Le Mystère en Moi
ins étaient déjà mariées, d'autres en aventure à l'étranger, bon no
re le maximum de cours. Pour une villageoise comme moi j'étais assez cultivée, selon moi bien sûr. Mes amies (Rougui et Ou
n français grâce aux visiteurs étrangers, et cela faisait de moi la favorite quand il s'agissait de faire le choix du guide. Je connaissais quelques phrases en anglai
mortelle, mes mains étaient crasseuses et pleines de coupures dus à l'ampleur du travail. Je m'habillais en lambeaux, mes jupes é
nvoyait de l'argent chaque mois à tout le monde mais ma mère
lui demander pourquoi, pourquoi elle ne réagissait jamais, pourquoi elle ne se révoltait pas. Je me donnais des réponses ou je lui trouvais des excuses en me disant que c'était peut-être ainsi qu'une bonne femme devait se comporter, elle ne devait jamais protester, to
...
re, peut-être pour m'empêcher de les empoisonner. Elle avait cette habitude de se caller derrière la porte, une seconde d
ma mère et moi qu'
t-ce que tu cuisine ?
Sauce patte d'arac
coute pas, Soumaya ma fille, vas le chercher, demande-lui de
*Tante* Je sers le r
mmissionne tu discutes, j
Mais T
commissionne, tu dois abandonner tout ce que tu es en tr
ais pas. Elle ne supportait pas de me voir tranquille, en paix une seconde. Qu'avais-je fait au ciel. J'a
e demande, bouge-toi
pidement de son l
dans la chambre des gens sauvageonn
t'ai déjà nettoyé le derrière donc ne prends pas des ai
n dans ma chambre comme si c'étaient tes toilettes. Les films que tu regardes ne t'ont donc rien appris sur l'espace privée. N
urs ? Et puis quoi encore fa
sang, je partis de sa chambre et pris un tabouret en passant. Arrivée dans
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