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Amour Accidentel.

Chapitre 5 Confus

Nombre de mots : 2936    |    Mis à jour : 16/05/2022

lui, une sorte de dilemme qu'il ne pouvait plus y penser mais comment ne pas penser à une chose à la quelle ta tête et ton cerveau te demande de penser ? Cette nuit là, Zed fit

toi et tu verra jusqu'où va ma loyauté en tant qu'amie et petite amie. Zed : désolé, malheureusement j'ai quelqu'un d'autre dans ma vie et je te l'avais déjà dit n'est-ce pas ? Laury : moi je n'y tiens compte. Moi je te veux toi Au même moment où ils étaient entrain de parler, de l'autre côté, Blessing se préparait pour aller chez Zed et lui dire qu'elle ne trouve pas le bisou qu'ils avaient échangés à l'anniversaire de sa soeur Glady, insignifiant. Elle était en route, bien motivée et prête à dire ce que ce bisous avait suscité en elle. Elle se dit qu'il n'était pas important qu'elle appelle Zed car cet appel pourrait anéantir sa motivation d'y aller. Elle décida ainsi de ne pas prévenir Zed de sa venue. Elle était plus motivée et plus déterminée que jamais. En taxi, ce n'était que 10min de chez elle jusqu'à chez Zed, donc elle prit le taxi pour y aller mais en y arrivant. Elle fut surpris de voir Laury chez Zed. Elle l'avait reconnu de loin par ses habits. "Elle s'assoit même ? Mais que fait elle chez Zed comme ça à 11h ? Y a-t-il un problème chez elle ? Bon, pas besoin de me poser trop des questions ainsi, je saurais en m'approchant d'eux" dit Blessing. Petit à petit, pas après pas, elle s'approchait d'eux et eux ne l'avaient pas remarqué, ils ne la remarquèrent qu'à quelques 8 mètres et lui dirent "bienvenue" et comme pour blaguer avec Laury, elle dit : "Il n'y avait plus d'eau chez toi pour venir lessiver chez Zed ?" Comme pour attirer l'attention de Blessing sur les habits, Laury répondit : "Si seulement c'était mes habits" Alors Blessing regarda de près et trouva que c'est vrai ce ne sont pas les habits de Laury mais ceux de Zed. Alors Blessing fit tout son possible pour se maitriser et ne pas montrer publiquement son mécontentement mais Zed lisait ce mécontentement sur son visage, dans sa façon de parler à Laury ou de répondre. Alors Blessing vu que ce n'était pas de ses forces de rester là, elle leur dit : "Je suis venu te saluer Zed et je pensais que je pensais que hé passerais par après chez Laury lui saluer elle aussi mais Dieu merci, je vous trouver au même endroit et au même moment, donc ça me fait gagner du temps et de la distance à parcourir. Maintenant là, je m'en vais" Zed : laisse moi te raccompagner un peu Blessing : pas la peine Zed, je connais la sortie. Ne te fatigue pas. Reste avec Laury entrain de lui tenir compagnie pour qu'elle lessive bien pour toi. Zed : non. J'insiste. Laisse moi te raccompagner au moins jusqu'à ton taxi. Blessing : Okey. Comme tu veux. Alors après avoir beaucoup, beaucoup insisté, Zed l'accompagna à la sortie et Blessing ne dit rien, tellement qu'elle était fâchée mais ne voulait pas le montrer. Alors Zed senti ce silence dangereux et il se mit à dire la phrase que la plupart d'hommes disent quand ils sont soit trouvés main dans la sauce soit quand ils se soucient beaucoup de la conclusion que l'autre risque de tirer. Zed : ce n'est pas ce que tu pense. Écoute je vais t'expliquer,... Blessing : moi penser ? Penser à quoi ? Je ne pense à rien. Toi tu pense que je pense à quoi ? Qu'est-ce qui n'est pas ce que je pense ? Tu lis maintenant dans les pensées des gens ? Zed : je sais que tu te fais des idées sur la façon dont tu as rencontré Laury lessiver mes habits. Moi-même je n'étais pas au courant qu'elle lessivait mes habits. Blessing : Et bah, bien joué pour elle. Elle a su franchir tes limites. N'est-ce pas toi qui disais à nous tous tes amis que tu ne laisse jamais quelqu'un d'autre à part que toi et ta mère bien-sûr, lessiver pour toi ? Zed : oui, bien-sûr et c'est toujours le cas, c'est seulement que... Blessing : seulement que quoi ?? Arrête de mentir aux gens. Aujourd'hui j'ai vu Laury de me propres yeux entrain de lessiver pour toi et toi tu étais là, ce n'est pas que je rêvais. Zed : celui-ci c'est un cas exceptionnel. Blessing : donc Laury est exceptionnel c'est ça ? Zed : non je n'ai pas dit que Laury est exceptionnel mais c'est la situation qui est exceptionnelle. Le fait qu'elle puisse lessiver pour moi ne signifie rien. Blessing : pour toi, actuellement, plus rien ne signifie rien. Même notre bisous ne signifie rien. Tu te fous de nous là ? Zed : bah non, moi je n'avais pas dit que notre bisous ne signifiait rien pour moi, c'est toi qui avait commencé à dire ça. Blessing : Laissons ici les affaires de bisous, maintenant là nous parlons d'autre chose. Tu disais souvent à part ta mère et toi, personne d'autre ne touhe tes habits, n'est-ce pas ? Zed : si. C'est exactement ça. Blessing : alors parmi les deux, qui est Laury dans tout ça. Je ne trouve Laury nulle part. Est-elle ta mère ou elle est toi ? A plus elle vient lessiver pour toi à la présence de ta mère car j'ai remarqué que ta mère était dans la cuisine. Alors Blessing fit signe au taxi de s'arrêter pour monter en bord. Zed dit : "C'est sûr que tu ne comprend pas la situation mais tu comprendra que je t'expliquerais en détail. Je viendrai te voir" Blessing : pas la p

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