maison lui est ouverte et qu’elle forme un mignon couple avec moi. Rufi eut un encouragement sans fin en chantant qu’elle sait voir des choses selon leur valeur. Bref le petit déjeune finit et je raccompagne Chancelle vers le portail. Moi : Donc tu ne veux vraiment pas que je te ramène chez toi ? Chancelle : je suis grande et je peux me débrouiller pour renter. Moi : et pourtant, tu ne l’avais pas dit la fois dernière lorsque ces jeunes sans scrupules étaient sur le point d’abuser de… Chancelle : Oui je le sais. Il faut être honnête car je ne sais ce que je serais devenue si tu n’étais pas là hier pour me défendre. Moi : tant mieux. Prochainement je suis sûr que tu t’en sortiras. Chancelle : Ne t’inquiète pas car mon ange gardien, mon héro est là pour me venir à la rescousse. Moi : voilà je deviens grand quelqu’un. Chancelle : oui mais ne t’imagine pas certaines choses de tout ce que ta famille a fait part. Moi : et qui t’avait dite que je me faisais d’idée à ce propos ? Chancelle : voilà car tu es la dernière personne avec qui je rêverai être ensemble. Moi : ne t’inquiète pas puisque tu n’es non plus de mon genre. Ouuuufff voici un taxi. Et à la prochaine petite acariâtre. Le taxi s’arrête et elle s’y engouffre. Je fermai la portière. Avant que le chauffeur ne parte, je l’arrêtai pour poser à la fille une question qui me brulait les lèvres depuis un moment que je voulais oublier. Je fixe Chancelle dans ses yeux et lui demandai : Moi : Chancelle est vraiment ton prénom ? Chancelle : Putin Adoï je ne savais pas que tu es si bête. Donc tu penses que je donnerai mon vrai prénom même si c’est devant tes parents ? Le monde est dans des risques perpétuels et il faut s’en méfier.Je ne donnerai jamais mon vrai prénom tant que tu ne prendras pas ta revanche. C’est à croire que je prends à la légère ce défit que je te lance. Donc il te reste un long voyage à faire. Moi : J’aurais tout vu dans cette vie. Mais je ne pensais rencontrer une fille aussi têtue, hypocrite, orgueilleuse et tout comme toi. Je prendrai ma revanche. La fille inconnue : Oui je le suis et je l’accepte. Alors il te reste un long chemin mon cher. Chauffeur allons-y. Le chauffeur démarre et ils partirent. La fille inconnue continuait de rire. Elle se retourna et me fit signe par la main.......... Le chauffeur démarre et ils partirent. La fille inconnue continuait de rire. Elle se retourna et me fit signe par la main. Je retournais dans ma chambre quand j’aperçus Eric qui venait vers moi avec un sourire enchanté. Il serait sans doute en train de se faire des idées puisqu’il m’aurait vu sortir avec la fille inconnue. Eric : alors bonhomme. La nuit s’est bien passée apparemment chez toi. Moi : Je remercie Dieu. Je suis sur pied. Eric : Comment ça été avec elle ? je viens de la voir sortir. Moi : Il ne s’est rien passé entre elle et moi. Eric : Plus les mêmes actes se multiplient, plus je deviens convaincu par les propos de ta sœur qui te trouve comme un impuissant. Moi : Eric vous me connaissez que quiconque. Ce n’est pas mon truc les filles. Voilà ce qui s’est passé… Je me mis à explique cela à Eric. La scène de tentative de viol de la nuit passée. A la fin, Eric me compris un peu. Je rejoins ma chambre et me je me jette sur mon ordinaire pour un travail. J’étais en plein travail quand Rufi vint me signaler qu’on me charge. Je descends et trouve Christ. Je fus tellement étonné. Depuis que nous nous sommes connus, Christ n’avait jamais pensé me rendre visite. Certes je lui avais caché mon identité et presque tout de moi. Mais sa curiosité n’était pas allée loin à connaître chez moi. Aujourd’hui, le voir ici est un honneur. Quand je descendis les escaliers un à un, il me regarda avec ses yeux de curiosité qui se rivaient ici et là à la contemplation de la grande maison. Moi : Bonjour Christ. Christ : Bonjour mon grand. Comment tu vas. Moi : je vais bien et très content de t’avoir vu. Mais assois-toi s’il te plaît, ne reste pas débout. Christ : Je faisais un tour et puisque tu m’avais toujours dit que ta maison est dans ces parages, j’ai décidé de connaître chez toi. Moi : c’est vraiment gentil de ta part. Pendant que nous étions en train d’échanger, Rufi nous apporta sur un plateau un jus d’orange bien frais. Je fixe ma petite sœur pour lui tirer les verres au nez. Elle l’avait bien deviné en me lançant immédiatement : Rufi : Quoi tu veux ma photo ? Moi : C’est très polie de nous donner à boire. C’est vraiment gentil de ta part sourette. Rufi : je suis loin d’être une fille irrespectueuse. Moi : Christ voici ma petite sœur Rufi. Rufi voici mon meilleur ami Christ. Christ : je suis content de faire ta connaissance très aimable Rufi. Rufi : Le plaisir est patargé Christ. Au moins toi tu as une bonne tête par rapport à mon grand frère.Bon je vous laisse à présent. Rufi alla chercher son sac et elle partit. Christ et moi restâmes quelques minutes avant de décider d'aller dans la chambre. Une fois là, Christ commença par s'exclamer sur le bel confort dans lequel je vivais. Christ : Adoï tu es dans un paradis toi. J'aurais dû me douter de tes origines. Moi: Christ et si je te disais que je ne me plais pas dans ce confort tu ne me croirais point. Et bien évidemment, je ne suis pas à l'aise. Christ : Mais pourquoi ? Tout le monde veut vivre comme toi. Et toi tu veux le contraire de ce que les autres veulent ? Moi: Christ, tu ne me comprends pas. Regarde, je suis le fils du premier ministre de l'état. Je ne suis pas libre de mes sorties. Regarde comme toi tu as la possibilité de sortir et de te promener là où cela t'enchante. J'ai dû être catégorique avec mon père qui voulait mettre à notre disposition, ma sœur et moi, des gardes du corps. Si j'acceptais cela, je serai toujours la cible potentiel de toute démence humaines. Christ : je te comprends. Mais... Adoï : Christ, je suis sincère. Certes je vis dans le confort mais je ne suis pas dans l'allégresse. J'ai dû cacher mon identité pour me sentir un peux vivre. Christ: C'est vrai. Et je m'excuse à nouveau pour mon comportement dès que j'ai su qui tu es. Mais cela ne change en rien. Je voulais chercher une excuse pour voler ma lâcheté devant la réalité qui s'impose à moi. Adoï : Tant mieux pour toi. Je suis sûr que Hélène et Elmire seront dans l'étonnement en apprenant qui je suis réellement. Bon suffit pas de parler. Le mercredi, c'est le match des filles. Christ : tu iras. Moi: Pour rien au monde, je ne raterais cela. Christ : Ainsi que moi. Christ et moi nous discutâmes un bon moment avant qu'il ne me quitte. Et ma routine reprit son cours. Le mercredi matin, nous allâmes au cours. Mais sur permission, Hélène, Elmire comme toutes les filles étaient à l'entraînement. Nous étions dans notre commérages, Christ et moi, quand la fille inconnue débouche dans notre collège dans son uniforme scolaire. Je la regarde avec étonnement sans comprendre ce qu'elle cherchait dans cet établissement. Christ était ahuri en me voyant fixer cette fille sans cesse. Elle se dirige vers la direction et y entre dans le bureau du directeur. Christ : Qui est cette fille et pourquoi tu la fixes comme ça Adoï ? Moi: C'est une longue histoire. Christ : Haaaaa je crois qu'elle t'a foudroyé par son charme. Sinon elle est impeccablement belle comme la lune perchée dans le ciel. Adoï : Garde tes qualifications pour elle dès que vous ferez connaissance. Je te parie que tu regretteras

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