Le Mystère en Moi
ais plus de bonnes relations avec ma mère, j'avais pris mes distances. C'était devenu pire qu'avant.
s appeler ma meilleure amie allait revenir pour l
vivre en ville et d'écouter les histoires qui se passait là-bas. Je pourrai enfin me vider l'esprit, avoir une oreille atte
compte le courant passait bien. Notre complicité était mal perçue par les gens du village donc on se voyait loin des regards indiscrets. Je ne voulais pas avoir d'e
nte juste dans quelques jou
de ne pas passer beaucou
urd'hui, je ne savais pas si je devais aller chez elle ou l'attendre à
s croisé sur le chemi
..........
: Sal
utomatiquement
m'as telle
eu de la route, les gens nous r
également be
-tu ? Dit-elle en
ntis-je pour également me c
pas changé hein, tu es
suis toujours là
je m'en sors
Alhamd
ué hein, je pensais
n'as pas d'autre
ce sarcasme et comme
u village, il ne se
as raiso
Pas
de marcher vers une
emment Oumou s'
très jeu
ue selon les normes de notre société, nous so
mme si, tu enc
juste que cette mentalité que nous av
uoi tu ne t'es to
s-moi plutôt comment elle étai
ns l'apparence, l'événement avait marqué le
n'ai pas pu assister au maria
! elle a
Et po
tes ! T'ai
s'il te plaît dis-
: Hu
S'il te
voulu qu'elle continue soi-disant qu'il pourra
t'as pas eu un fiancé
ou quoi ? Qui v
is pas ça je con
ait me sentir étrange. Je connaissais ces genres d'expressions. Le complexe que j'avais enfui au plus profo
ter des sottises. Dis-je pou
te dis que la vérité
: Hu
is maintenant la couleur et le plat préférés de son amoureux. Mais à la fin elle me disait que ce n'était rien de concret, qu'elle ne l'aimait pas vraiment, que ce n'était pas réciproque. Selon elle, ell
eux d'aller voir Is
: Is
Tu ne savais pas q
on, du
is bien comment il était devenu. Rouguy continuait de me
......
Salam
Issa, et nous étions direc
nts, comment allez-vou
va Tanti
Dieu ça va. Rouguy tu
ir Tanti, est ce
es enfants, vous avez tellement grandi. Dit-elle avec une pointe
ressentais encore ce vide, encore plus quand je venais dans cette m
am nènè (
u as de l
est-ce vraiment Issa ? Il arborait un sourire idiot qui faisait découvrir la blancheur de ses dents, c'est bien lui
! C'est
ndi hein popopopopopo ! Tu es devenu be
e une femme, faudrait qu'on com
n grando, sinon tu vieil
le moment. Dit
ongtemps, au fond
au bon vieux temps. T
lors que moi, j'avais l'impressio
y : O
d'un coup j'avais eu ce sentiment que
Salut
t pas appare
t toi ? et le voyag
vas me traiter comme un étranger ? Tu te com
. non, ce n
as, tu as toujours gardé
as un peu changé que tu vas nous boucher les or
espect "ok" ? je te signale que même si j
'y a pas moyens qu'on l'oublie, tu nous le r
Sinon allons sous le grand baobab près d
et mo
tellement à fond qu'ils ne se rendirent pas compte de mon absence. C'était là que je réalisai que malgré qu'on eût grandi ensemble on était si différent et la vie ne nous avait pas souri de la même manière. La vie les avait offerts un large sourire, à mon
n, à la malchance que j'avais d'être née tout simplement, ça faisait déjà
tis de mes pensées, j'avais essayé de
uy.... Non
eyant près de moi) c'est comm
uguy ? dis-je en rega
le a dû
ns me pr
er, tu as l'air taciturn
ien pou
gnes du groupe
tais exclus et étrangère
: Dé
n'est p
nie des inconnus, mais je ne pouvais pas lui dire ce
situation dans ta famil
Oui va
urquoi tu me mens ? Ça saute aux yeux
ssa pas un mot de plus
as beau essayé de cacher tes bleus et blessures, ils restent visibles, tu as beau sourire, tu ne peux pas me berner, (il passe sa main sur son visage et sou
de plus, tout ce que tu me dis là c'est du pur mensonge com
rai m'avait blessé, j'avais honte du fait que tout c
chaque fois que j'avais l'occasion j'appelais le numéro de ton père il me criait dessus mais néanmoins je persistais, alors ne dis pa
uoi ? m
e m'étonne pas mais ma mèr
l développe en moi, un sentiment de révolte. Maya, tu sais que tu peux te con
que tu sais déjà. Et puis
oup changer. Dit-il e
tard je dois y aller. D
je te r
Non c'
'attendrai dem
me cacher des choses ? elle savait très bien que je n'avais pas beaucoup d'amis et que je chérissais ceux que j'avais. Je ne la cachais rien mais elle, elle prenait un malin plaisir à tout camoufler, j'étais perdue. Est-elle vraiment ma mère ? J'avais des doutes. La confiance que j'avais en elle se cons
..: Ou étai
ais arrivée à la maison que quan
Au gra
er m'abriter dans ma cham
: Vie
prochai
e si je te tuais je n'aurai pas la paix. Je n'ai pas envie de beaucoup parler ni de me fatiguer. Dieu a bénit ta sœur Asma par la na
:
bre. Je n'étais plus autant excitée à l'idée d'aller en ville. Je