Mes choix de vie
: L'ouraga
assi
e j'ai posé mon pied dans la maison que tous les ga
xant) : Que
e te revoir aka ? Pourquoi
t vu hier ! Et qui plus être dans ce
s parti, on ne pensait plus te revoir hein ! On
sçant) : Je
eurs [Levant les yeux] Romaric n'est pas là ? C'
on nous parle fort non ? A ca
u naitre. Voilà comment on nous parle fort ici
art dans Libreville av
lui dire que sa frangine préféré lui passe chaleureus
r ton bagage ici oh ? Elle envoie déjà les bises en plus à e
) : C'est déjà là-bas
e connais pas le frangin. Pourquoi j'ai refusé que mes
ux pas être à cause d
Moi en tout cas, je t'ai prévenu.
ord ! Je pr
chambre. J'ai retiré mes vêtements que j'ai mis dans le panier à
fixant)
en souriant) : Rien Rien...J
nsuelle) : Et qu'e
evant) : V
a défait de nœud de mon drap de bain en le laissant s'écraser sur le sol. Il s'est mis
[m'embrassant sur les deux épaules à tour de rôle] je vois aussi une poitrine sublime [embrassant mes tétons en palpant le reste].
au niveau de mes chevilles avant de remonter au niveau de ma bouche en embrassant langoureusement toutes les parties de mon corps auxquelles il avait accès. Je me sentais mouiller à la seconde m
Il ne faisait que me fixer avec un sourire maléfique. Je l'ai alors rejoi
: Tu ne vas plus
is on n'est pas pressé ! En plus
[baillant] Donc je t'accompagne prendre ta douche ensui
fixant
? Mais c'est sans problèmes hein ! Se laver n'a jamais été une obligati
tait déjà plein, puis je suis allée prendre cette douche et faire descendre la pression. En sortant, Loïc m'attendais devant la porte. Je l'ai laissé
onne nuit Cassie !
il ne me touche pas ? Bad, là j'ai juste envie d'être secouée et comme il veut me torturer Dieu sait pourquoi, je vais faire de même. J'ai pris mon téléphone sur la tabl
as. Il n'a pas encore terminé de bien me regarder. M'en fiche ! Quand on fait son lit,
) : Cassandra qui t
e, personne n'a l'air de me manger. Pourquoi cet
! Tu ne peux pas être en pleine forme et te mettre à regarder des films
je disais tantôt, tout va bien !
ui, n'avait pas bougé d'un seul iota. D'un mouvement brusque il m'a arraché le tél
lanc des yeux) : Qu'est-c
ant les lèvr
sant) : Viens c
èvres entre les miennes. J'ai recouvert son corps de baisers jusqu'à son s*xe que j'ai sorti de sa cachette. J'ai effectué quelques mouvements de vas et viens à l'aide de mes mains afin qu'il prenne de sa superb
rognant comme un ogre qu'il a versé de justesse sur le lit. Il s'est avancé vers moi en m'embrassant langoureusement, puis d'une main, s'est mis caresser son membre avant de me faire asseoir dessus d'un coup sec. Il m'a fai
e une folle, mais c'était trop bon. Je n'ai eu d'autres choix que me laisser p
e] Je me suis servi un verre d'eau que j'ai bu d'un trait avant de me laisser tomber sur le lit. Loïc est rentré dans la chambre torse nue, comme à son habitude. Je me suis mise à regarder ses abdos d'un seul œ
ouvertement hein Mbourou ! Ce n'est p
Bonjour mon Amour.
. Je ne te repose pas la question
près la nuit que j'ai passé
dre ta douche, retirer les draps et les tremper
evant) :
puis j'ai enfilé un t-shirt assez ample et un leggins. J'ai rejoint Loïc dans la cuisine afin de voir si je pouvais l'aider. Vu que ce n'était pas nécessaire, je me
ef, une fois que je me suis rassurée, j'ai raccroché avant de me prélasser dans le lit. Je dois aller au boulot dans quelques heures, mais Dieu sait combien j
sa serviette nouée autour de la taille, puis reviens quelques minutes plus tard tout mouillé. Il dénoue sa serviette,
) : C'est bon ? Je ne
is façon dont tu me regardes comme si j'étais un m
erais mieux de te dépêcher
mettre devant le miroir et peigner ses cheveux. Apres q
: je vais y aller pour
regard) : D'accor
sant) : On s'a
on t'appelle hein ! ET si tu es trop pris, e
isous] Passe une bonne journée et n'oublie pas
: D'accord ! Passe une
e, puis j'ai enfilé ma tenue. J'ai pris mon sac, téléphone et autres affaires avant de lever les voiles également. C'est sur la route que je me suis rendue compte que j'avais complètement
j'ai foncé dans la chambre sans prêter attention à tout ce qu'il y avait autour de moi. J'ai sorti la clé afin d'ouvrir la porte, mais je me rends très vite compte que la porte est déjà ouverte. J'entre
st rentré dans ma chambre et a fouillé me
len
murs de cette maison ! Ma question est claire ! Alors j'attends une
comme une folle comme ça pourquoi ? Tu ne
faille tout le quartier se réveille, qu'ils se réveillent tous
le cadenas sur le compteur comme pour dire que personne ne l'uti
chambre ? C'est toi Eugénie qui a mis tes pieds dans
enas que tu as mis sur le compteur non ? Au moins la prochaine fois tu sauras
e ressentais au moment où je l'avais en face de moi était indescriptible ! J'avais beau résister et dire qu'il s'agissait de ma tante, de l
P
er main ? A moi Eugénie Malamba ? [Furieuse] Ecoute moi bien Cassandra tu es
place. Parce que tôt ou tard, cette situation devait arriver ! Il devait arriver un moment où on devait en ve
lui mettre les gifles. Elle a placé ses mains sur son visage en hurlant comme folle sans que je ne m'arrête pour autant. Elle a tiré mon tissage de toutes ses forces en me mordant le bras jusqu'au sang. Elle m'a fait basculée, puis s'est mise à
es coups avant que je ne sente des mains me
petite impolie comme ça ! Sauvage et mal éduquée et après tu t'étonnes que tu n'attires
eupler le Gabon ! On ne te prendra toujours que comme une fille de joie ! Cette qu'on use jusqu'à la lie et qu'on jette comme une vielle chaussette ! Epave que tu es, c'est t
ooooiiiii ! Je vais lui casser la gueule [se dé
oi aussi ! Tu vas te
me c'est mordre les gens avec les dents ? Loleuh ! Pitiation ! Le bruit seulement cadeaux ! Tu viens muscler ta bouch
ca tout de suite ! Tu crois que c'est comme ça que les pro
ant) : Mais lâchez mo
amille ! Lorsqu'on se comporte comme une personne sans éducation, on assume ! [Hurlant] D'ailleurs, qu'elle prenne ses chif
rends pour qui ? [Hurlant] Mais lâchez moi
nt] On b*ise tous les hommes dans cette maison donc que chacun prennent ses responsabilité. Que chacun assume sa merdique de vie sans emmerder les gens comme on le fait tous sur cette terre ! Lorsque je rentre, je ne vous pl
e vêtements. J'ai récupéré ma tenue de travail et mon sac avant de fermer la porte de ma cham
tuelle de « Les écrits d'Elisa ». Aucune copie ou reproduction quelco
Production Origina