Je vous envoie un ange
. Ils y accèdent par un escalier assez raide situé dans le fond de la grande pièce. Ils entrent dans une petite
cendent rapidement et Pierre les accueille en bas de l'escalier. « Voici deux chapeaux pour vous protéger des affres du solei
t la traversée de la grande cour vers le cabanon confirme tout l'intérêt de
rre et les
allés à l'ombre de la grande bâtisse et de ses dépendances... Un petit monde bien d
puissante odeur de mets en préparation qui émoustille les narines... Ils sont « enrôlés » pour mettre le c
i affluent. Des femmes s'affairent en cuisine tandis que des hommes installent des bancs tout autour. Les parfums qui ondulent au gré des bri
anon r
soutenu par des piliers peints à la chaux d'un blanc immaculé, et coiffé d'un toit de chaume à deux pan
s et ses cousins, une bonne dizain
éjà victuailles et bonnes bouteilles... les présentations vont b
son chat ! Les verres sont copieusement remplis par Pierre et l'ambiance monte doucement dans les déci
aggy à la suivre vers la dépendance où a été dressée la grande table. Là, l'ambiance est un peu différente. L'esprit n'est pas le même. Par nature, le Malgache est moins volubile, plus réservé qu'un « tourist
Lydie et Maggy. Certains se lèvent comme pour leur proposer une petite pl
fait l'effort de parcourir ses vingt-cinq kilomètres ce matin en compagnie de sa femme et de ses deux enfants pour ne surtout pas manquer ce repas annuel. Un début de grippe, semble-t-il. Sans hés
ur pied notre valeureux marcheur. Une dose complète l'aurait sans doute un peu trop secoué... L'usage de la chimie occidentale étant de t
xtérieur. « Allez, tout le monde dehors pour fa
ler papy face au soleil... et hop... une, deux, trois, quatre clichés
.. et papy en arr
ffrir ces quelques clichés procure un vérit
en entamées... de splendides pâtisseries locales ont trouvé leur place au beau milieu d'une vérita
nt, mais... L'arrivée du café sonne le rassemblement des braves... « Bon, c'est pas l'tout, s'égosille
st pas question de perdre son temps... Le crapahut aura bien d'
r débroussailler le passage. Trois kilomètres environ de cheminement dans la forêt en montée légère, dans des sous-bois parfois assez denses
nt son « fiévreux » s'est passablement requinqué. Le voilà debout avec d'autres collègues à se bidonner des blagues qu'ils se racontent... Ici, où l'on manque de tout ou presque, comment ne pas
guide malgache ; Pierre lui emboîte le pas, suivi du beau-frère et de ses deux enfants, d'un autre couple d'amis et enfin de Maggy et Michel. Malgré une fin de repas t
u rencontres piquantes avec les arbrisseaux épineux... Après une petite heure, le guide leur annonce l'arrivée imminente au fameux rocher belvédère. Vu la chaleur, l'air sec
ort en montée légère au milieu de la végét
il s'agit d'un énorme caillou en saillie, qui offre aux visiteurs une véritable féerie visuelle. Il est très agréable d'émerger ainsi de la ve
n, pas de tracteur, pas de tronçonneuse, pas d'usine et pas d'avion dans le ciel. Tout semble figé comme si la vie s'était so
ificence naturelle, le guide, attentif au temps