M'AIMES TU VRAIMENT ?

ans. Ma vie allait bien jusqu'au jour où mes pa

rien , je n'entendais plus rien. Dans ma tête , tout était vide. Qu'est-ce que j'allais devenir ? Nous voilà dans les problèmes. Un accident

re que je connaisse. Nous étions tous assis au salon quand mon oncle Rodrigue et mon oncle joseph rentrent dans la cour avec les cercueils contenant le corps de mes parents. Les corps

este là un peu avec eux. Si tu as quelque c

és avaient donné. Elle s'était poser directement devant la table des enveloppes pour ne pas perd

avec l'argent ? Dépose

e je te gifle devan

ncle qui n'avait qu'une seule envi

e veut mettre la honte sur nous

n comme une gamine de 3 ans. Mes larmes coulent mais pas de caresses de la part de papa pour les sécher. Son corps était froid, pas de geste tendre comme dans son habitude, pas de bisous. Je ne voulais pas le croire cette maman et ce papa si câlins qui n'avaient que des bisous pour nous, ne vont même pas ouvrir les yeux pour me r

iane tu fai

laisse l'argent au sol avec la porte grande o

aînant par les cheveux. Ce petit moment d'interruption m'importait peu car je ne voulais que mes parents. J'avais tellement pleurer que j'avais perdu ma voix. Vers 13h , la porte s'ouvre à nouveau et je comprend que c'était la dernièr

peu à peu dans ces deux grands trous. Je ne sais pas ce qui m'a prise et je voulais les arrêter mais mon oncle Rodrigue me l'empêche et me dit calme toi. Comment vais-j

mauvaise et maudite journée. Dans la nuit , je n'a

e mes oncles et de ma grand-mère Amandine qui me donnen

frère et toi. Je n'ai pas ouvert les envelopp

. Mais tu n'as pas e

de m'en occuper. C'est à toi de savoir où les gar

nt mettre ses ces sandales

e je vais gar

t. Toi, vas déposer l'argent dans ta chambre puis tu vas d

ais cette chambre po

ts avec l'aide de ma grand-mère. Je commence à sortir les habits de mon père et de ma mère pour les laver. Cela avait pris un peu de t

ée au marché acheter des condiments pour la cuisine. De retour à la maison, je remarque que ma

sh

plus t

ê et du poisson non loin de la maison. Du haut de mes 18 ans,

a grand-mère et mon petit frère. Comme dans la coutume après la mort du fils aîné, ses biens revenaient à ses frères et ses enfants. Et à pr

après je me suis retrouvée à vendre du Attièkê pour pouvoir payer l'écolage de mon petit frère. Après avoir compté l'arg

'était joint à moi ainsi qu'un jeune homme du quartier. Eux aussi vendaient de la nourriture p

oliciers qui venaient boire du café chez lui. Les policiers nous avaient surnommé les deux vendeuse

éphane était le seul, celui qui possède une petite voiture. Si quelqu'un tombe malade la nuit, c'est avec sa voiture qu'on l'amène à l'hôpi

to n'était pas facile car sur le chemin qui menait au CNHU, ils ont eu un accident grave et malheureusement l'enfant est décédé. Il y avait un chauffeur de taxi

dé de vendre sa petite voiture pour se trouver un studio loin de chez nous. Quelques hommes du

marché. Vers 13 heures, je me réveille et je vais prendre une douche. Je cour faire le marché. À mon retour, je vois Sonia qui était entrain de s'amouracher avec le fils du voisin et je fais comme si je ne les ai pas. Sonia est ma cousine, e

e toi mais tu es passée sans prévenir Soni

e me mêler de votre vie donc je me tiens l

tement que papa les surprenne pour nous voler

us voler qu

e que tu fais encore dans cette maison. Tu attends que mon père meu

e maison appartient à tout les monde.

ine remplie de poisson et d'Attiékê pour tout renverser au sol. J'ai attr