Les gladiatrices du XXIe siècle - Tome I
hacune d'elles. Elles ont toutes un maillot, une pièce avec bretelles croisées dans le dos pour la compète en piscine. Lorsqu'elles sortent de l'eau chacune leur tour, les corps moui
e longs cheveux raides lorsqu'elle retire son bonnet de bain, entre deux chronométrages. Elle semble mesurer un mètre soixante-sept envi
arrefour, les demoiselles se séparent et il suit la blonde jusqu'au pavillon où elle semble habiter. Il inscrit l'adresse et le nom : Portal, de sa première victime. Il a un pincement au creux du ventre lorsqu'il pense à ce qu'il e
'insinue dans son esprit et qui le fait douter du bien-fondé de son projet. Il ne doit pas penser comme un homme normal, mais comme un chef d'ent
re mais plus difficile à réaliser. Et pourtant il doit se résonner afin de pouvoir
il a prévu tous les risques qui sont liés à cette av
se parle à lui-même pour se motiver car il sait qu'ils se so
talgie. À dix-huit heures vingt-deux, il gare sa Jaguar dans le garage, ferme la porte sectorielle électrique à l'aide de la télécommande de la voiture et pénètre dans la maison. Dehors il fait froid, alors qu'à l'intérieur
pas d'alcool. Elles disent qu'elles aussi sont sorties faire des emplettes en ville afin d'acquérir un smartphone pour leur fille ; Elles sont allées dans une boutique SFR et après avoir regardé les vitrines et demandé des renseignements au vendeur, ont opté pour le SONY Xperia XZ bleu nuit à deux cent quatre-vingt-douze euros avec un abonnement d'un an. Bien qu'au lycée le portab
Marie a sorti un cahier de son sac pour noter les numéros de téléphone de ses camarades de classe dans son nouvel appareil. Elle a ainsi rentré treize noms et les informations qui vont avec. Aussitôt fait, elle appelle S
une ambiance gaie, tout en dégustant le foie gras, les huîtres de Marennes Ol
. Comme à chaque retour à la maison elle lui rapporte un petit quelque chose, un objet en souvenir. Et Charles Édouard les collectionne sur une longue étagère sur le côté droit de son lit. Elle lui parle comme s'ils s'étaient quittés la veille et elle pense qu'il ne fait pas la différence entre leurs entrevues quotidiennes lorsqu'elle et là et celles espacées de longs mois. Lui, raconte les parties endiablées où il passe des heures sans se l
d'être le centre d'intérêt de la famille, il offre à boire à ses parents, un Orangina et un Coca Cola, il n'y a pas d'alcool chez lui. L'heure tourne et il est une heure trente lorsqu'ils s
t de souffrir plus que d'autres et il prend beaucoup de plaisir à les fouetter avec une cravache de jockey. Pour ce faire, il les attache avec des chaînes ayant chacune un bracelet de cuir, jambes et bras écartés contre un mur. Écartelées ces dames endurent les coups en gémissant et quelquefois en criant tant la douleur est grande lorsque la cravache s'abat sur les seins ou les fesses rebondies. Elles ressortent de ces séances avec des zébrures sur le corps et promettent de revenir le week-end suivant.
près la nuit et l'odeur du café arabica embaume la pièce. À droite de la cuisinière se trouve sa chaise, tout près du fourneau, là où la chaleur est réconfortante, il s'installe et ouvre son journal. Maria revient dans la pièce, ils se disent bonjour et elle lui sert une