Un regard...Une seule fois
Un regard....
rtais encore les habits de la veille, j'avais une de ces migraines, et une de ces gueules de b
s encore ? Tu es rentrée bien tar
sorti hier soir, j'étais avec ma copine Marie-
re : Tu
, un peu trop m
se que tu ne fa
après sa sortie de prison, j'avais dû lui dire la vérité, elle était très touchée, mais m'avait fortement déconseillé de sortir un
ne te juge pas, mais je te demande juste fair
duraient pas très longtemps, je me lassais vite et je m'en débarrassais avant que ça ne tourne au vinaigre ; certains m'avaient toujours parlé de mariage, mais loin de moi cette idée, ça m'avait toujours répugné, le mariage, vivre aux côtés d'un homme et avoir toujours des comptes à rendre !!! Je ne me sent
elle les trouvait moins incommodants et surtout ils savaient s'occuper d'elle ; moi par contre j'aimais surtout leur fric et ce qu'ils pouvaie
ue tu fais là ? Tu cours dans le sac
crochée à ce BÉRENGER et le résultat, on le conn
vie ! Heureusement qu'elle comprenait souvent le message indirectement, et elle finissait par s'en aller. Mais je dû la subir ce weekend ; elle était dans ma chambre, je venais de me réveiller, j'avais la migraine. Elle savait que je
is que je ne bois pas sou
tu étais saoule, ça veut dire
uelqu'un... Après le reste de la soirée.... Je sais pas trop ! Oui ! On était assis côte
ut cas... Tu es u
une grande fille, j'avais appris à me battre, à me débattre pour tout, sans que personne n'éprouve un peu de compassion à mon éga
té, un « chaud » avait prit soin de me payer ma chambre d'étudiante ! Ma mère était libre, elle tentait de se reconstruire, c'était difficile, elle était restée vivre chez son frère à l'époque; moi j'étais partie en trombe, je ne supportais plus l'ambiance qui y régnait, toute la maisonnée était convaincue que c'est moi qui avait
ntrain de siroter mon verre de whisky, j'étais debout, je me balançais tout doucement au rythme de la musique, me laissant bercer; il n'était pas très loin, sa table était juste à quelques mètres ... Il ne détachait pas ses yeux de moi, ça m'avait mise un peu mal à l'aise ; de temps en temps je lui lançais aussi quelques cou
un de ces « durs » dont on ne citera pas le nom. Elle venait aussi de se réveille
reusement que je t'ai appelée pour savoir si tu étais bien arrivée, tu m'as dit oui ! C'e
image de sa tête lorsqu'on s'est rencontrés, ensuite je ne me souviens pas si nous
pouvais vous décoller à l'heure là ! Je t'ai juste demandé si tu savais
: Et
te raconte, du moins là où tou
eine perdue, j'étais déjà pintée à fond, je riais, et je bavardais, on se serrait l'un contre l'autre, on dansait, on se collait....On s'emb
e sais pas qui c'est ???? Ce n'es
.On doit rentrer, mais comme tu es saoule
uiétez pas, je vais
ne : On peut vous
usqu'à chez elle, comme elle n'est pas en état,
Ok, je vais t'appele
té de m'appeler, peine perdue, mon
as pu décrocher et me confirmer que tu étais rentrée, mais
s'est séparées à qu
es 2h du matin comme ça, j'étais inqui
j'ai vu tes a
tu es rentrée à 4h ça veut dire que l
en sais rien, ça c
ppeler, question de savoir ce qui s'est réellement passé,
ai fouillé et refouillé mon téléphone fatigué
consciente, je tentai de me rappeler concrètement ce qui avait pu bien se passer entre cet homme et moi, je n'osais même pas me l'imaginer, mais je pense que si nous eûmes des rapports, je l'aurai peut être ressenti d'une m
t pas signe de vie d'ici là ma chère même
aire un tour chez le gynéco tu vois ? Parce que sil il s'est passé q
vais les tenir parfois ces hommes, je savais les faire languir, j'arrivai souvent à obtenir ce que je voulais avant de me retrouver avec eux sous la couette, je le faisais vraiment de manière très sélect ! Mais cet homme rencontré ce soir là, pourquoi m'étais je autant laissée empoter ? Je me posais et me reposais s
e vous finirez avec moi sur la piste de d
: Pa
: Si s
st ce qui vous
! Ce n'est
est stupide
Mais vous finir
s de shots que vous ne parviendr
elle...Surtout quand vou
Et vous ? Vous êt
çon de vous demander de danser avec
! Si ce n'e
: On
: Allo
sser votre verre, vous aurez le
st mieux que je le
tention c'est un p
ancés n'est ce pas ? All
gne presque .
N'import
re sur mon lit, et je tentai tant bien que mal de me rappeler encore et encore tout ce qui s'était passé, jusqu'à ce que je perde complètement la boule. Après avoir vidé mon verre, j'avais déjà la tête qui tour
lle tournure ; je fus tirée par la sonnerie de mon téléphone, je bondis, et je décrochais rapidement p
: Bonsoi
atrick ! Co...
quelque chose ne va pas ? P
....Je ... Je m'étais juste assou
dû écourter ma mission, je rentre plutôt que prévu, et je voudrai
: Quan
i tout à l'heure, j'ai envie de décompresser u
t ! Je lui devais quand même beaucoup, sur tous les plans d'ailleurs, je ne compte pas tout ce qu'il faisait, tout ce qu'il m'assurait au quotidien, il m'avait offert cette voiture, celle que je conduisais à cette période là ; alors je me devais de le ménager un peu et je devais lui accorder un tant soit peu assez de temps, vu qu'on ne se voyait qu'une à deux fois par mois, car il était toujo
m !!!! Tu m'as m
aussi .... M
avec ça ! Il était déjà sur moi, et me martelait la chatte de toutes ses forces, heureuseme
!!! J'aime te baiser tu le sais non ? T
ui ! oui !!! O
ait toujours mis un préservatif, sinon je crois que j'en aurai eu pour mon compte. Il venait de tirer son
ou je t'assure... Toute cette pression, le
u as bien
fois ci mon cœur fit un gros bon dans ma poitrine, mes mains se mirent encore à trembloter, quelle bête suis-je ! Avais-je pensé, j'
ck : Qu
elle me dit qu'elle va passer un peu pl
il me pénétra encore avec violence, j'émis un cri rauque et fis mine de sourire, je fis celle qui était au bord de l'extase.... Mais au fond de moi je me sentais mal, si mal, je repensai soudain à ce message, c'était lui, le fameux incon