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MY TORRID STEPBROTHER !

Chapitre 2 I

Nombre de mots : 2235    |    Mis à jour : 15/06/2022

en

itée les révélations de ma mère, je traverse à nouve

nt ! hurle un serveur v

ps d'un homme. Je perçois soudain la fermeté d'un torse musculeux sous mes mains et sa chaleur au travers de la chemise. Après quelques secondes d'etonnement, je

is approché d'aussi p

ce qu'il

appui sur ce torse qui me

don,

continuent de m'observer intensément, mon cerveau envahi par les sensations que procurent ses doigts qu'il glisse subrep

m'a regardée avec a

ardu, et j'ai de plus en plus de mal à aligner deux pensées cohér

us ne vous êtes p

ferme qu'un roc, il veut dire

e, chaude, avec

je suis désolé

fossette apparaît sur sa joue droite,

laisir. J'aime quand de jolies

don

à ce que cet homme dégage. Ses doigts continuent de se promener sur ma peau, de haut en bas, puis de bas en haut, déclenchant des milliards d'agréables

vous offrir un verre

x, et sa technique d'ap

es, un désir mordant qui me bouscule, bien malgré moi. Je pourrais l'envoyer se faire voir,

on. D'ailleurs, je doi

ns je pourrais con

s pas l'intér

partement et de me blottir sous mon plaid, avec une tisane bien chaude, devant un bon film d'action qui me fera oublier le fu

n manque, je n

ts depuis des mois ! La dernière fois remonte à si longtemps que je ne me souviens même pas quand ni avec qui. C'est la seule raison, sinon, com

nt pour faire le point, tout en resserrant mon perfecto sur ma poitrine. Je frissonne alor

ans une bouche de métro, lorsqu'

z, mademo

rise qu'apeurée, car j'ai

ous

ire me

i, m

ouffée de désir pour cet inconnu m'enflamme tout entière. Mon corps

nce, l'inconnu de la

de nous, les gens nous contournent tout en nous ignorant. Nous sommes à Paris, tout le monde se fout de tout le monde. C'est comme être seuls au monde, dans une autre dimension, ni p

Il ne dit rien, il n'en a pas besoin, ses iris brillants, ardents, brûlants me dévoilent tout ce que j

ale, et comme s'il luttait contre lui même et son désir, ses mains sont autour de mon visage et se

it, mais c'est... Ce que je suis en train de vivre dans les bras de cet inconnu est... tout ce dont j'ai toujours rêvé sans le savoir : un pur moment d'excitation a

nt d'ég

se répondent, incontrôlables, nous enflamment : nos corps se frottent l'un contre l'autre, également incontrôlables, comme s'ils étaient mus par une vie propre, par quelque chose qui nous dépasse totalemen

i froid, mais je brule en m

nos corps s'harmonisent à merveille. Jamais je ne me suis aussi bien « imbriquée » dans le corps d'un homme. Ni n'ai éte autant soumise à mes instincts

les bras d'un inconnu, dans les bras de cet homme dont je ne sais rien, pas même le nom. Ce dont je me fous, car je ne l

hargée de désir, me fait

nt que j'ai envie de lui, mais nous sommes en pleine rue ! Il nous est impossible d'assouvir ce dé

rme es

cœur que je sens battre comme un fou, tout

ésolée. Je

t je pourrais m'en amuser, si un sentiment assez pr

i beau,

ener chez moi, ou le suivre je ne sais où. Après tout, j'ignore tout de cet homme, même s'il est super beau et me plaît infiniment. Il y a des tordus ple

, en tout cas à mille lieues du connard arrogant qu'il pourrait être avec une plastique comme la sienne. Il plo

t-il de sa belle voix rauque. Tu as senti qu'

re envoûter par s

ti. La mienne se r

ne coucherai pas avec toi ce

un sourire

, joueur, conscient comme moi qu'à moins

on pouce s

au moins t'of

is rentrer chez m

penser à un garçon et à la façon dont il m'a embrassée et serrée dans ses bras avec passion. Ce type si parfait ne peut être qu'un super coup ! L'essayer, c'est l

e n'ai pas à me justifi

iment ce qu

st ce que

urait

OK ! Mais après ? Je ne rêve pas du grand amour, enfin... pas dans

suis sûre que ça aur

mon cœur est transpercé de milliards d'aiguillons et mon corps parcouru de longs frémissements. Puis il quitte mes lèvres subitement pour ensuite me dévisager, comme pour graver mes traits dan

ot, je m'

contact se rompe. Je descends d'un pas rapide l'escalier menant au métro. Je fuis. Je fuis ce que cet homme m'inspire. Je fuis ce que je serais capable de

n bas, je

nière fois, une toute dernière fois. Mon cœur fait un ultime bond dans ma poitrine. Je me dét

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