Traquée par le mensonge
llet de m
sciente de
s, de la musique, du bruit, de l'alcool, de quoi fumer
d, très chaud, je ris beaucoup et mon corps est indolore, mes jambes sont si légères, mes bras marquent le tempo de cette chans
et si indistinct pourtant ton visage est proche du mien. Je peux, je crois, sentir une de tes mains en
familiers qui m'entouraient il y a peine quelques minutes, je ne vois plus que
commence à ne plus entraîner mon corps sur sa mélodie. La c
vais pas de rai
ourent comme un fond de rue sans issue, un endroit où nul piét
e chose appuie contre mon dos, quelque chose de glacé et d'inconfortable. Je repousse tes mains mais sans s
es
s mon corps. Mes yeux sont lourds, tellement lourds, je me concentre pour garder en tête ton
en tête cette vague empreinte
ment précis je n'en ai plus la capacité. Pourtant cette main se tient tout près de moi, je peux sentir tes doigts derrière mon oreille qui tirent mes cheveux et sur ton pouce, qui touche ma lèvre, une odeur de cigarette. Donc tu
ux, que j'arrive à frôler parfois avec une de mes joues, ne sont pas raides mais frisés et le seul rayon de lampadaire qui se pose sur toi me montre la blondeur moche de tes cheveux crépus. T
ner mais je ne saurais
pas t'oublier. Je ne saurais expliquer avec certitude ce que tu m'as fait, ni comment tu as réussi à
lequel tu m'avais allongée sans pitié. Je ne sais pas combien de temps a duré ton jeu malsain,
-là, qu'est-ce qui t'avait fait croire que j'étai
re comme si un poids s'était retiré de sur mon corps... je ne te vois
as-tu
nser ces mots que mes
rtie de mon corps, ou peut-être encore les rires de fin de so
i ne me couvre plus ma poitrine et ma jupe qui est mal mise. En touchant de mes doigts, je sens ma culotte qui ne cache plus mon intimité.
re, je n'ai pas la force de les chercher, juste l'envie de marcher du plus vite q
sonne, ses parents dorment, je suppos
être et je me revois penser que cette épreuve fera partie du reste de ma v
r qui flottait encore sur mes habits, je voulais au co
st en train de rire ou de se sentir coupable ? Se souvient-il de ce qu'il vient de me faire ou l'ivresse de l'alcool a eu
inie, et je me demandais à p
s décrivaient peut-être ce qu'il projetait de me faire, le fait que je n'aie pas repoussé cet
arlais pas, je réussirais peut-
taire et ce soir de 14 ju
était passé. Tu étais bien réel car ce soir-là sur mes doigts qui écrasaien
ne pouvais me résoudre à faire d
ans l'attente d'un orage et pourtant, en un battement