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La destinée de Adestaille

La destinée de Adestaille

Marcel46

5.0
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16
Chapitres

Il arrive parfois d’observer au sein d’une famille des cyclones qui ravagent les cœurs des membres qui forment cette famille. Famille qui fait couler le même sang dans les veines de chaque progéniture mais qui frémit de mésentente, de colère et autre. C’est certain, on est issu d’une même famille mais une dichotomie se lit dans nos yeux et nos manières de conduite. C’est la raison pour laquelle l’on ne finit et ne devons jamais les mêmes quand bien même nous sommes de la même provenance. Un trait aussi petit soit-il, lime et crée l’être de chacun, fais de lui un autre monde et donc unique en son genre. Il faut le reconnaître lecteur, le sang fait de deux personnes une seule personne, une seule famille mais le cœur en fait des milliers. Ne soit donc pas étonné de voir des réactions perverses qui transpercent les cœurs et la gentillesse qui ravitaille la carence de la joie quand bien même la perversité et la gentillesse sont deux caractères différents posés par deux personnes qui partagent le même sang. Cela s’avère une réalité que ni toi lecteur ni moi ne pouvons nier.... Et autour d’une grande table, dans une grande maison décorée tel le paradis, une famille du même sang prenait le petit déjeuné. Il y avait deux jeunes filles, deux jeunes garçons et un adulte qui est sur le point d’atteindre le troisième âge. Et La domestique de la maison, clouée tel un esclave, regardait cette famille qu’elle offre un grand soin de ménage pour aider son mari à joindre les deux bouts afin d’assurer l’avenir de leur seul enfant. La vie, un courant qui n’offre point le même prestige à tout le monde reste toujours injuste dans ses actes. Mais c’est la loi de la jungle de l’existence sur la terre qui s’impose à tout le monde. Alors on se résigne, courbe la nuque et subit en silence son verdict. Le mutisme fut brisé par une voix à connotation acariâtre voir même dépassée : - Bon sang Adjou tu veux que je souffre du diabète ou quoi ? Tu as trop mis le sucre dans le thé.

Chapitre 1 Chapitre 01

Il arrive parfois d’observer au sein d’une famille des cyclones qui ravagent les cœurs des membres qui forment cette famille. Famille qui fait couler le même sang dans les veines de chaque progéniture mais qui frémit de mésentente, de colère et autre. C’est certain, on est issu d’une même famille mais une dichotomie se lit dans nos yeux et nos manières de conduite. C’est la raison pour laquelle l’on ne finit et ne devons jamais les mêmes quand bien même nous sommes de la même provenance.

Un trait aussi petit soit-il, lime et crée l’être de chacun, fais de lui un autre monde et donc unique en son genre. Il faut le reconnaître lecteur, le sang fait de deux personnes une seule personne, une seule famille mais le cœur en fait des milliers. Ne soit donc pas étonné de voir des réactions perverses qui transpercent les cœurs et la gentillesse qui ravitaille la carence de la joie quand bien même la perversité et la gentillesse sont deux caractères différents posés par deux personnes qui partagent le même sang. Cela s’avère une réalité que ni toi lecteur ni moi ne pouvons nier.... Et autour d’une grande table, dans une grande maison décorée tel le paradis, une famille du même sang prenait le petit déjeuné. Il y avait deux jeunes filles, deux jeunes garçons et un adulte qui est sur le point d’atteindre le troisième âge. Et La domestique de la maison, clouée tel un esclave, regardait cette famille qu’elle offre un grand soin de ménage pour aider son mari à joindre les deux bouts afin d’assurer l’avenir de leur seul enfant. La vie, un courant qui n’offre point le même prestige à tout le monde reste toujours injuste dans ses actes. Mais c’est la loi de la jungle de l’existence sur la terre qui s’impose à tout le monde. Alors on se résigne, courbe la nuque et subit en silence son verdict. Le mutisme fut brisé par une voix à connotation acariâtre voir même dépassée : - Bon sang Adjou tu veux que je souffre du diabète ou quoi ? Tu as trop mis le sucre dans le thé. - Mais mademoiselle c’est la même quantité du sucré que je vous ai mise comme d’habitude marmonna faiblement Adjou la domestique de la maison, une femme d’un âge avancé. - Donc tu me traitres de menteuse c’est ça. - Tu vois que tu es impolie Cybèle. Elle n’est pas ton égale pour que tu lui parles ainsi. Contrôles ton langage répondit une voix peinte de gentillesse, de respect c’était la voix de Belphanie, la grande sœur à Cybèle. - Oui l’avocate du prolétaire est présente pour mettre la justice là où règne l’injustice lança une voix d’un orgueilleux. - Eude je ne te permets pas de me traiter ainsi répliqua avec colère Belphanie. - Vous ne voyez pas que je mange répondit une voix autoritaire. Faite alors moins de bruit les petits. C‘était le grand frère des enfants. Il s’appelle Pamphile. - Les enfants la vie vous apprendra qu’il ne sert à rien de se tyranniser sur certaines choses qui ne valent pas la peine. Et qu’il faudra cultiver le cœur avec la plus grande délicatesse que vous avez afin de vous assurer un avenir meilleur. Sur ce, je nous souhaite une bonne journée. C’était une voix de la sagesse qui vient de parler. C’était le père de la maison. Il s’appelle Alphonse. Alphonse est un homme loyal, d’un âge avancé, il assurait convenablement les besoins de sa famille. Il avait créé son entreprise qu’il gérait avec une grande attention. Les affaires marchaient bien et il gavait ses enfants d’une grande opportunité. Pour preuve, Pamphile avait sa propre voiture vu qu’il était en deuxième année d’étude à université. Les trois autres avaient en commun la même voiture car ils étaient tous dans un même établissement. Bref les enfants régnaient dans l’opulence totale. Pamphile s’était levé suivit de Belphanie qui avait perdu l’appétit à cause des caprices de sa petite sœur. Tout porte à croire qu’elle était la plus gâté dans l’amadouement cette Cybèle. Elle en avait profité et jouait correctement la princesse du temps. Cybèle est une fille âgée de quinze ans. Elle faisait la troisième, une classe d’examen qu’elle n’hésite pas à prendre à la légère. Elle aime les m’as-tu vu en tout lieu. Sa langue délire des paroles cinglantes qui font courber la nuque des gens qui se plaignent de n’être pas aussi riche pour tenir tête à une gamine qui parle avec véhémence. Elle aime les protocoles et ne se laisse jamais s’humiliée en aucun cas. L’orgueil était son ruisseau au sein duquel elle nage à bon aloi. Bref c’était une fille au caprice multidimensionnelle. Contrairement à sa petite sœur, Belphanie est une très belle fille au yeux telle la lune qui luit au cœur du ciel. Elle est âgée de dix-huit ans et est en classe de terminale. Elle est très respectueuse et assidue au lycée. C’était la « savante » de la famille. Depuis son inscription dans le cursus scolaire, elle n’a jamais connu la défaite d’une classe. Son père et bien d’autre personne sont fiers d’elle. Elle incarnait la gentillesse et le respect au vrai sens du terme. Enervée par sa sœur, elle alla se réfugier dans leur voiture pour le départ. Sa sœur vient et comme d’habitude, elle reste du côté des passagers. Elles attendaient maintenant le chauffeur. Ce dernier sortit avec son sac à dos. C’était Eude qui se donne le plaisir de conduire ses sœurs au cours. Son orgueil a fait perdre un emploi à un chauffeur qui se chargerait de les conduire partout ou bon les semble. Mais Eude jouait l’intello pour se laisser conduire par un chauffeur. Il avait contraint son père qui n’a pas hésité une seconde à donner la permission de prendre des cours de l’autoécole. Et pour la première fois, il réussit cette étape avec honneur. La prise de son permis de conduite était égale au renvoie de leur chauffeur. Mais leur père était un philanthrope du nom pour laisser un chauffeur si respectueux aller en chômage. Il s’engage immédiatement à un autre poste. Eude s’en moquait pas mal car ce qui comptait pour lui, c’est qu’il conduise sa voiture. C’est avec ce statut d’arrogance qu’il monta à bord et sans tarder, il mit la voiture en marche. La domestique Adjou avait ouvert la porte. Eude jette un coup d’œil dans le rétroviseur interne de la voiture et remarqua que Cybèle n’avait pas mis sa ceinture. C’est avec une voix d’assurance qu’il lança : - Bon de Dieu combien de fois voulez-vous que je vous dise que la première des choses à faire une fois dans la voiture c’est de mettre sa ceinture de sécurité ? faite le ou vous sortez de la voiture. Connaissant son caractère typique au sens péjoratif, ses sœurs exécutaient sans riposter. Le vrombissement de la voiture frémit sous un geste du pied de Eude sur l’accélérateur et partit en trompe. La musique sonnait à flot dans la voiture. Cybèle secouait sa tête au rythme de la musique qui coulait. Belphanie était dans son coin, regardant de par les vitres le paysage, les hommes et les maisons qui défilaient. Son attention quitte sa contemplation et se rive sur la conduite exagérée de Eude. Subitement, ce dernier serra son côté gauche inconsciemment, déclenché par un geste de sa main qui suivait le rythme de la musique. Belphanie cira : - Eude attention ! Trop tard la voiture percuta un jeune élève en tenue kaki qui était à vélo.................. Connaissant son caractère typique au sens péjoratif, ses sœurs exécutaient sans riposter. Le vrombissement de la voiture frémit sous un geste du pied de Eude sur l’accélérateur et partit en trompe. La musique sonnait à flot dans la voiture. Cybèle secouait sa tête au rythme de la musique qui coulait. Belphanie était dans son coin, regardant de par les vitres le paysage, les hommes et les maisons qui défilaient. Son attention quitte sa contemplation et se rive sur la conduite exagérée de Eude. Subitement, ce dernier serra son côté gauche inconsciemment déclenché par un geste de sa main qui suivait le rythme de la musique. Belphanie cira : - Eude attention ! Trop tard, la voiture percuta un jeune élève en tenue kaki qui était à vélo. Le choc fut un peu dur ce qui propulsa le jeune élève qui s’écrasa sur l’asphalte. Eude continuait son voyage sans chercher à savoir l’état de sa victime. - Eude tu as intérêt à t’arrêter si tu ne veux pas que la police, à plus forte raison la population te poursuit dit Belphanie. L’intervention de la fille obligea Eude qui s’arrête par contraint à quelque vingt mettre de l’accident. Pendant ce temps le jeune élève se levait avec peine tout en cherchant ses affaires. Belphanie court pour l’aider à se lever. Elle l’inspecte quelques secondes et lui demande : - Vous n’avez rien de casser j’espère ? Il faut qu’on vous amène à l’hôpital, vous saignez au bras. - Non ce n’est pas la peine ça ira. Ne vous inquiétez pas mademoiselle. - Veillez excuser mon frère. - Ne vous en fait point. C’est un accident et ça arrive souvent. - Tenez cette somme. Vous pouvez prendre quelques comprimés pour apaiser la douleur du bras. - Non je ne peux l’accepter. Il faut que j’aille je serai retard. - Tenez, vous avez oubli votre stylo dit Belphanie en le ramassant. Après l’avoir remis le stylo, elle laissa glisser lentement un billet de cinq mille francs dans le sac du jeune élève qui avait oublié de fermer. Belphanie soupire avec joie que cette victime puisse en profiter de cette somme pour en faire quelques chose. Elle regarda le jeune qui s’éloigne sur son vélo. L’aisance de l’homme ne doit pas l’aveugler ni faire de lui un monstre. Bien au contraire, elle doit lui montrer le chemin de l’humanisme. Belphanie en fait un prototype et ce caractère l’ennoblit et la différentie des autres. Eude la tire de son observation en lui demandant. - Madame la pharisienne, avez-vous fini de sauver le mourant ? Nous pouvons partir maintenant ? Belphanie ne répondit pas et rejoignit sa place. Le reste du trajet se fit dans un mutisme sans aucune musique. Le conducteur était dans une immense concentration. On aurait dit qu’il avait eu une dose de prudence après cet incident survenu. L’école privée où fréquentaient Belphanie et ses frères inondait déjà d’élève dans leurs tenues qui les allaient à merveille. Pantalon bien repassé, les chaussures bien cirées, les verres au nez, montre au poignée chez les garçons. N’en parlons pas pour les filles qui se donnent le grand soin chaque jour pour séduire telle ou telle personne. Bref à voir l’allure que prenait les accoutrements des élèves, on n’est pas loin de s’imaginer que c’était une école réservée pour les enfants des cadres renommés. Eude sort de la voiture et une fille de teint claire débouche des autres filles et vient se jeter dans les bras de Eude en disant : - Mon mignon adoré est là. Bien réveiller mon prince. En ce moment, Belphanie contournait la voiture pour se rendre dans la classe. Elle regarde le couple et dit à leur égard : - Ton mignon qui a failli tuer un pauvre garçon ce beau matin. Apprends-le à être prudent au volant qu’à l’embrouiller. Eude et sa copine regardent Belphanie sans savoir quoi dire. Celle-ci n’attendit pas leur réplique et continua son chemin en silence. La sirène vient de sonner et tous les élèves entrent en salle. Comme d’habitude, les cours se déroulaient bien du matin jusqu’à l’après midi. En effet l’école de Belphanie ouvrait ses portes à sept heures et les ferme à quatorze heures. C’était une stratégie selon le fondé qui permettra aux élèves de pouvoir révisez les autres cours et faires des recherches pour approfondir leur connaissance. Il en reste à savoir si réellement ces apprenants se donnent la peine d’user ses heures de liberté avec efficience. D’autres se donnent la liberté d’aller en ballade, d’autres en profitent pour rattraper un moment perdu. Mais d’autre en font bon usage. C’est parmi la dernière catégorie que figure Belphanie qui était concentrée sur un livre de grammaire à leur retour des cours. Cybèle avait les yeux rivés sur la chaîne Novelaste qui diffusaient ses feuilletons préférés. Eude était sorti comme d’habitude avec la voiture. La sonnerie de la maison vient de sonner une fois, deux fois et trois fois sans que Adjou, la domestique ne sorte de la cuisine. Apparemment, elle n’était pas dans la cuisine. - Oh mon Dieu qui veut casser mes tympans en sonnant ainsi. Mais Adjou n’est pas là pour aller ouvrir ? criait Cybèle. - Qu’est-ce qui t’empêche d’aller ouvrir ? Demanda sa grande sœur. Cybèle se lève péniblement pour aller ouvrir la porte. Quand elle atteint cette dernière, elle l’ouvre et en même temps, elle cria « Toi ici ? ». Belphanie glissa ses oreilles pour entendre ce que disait sa petite sœur. - Mais que fais-tu ici ? Ou bien tu as apporté une plainte à mon frère de t’avoir renversé ? - Excusez-moi je ne comprends rien. Je suis ici pour… - Cybèle quand vas-tu changer ? Ta manière de parler n’est pas bonne. Coupa Belphanie à la personne qui parlait. Bonsoir s’il vous plaît entrez. Prenez place s’il vous plaît. La personne à qui s’adressait Belphanie n’était rien d’autre que le jeune que Eude à cogner ce matin. Belphanie alla l’apporter de l’eau vu qu’il transpirait. On aurait dit qu’il avait couru sur plusieurs distances. Belphanie s’assis de l’autre côté du vaste salon et demanda au jeune homme : - Alors comment va votre bras qui saignait ? - Mieux. Elle ne me fait plus mal. - Que puis-je faire pour vous ? - Je suis venu voir ma mère. A suivre la description que m’a fait mon père, c’est ici qu’elle travaille. - D’accord patientez un peu s’il vous plaît. Je vais la chercher. Elle doit être surement de l’autre côté de la maison dans le jardin. - Merci beaucoup c’est gentil de votre part. Belphanie partit à la recherche de Adjou. Cybèle jetait des coup d’œil méchant au jeune qui ne cessait de transpirer malgré la présence des climatiseurs. Le jeune garçon inspectait avec une grande attention la maison. Il comprit immédiatement le range qu’occupe cette famille. Une pensée lui traversa l’esprit et il se dit : « Le bonheur d’un jour n’est que le fruit du labeur de sa veille ». Tout bonheur, lecteur ne s’acquiert qu’après avoir sacrifier son corps et son âme dans le labeur. Le bonheur qui s’acquiert par héritage n’est point un mérite mais plutôt un poison qui consume tous les bons caractères de l’héritier. Ce poison métamorphose ce dernier car il est dépourvu des vrais mérites de l’opulence qu’il en profite. Il faut alors compter sur soi-même pour forger sa propre aisance en prenant appuis sur les reliques financiers familiale pour trouver son chemin et non faire de ces reliques siennes sans suer. Quelques minutes plus tard, Belphanie revient avec la domestique qui ne cessait de demander pourquoi son fils venait la chercher. Elle remercia Belphanie de l’avoir prévenue de la présence de son fils et l’accueil qu’elle a offert à ce dernier. Elle entraine son fils dehors afin de mieux parler. Une fois dans la cours, elle reste devant son fils et lui demande la raison de sa présence. Belphanie observait la mère et le fils à travers les vitres. Son visage changea quand elle vit la domestique Adjou attraper la tête. La domestique devenait triste. C’est certain que son fils lui rapportait une mauvaise nouvelle. La domestique revient à la hâte dans le salon et parla avec la plus grande gentillesse à Belphanie. - Mademoiselle Belphanie je vais m’absenter pour quelques heures. Pourriez-vous dire à votre père que mon mari est souffrant et que je dois l’amener à l’hôpital ? - Ne vous inquiétez pas Adjou. Vous pouvez prendre cette soirée. Et prenez soin de votre mari. - Merci beaucoup mademoiselle je vous suis reconnaissante. Le repas est prêt il ne reste qu’à réchauffer. Si son état se stabilise, je reviendrai… - Ce n’est pas la peine Adjou. N’ayez aucune crainte je me chargerai de tout. Allez vite auprès de votre mari. - Merci mademoiselle que Dieu vous bénisse. L’homme a beau respecter tout le monde mais sa richesse et sa gentillesse obligent les autres surtout les pauvres à le respecter plus qu’il ne faillait. Belphanie est une fille que Adjou, la domestique pouvait mettre au monde. Mais le rend social la contraint à vouer un immense respecte à la famille et même au plus petit. L’opulence de l’homme fait de lui un maître mais son comportement jugera de quel genre de maître il est. La domestique partit avec son fils à la ressource de son mari. Belphanie observe la petite famille qui vient de franchir le seuil du portail. Elle se souciait du fondé de la famille sans l’avoir vu une fois. Elle prie que la situation ne soit pas trop harassante pour cette pauvre famille. Le soir, elle mouvait ici et là pour faire la table. Quelques minutes plus tard, toute la famille était réunie. Eude ne laissa rien échapper à ses yeux quand il vit que c’était Belphanie qui servait à manger. - Maintenant c’est la protectrice de la bonne qui sert à manger ? Belphanie ne répondit pas et continuait son travail. Le silence est une réponse qui provient de la sagesse quand certaines personnes n’ont que le vilain plaisir de mutiler la quiétude des autres. Il faut l’impose, ce silence pour accroître son degré de sagesse. C’est un geste aussi simple soit-il mais un geste d’une grande signification.

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