Laisse-moi partir
bleau de chasse, comparer leurs petites histoire
agréables. Je me mettais à penser à Paolo, plus précisément à Paolo et Tina, sa p
ême. Je m'étais perdue ces dernières années, je m'étais oubliée. On peut croire qu'on ne sera jamais « l'autre femme », qu'on ne sera jamais capable de tenir cette place. Mais un beau jour, vous rencontrez un ho
s partiriez ou est-ce
Mais après ça, après la colère, l'amour est revenu. Non, je dis n'importe quoi. Cet amour ne m'avait jamais quitté, pas une seconde. Paolo aussi est revenu,
je l'a
ttera jamais pour moi. Je reste dans le déni, sans trop l'être vraiment parce que je me rends compte des choses. Je n'ai jamais voulu être ce genre de femme, ce genre qui prend l'homme d'une autre, ce gen
dix ans cette année. Leurs parents étaient des amis de longues dates. Les parents de Tina possédaient la moitié des hôtels du pays, et les parents de Paolo la mo
s, c'était une qu
Ensuite, c'était quand les chantiers auraient commencés. Plus tard, quand les pre
pas m'en aller. Une partie de moi ne voulait pas partir non plus, c'était sans doute pour ça que je le laissais me retenir à chaqu
lement contre cette relation. Il déteste plus que tout Paolo, ils en sont déjà venus aux mains tout les deux. Il a menacé Paolo de tout dire
dans le dos pour le retenir auprès de moi. J'étais une femme accomplie, j'avais vingt-cinq ans et je vivais dans une belle maison que j'avais acquis l'
tite nouvelle et il l'avait remarqué. Il était un habitué de la boutique. Il venait s'acheter ses costumes toutes les deux semaines. Il en avait
ui s'occuperait de lui la première. A mon étonnement, il m'avait choisi ce jour-là. Laissant toutes les autres folles de jalousies mais je n'y pouvais rien, je n'avais rien demandé. A vrai dire, j'avais même autre chose à faire que de m'attarder sur un client
er. Il avait sans doute remarqué que je n'étais pas emballée par cette