Si je savais.
venirs d'enfance. J'ai compris bien trop vite que le monde était dominé par trois choses. L'argent, le pouvoi
ui utilisent cette phrase sont tous idiots ou certainement riche. Certes l'arge
j'étais un crève la faim. On se moquait de moi, tout le monde me regardait avec cet air de pitié e
ui se trouvait dans la ville de Cotonou. Je revenais des cours et je trouvais m
ir Bella, t
n n'est pas enco
it être encor
e travail, c'était un italien, il lui avait promis ciels et merveilles à ma mère. Elle était naïve et c'était laissée avoir par lui. Sans crier gare, mon très cher père re
comme elle était tombée enceinte très jeune. Ma mère avait pr
rien. Mis à part un petit bout de pain. Je ne pouvais pas aller demander à Kemal (le boutiquier du quartier) de me faire un crédit, on lui devait déjà plus de 30mil depuis déjà deux mois
se plaignait pas de notre situation. Elle était déjà habituée au ca
lle me racontait sa journée à l'école quand soudain quel
Oui re
l'aider. Il n'était pas très riche mais il réussissait à nous tr
nsoir les
nsoir ton
e a été transférée de
t ce qui c'
t une voiture la renversée. Va vi
issai Bella chez notre voisine M. Yolande. On arriva au CNHU
uoi personne ne
de place donc aide moi, on va l'
d on arriva des infirmières amenèrent maman dans une de leurs chambres. Tonton John et moi, attendion
e : Bonsoir
: Bon
vance pour les soins que nous devons prod
n :
ne pouvons pas no
Commen
tant qu'une avance considérable ne sera pas verse
par vous-même co
olée monsieur mais
: Mai
ne veux pas me répéter. Soit vous a
abattu. Elle ramena maman dans un brancard et
ison chercher mes économies
tais pas considéré. Je gardai cette haine qui commença à grandir en moi comme un manguier en saison de pluie. Je pris m
: Cha
rant): Hu
homme ne p
ant mes la
i me donne l'envie de vivre. Je regrets de ne pas avoir longtemps appris à l'école. De vous faire subir cette misère. Charms tu
aman...
mon nom parte partout. Ne suis pas les femmes.
me laisse
17ans et j'avais l'impression de porter tout le poids du monde sur ma tête. Ma mèr
ais choix, toute mon malheur d'aujourd'hui avait été causé par une fe
ttre l'irréparable. J'ai été seul maitre de ma ch
les et j'ai accepté tout ce qu'il me demandait en échangeant. Je ne savais pas qui il était mais i
ivre