Jeune, volontaire et capable
on culturelle comme ce jeune inconnu. On cherchera à savoir son nom. Inquiet de l'influence qu'il pourrait exercer sur ses lecteurs, il hésite, décide de s'arrêter d'écrire à cause
ié, ni non plus une insistance sur un caractère personnel avec précision, mais de la perte
leur cellule humide. Actif, volontaire, le voici transformé en victime enfermée entre quatre murs. Un
bonne cause. Mais les autres ! s'effraie-t-il. Encore une fe
ques courbes. Son épanouissement, auparavant, lui avait fait adopter un mode d'existence défini dans des conditions sociales, économiques et culturelles très satisfa
uvenirs ramenés ou abandonnés dans la folie de leur départ en catastrophe du te
igures inédites et fortes. Son continent aurait bien pu être tel qu'il va le mettre en scène. Les producteurs du mobilier qu'il dessine seront enthousiasmés. Il se lève, prépare une tasse de thé qu'il parfume avec du citron ve
lourde porte, dans un vacarme typique des matons qui viennent effectuer une fouille improvisée. Toute la susceptibilité provoquée par son enfermement arbitraire le fige dans un ét
asse dans la poubelle, entre les ordures. On tourne la clef dans la serrure une dernière fois, le verrou se libère de sa niche, la porte s'ouvre. Pas de doute ce se
troisième détenu dans la cellule. Et puis, la porte retomba sur la grisaille, autour des trois compagnons, telle l'analo
a pensée au développement oral du très excité nouvel arrivant, en écoutant attentivement des explications destinées à éclairer les motifs de son incarcération, sans l'in
ouret et mange quan
passé seraient bon à entendre pour ses compagnons de galère, si le vent tournerait de nouveau à son avantage, ou alors tout était fini, terminé comme l'arrêt sans recours de son enfance, qui, prématurément sans qu'il en ait pensé lui-même à y mettre fin, tout était devenu très grave, pathétique, très important, e
forte odeur de camphre que dégageait la grosse malle porteuse d
découvrait, il fut pris de panique à l'idée de pouvoir utiliser ces lectures inédites mais continue d'écrire, et en oublie maintenant de se relire jusqu'au moment où un engourdissement agréable gli
ble qu'avec délectation, il se laisse glisser dans le bleu profond du ciel ét
e. Il est serein, son sommeil lui indique la marche à suivre, il va c
ail épargné, c'est l'histoire de ses parents qui sont deux êtres exceptionnellement amoureux, et
composé Bass Ptk à peu près depuis que j'aime composer des syllabes
il le faut. Longtemps j'ai gardé secret une absence partielle de cheveux cachés en dessous de mes dreadlocks parce que mon autre moi, au mental et au physique qui n'en comptait que la moitié, n'acceptait pas l'autre moi qui prétendait être plus réfléchi. Je ne relate les faits par une bonne rhétorique que lor
iner à quel point je suis h
l'encre verte restait toujours placée au-dessus du lot, dans la malle, en vue peut-être que celle-ci
di à recevoir ses copines pour des programmes sur le travail féminin innovant, pour des comités sur la légi
chocolat noir croquant, aux grosses noisettes bien fermes, croque deda
ur se les approprier et puis, au premier changement dans l'évolu
l'assomme. Elle adore aimer et l'a
ire. L'amour consistait alors à fondre en lui. Sans l'amour de son amoureux, où se serait-elle située ? S
riés de la classe moyenne africaine naissante, avec en prime, ce rayonnement que l'
pencer blanc sanglé à la taille, épaules carrées, le m