VAMPIRE : Photographe dans l'âme I

e vue A

re aussi intelligente et bonne actrice ! Maintenant, il ne r

au chaude. Des goutes perlent sur mon visage et

. Je mets un pyjama simple : un jogging collant et un débardeur blanc. Nous sommes en milieu septembre et le froid de l'hiver se f

t remarque qu'il n'est que 21h. Je regarde Scott, et l'aperçois entrain de dormir. Je ne pensais pas qu'il était aussi fatigué, surtout que nous devions

NON

et souffle bruyamment. Je tourne la tête vers le réveil et remarque l'heure : cinq heure. Quand

ment. Je décidais de descendre pour prendre un

ume : il n'y a rien d'intéressant alors je zappe, chaîne p

boels, qui va nous expliquer la situation. Dites

ronçais les sourcils, intri

le voir, il y'a eu un carnag

ée de son sang ! C'est un meurtre effroyable qui ne laisse personne indiffèrent ici. Tous

es circonstances du meurtre,

le prése

multiples traces dans leur cou. Évidemment, nous ne sommes pas en campagne alors ceci serait un phénomène extrêmement rare ! Ils ont tout de même un suspect humain, un homme âgé de 30 ans qui vivait à quel

a. Ceci était une présentation en direct de notre journaliste Olivier boels.

ment ? Quel est l'intérêt de tuer l'espèce humaine ? J'ai vu en sous titre et photos qu'il y avait deux filles et un garçon comme étant leurs enfant :

n du canapé. Au moins, je suis soulagée : c'est pas prêt de m'arriver, étant donnée que je suis à l'autre bout

et je n'avais plus soif

es parents se levèrent, surp

l'avance juste parce qu'on t'amène en forêt, je

énuée et angoissée par ce qu'il s'était passé, je courus

la manière la plus douce qu'il soit : je saute sur son ventre, allongée. Il se réveille en sursaut

marmotte

de vue

brutalement par ce qui me sert

MARMOTTE

tre cœur pour me préparer. Je descends ensuite déjeuner. Je m'ét

'un sweat jaune -au moins, si on la perd, on la retrouve vite- ainsi que d'un jean slim noir

ns le coffre, puis nous mê

ant que la route a

e vue A

u de musique sur mon mp3 et colle ma tête à la vitre. J

c'est à cause de la durée du trajet mais la musi

u pour rien. Je ferme les yeux, et écoute chaque parole du chanteur : je valse entre la

ières s'ouvraient, un nouv

rêt. Puis plus rien. Je m'étais assoupie. À chaque heures qui passait, je pensais à différentes choses. Je

z pas que mes chansons soie

e de son déménagement au Canada. J'étais petite quand nous avions été séparées.

s définitivement les yeux, me plongeant dans l

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