Léo

erçois les voix du docteur Saw et de ma mère, ainsi qu’une jeune femme à leurs côtés, une infirmière je pense. Je ressens de léger picotement dan

: Depuis combien de temps suis-je là ? Ai-je beaucoup dormi ? L’opération a-t-elle était aussi réussite que pour la jeune fille devenue à moitié loup ? Combien de tem

ienne. Je la sens trembler, elle est nerveuse. J’ouvre parcimonieusement les yeux. Mes paupières sont d’un poids affligeant, une vive douleur me traverse lorsqu’enfin, la lumière m’aveugle quelque peu. Je fixe ma mère, elle se

oir te retirer le greffon

n, je me sens bie

ssi, c’est faite opéré, pour les mêmes raisons que les tiennes, les médias se

? Mais

perdre, mon petit prince. Tu

t à dépasser ma penser, je le sens mais je n’

fait plus dur, plus franc et direct. Mon timbre de voix c’est glacé. Je me souviens qu’à cet instant, ma main a bougé. J’ai serré son

te ! Fer

it mon petit prince, tu m

mère de sang-froid, sans scrupule, sans l’once d’un remord ou d’une hésitation. Je sentais son pouls dans ma main, en relevant la tête je m’aperçus que mon membre antérieur droit lui infligé une importan

es… Tu n’es pas comme

it et debout. Sans était fini. Je la relâchai, elle tomba inanimé à mes pieds, une larme séchait déjà au coin de son œil. J’étais d

ourire méprisable. Tu viens de franchir un ca

isables. Il m’écœurait profondément. Je me dégoutais encore plus malgré tout. Je m’écroulais à mon tour, au-dessus