La puissance du pardon
OL
e je menais une vie paisible entourée de ma famille, mes amis
an, nous prenions l'avion direction le Cameroun, po
t.. On ne s'est pas ennuyé, j'ai pu me reposer et surtout apprendre à connaitre tant ma famille maternelle que paternelle ! Il ne nous restait qu'une semaine avant le départ que nous avons décidés de pas
courant ne passe pas avec tout le monde mais dans l'ensemble, je suis à l'aise je me sens renaitre de nouveau, loin de la ville, ses euphories et ses tracas. J
aire les ongles de pieds et des mains mais aussi à plusieurs de mes cousines et femmes e
l'attendre pour m'habiller, elle n'a pas dit pourquoi et quand j'ai voulu pourquoi elle est partie précipitamment, j'a
venir au pays, elle me l'a donné hier me disant que c'est pour le mariage quant à ma coiffure elle est ornée d'un foulard du mêm
heures pl
frères, mes parents et mon grand-père maternelle. Je n'en croi
réveiller oui oui je vais me réveiller. Dites-moi que je vais me réveiller
ama mais on fait ça
tu dis quoi pour MON bien hein ? Hahahaha
plus belle et mes larmes se mélangent à mes rires tandis que mon maquillage en subit un coup. Puis je re
garder, mon grand-père quant à lui essaye de garder
me touc
e surprise pa
tu nous remercierais ! Ta vie de femme commence aujo
MBOCK, camerounaise vivan
de mariages forcées, non jamais ! Surtout chez les Bassaa, on ne connait pas ce genre de chose dans notre village, dans nos familles maternelles comme paternel
musulman ! Plutôt me passer sur le corps. Tu nous a assez fait honte
lle l'accepte surtout avec mes frères qui voyaient notre relation d'un mauvaise œil parce qu'il est musulman et moi chrétienne. J'avais beau leur dire que je
ien ? Je demande hein depuis quand
t les yeux baissés
c'était la comédie alors ces vacances ens
Hervé, celui qui précède
ui en veut p
haha hahahahah
pour les balancer au sol, sur les murs, je criais, je pleurais ma peine. Je tentais d'arracher mes cheveux, je cherchais à sort
oi qui m'a porté non ? Stp ma mère ne me laisse pas comme ça. Ne laisse pas me marier comme une vul
débattre. Mes frères me tenaient toujours, j'étais à présent au sol. L'un me ten
is qu'est-ce que je t'ai fait ? Hein Papa j'ai fait quoi ? Comment tu peux lai
un silence très pesant. Nos regards
Maman sortez o
pitié restez avec moi ! Ne me lais
porte se referma je criais de plus belle. Ce sont les cris d'une femme, d'une jeune femme qui voit sa vie basculée, mes parents me tou
ens les forces me m
heures pl
Hosanaaa ééé
tent surement le bruis des calebasses, djembé et autres. Je sens une présence dans la pièce, mon frère Christian, assis sur une cha
ian :
:
je.. tu as besoin
:
un regard, il ne me mérite pas que je le regarde, i
.. euh.. j'appe
sens hésitant et son regard sur moi. Il o
rise de tout à l'heure, mes habits, mon maquillage et ma tenue sont
s désolée ma f
habiller et pour me maquiller, je suis donc prête j'ai compris que je ne pouvais pas fuir n
plus de 5h qu'ils sont là. "Ils" ma future be
arrivé, me dit la femme qui
qui est qui tellement qu'il y a du monde. J
e toi, mama stp ne fais pas honte à la famille, tu
dame m'a dit et là je me retrouve assis sur un trône habi
la tête baissé, les larmes veulent couler, je les sens venir je veux
e sais pas qui est qui. Je me contente de sourire, un photographe est
arde. Je ne saurais décrire ce regard.. Il a l'air sur de lui, remplit d'orguei
mon Booba, l'homme de ma vie mais qu'est-ce que je vais lui dire, qu'est ce q
ans la même euphorie que la veille rien que d'y penser j'ai envi
'épouse.. je ne sais pas parce que ça ne m'intéresse pas à chaque foi
a famille, ma belle-famille et des gens du villages sont aussi là ainsi que l'homme.. Mon grand-père a fait aussi le
tu ne m'emb
t ainsi que lui aussi, mes larmes coulent lui aussi pleure personne ne peut comprendre mais je ne lui en veut pas, mon grand
avec l'homme de ma vie. Me voilà dans l'avion du retour quasiment détru
sens pas
manque et mon esprit est troublé. J'ai peur