Ma destinée
E.
PROL
se Ytu OBISS
SSY MAGHENA (lire Y
t que pour contrecarrer une mauvaise destinée ou alors pour l'embellir, il fallait se nommer soi-même. J'avais donc c
m'appellent
tration hospitalière et mariée à Raoult-Sylvain MAGHENA, 52ans, expert comptable et prés
), puis vient Iwadu (22ans), Tuli (mon seul frère) qui a 18ans et la petite dernière Mbwelili (14ans) que j'appelle affectueusement
des neveux à eux. Je vous
e à la mienne. Il travaille à la BVMAC (Bourse des valeurs mobilières de l'Afrique Centrale) représentation de Librevill
l OGANDAGA et Lawa HAMAMATA, ma
Les gens s'y arrêtent pour prendre un petit-déjeuner ou un déjeuner copieux
des tiramisus, des croissants, des muffins ainsi que des crèmes glacées. À midi et en soirée, c'est plutôt de la restauration rapide du type hamburgers et fr
et cakes. Aujourd'hui, j'ai toutes les machines qui peuvent exister et un staff constitué d'un gérant, de 2 pâtissiers, 2 barmen, 3 serveurs, 2 caissières et 2 livreurs
poche, je suis allée trouver mon père (c'est mon beau-père en fait) avec un business plan. J'avais été tellement convaincan
Pourtant il y a l
bless
ne aux deux qui me suivent. Les deux derniers qui sont pourtant les plus jeunes, ont refusé de se laisser submerg
avait eu le choix, elle m'aurait laissée au village afin qu'il y ait quelqu'un pour n prendre soin de ses vieux parent
. Elle avait déjà le ventre qui pointait, la vérité. Il l
mon géniteur parce qu'on n'avait jamais vu nulle part,
r près d'un mois à l'hôpital. Elle en était à son 6ème mois de grossesse. Mon beau-père l'avait menacé de rompre tout eng
ces de tous les produits qu'elle ingurgitait pour m'expulser de son utérus. Leur
s moments de bleus, aime à dire que je suis peut-être le fruit d'un mougoupan pro max qu'aurai
bless
suis retrouvée le lendemain dans la suite d'une résidence hôtelière toute nue, avec du sang sur les
r un de ses amis, médecin et propriétaire d'une clinique privée. Conclusion, taux d'alcoolémie élevé dans le sang, présence de stupéf
un traitement préventif de je ne sais
quitter le club avec un homme que je disais connaître. Mais lequel ? Personne ne s'en rappelait ! M
n'a pas réagi comme une
bless
de mon état. J'étais enceinte. Moi-même
la maison était devenue invivable. Ma mère qui jusqu'ici me tolérait, ne me supportait plus. Elle disait que ma seule vue la répugnait au
ravail de mon père était trop prenant. Ce qui fait qu'il ne pouvait pas me défendre sur tous les fronts. Il voyageait aussi beaucoup. J'ai fini par
'attente, à un magnifique garçon, au joli prénom de Cherish. Son mari et elle, étaient si heureux et moi aussi, j'étais
estée chez cette dernière jusqu'à mon départ pour l'étranger afin
lessures, grace à l'amour de mon père, de Tuli, de Lili, de ma tante Ava,
e Dieu fai