Mon destin
J'ai un peu paressé avant de finir par me lever. Je vois maman qui dort encore à points fermés. Je me met alors à vaquer aux taches ménagères. Dehors le vent souffle très fort, les g
comme le disent souvent les sages. Il paraît que l'année est souvent fructueuse lorsqu'il pleut ainsi. Deux heures de te
onjour
( me regardant de la tête au pieds ) on dirait
toujours, je suis très excitée et j
faire ton petit déjeu
s quelqu'un lui faire du mal. Elle est revenue une demie heure plus tard avec un plateau en mains qui contient des ome
n le collège qui n'est qu'à une trentaine de minutes de marche de notre maison. S'il faut attendre que cette pluie s'arrête nous n'irions nulle part. On peut voir des piétons comme nous, des zemidjans (no
t la saison pluvieuse. Nous sommes enfin arrivées au collège. Pendant que certains élèves jubilent ( les anciens surtout
venus et ont fait leurs présentations, tout s'est bien passé et nous sommes rentrées. En voulant franchir
galère comme d'autres, on va bientôt sortir de c
t ? Elle me cherche celle là depuis qu'elle sort ave
ais mieux de la fermer au li
lorgnant ) qui se sent morveux se mouche, c'est ton problèm
s il faut que tu me cherches Kadi que t'ai-je fait pour r
s quoi tu n'es qu'une pauvre fille comme
J'ai trop supporté leur méchanceté, aujourd'hui je ne vais pas me laisser faire, elle a osé insulté ma mère. Je sens un violent coup au dos, c'est Maina sa mère qui m'a frappé à coup de balai mais je n'en ai cure
tirant ) :
arre qu'elles s'en prennent à nous sniff elle est allée jusqu'à t'insulter, je ne peux le
hambre): Lou allons nous en, nous
pas encore fini avec toi, ce n'est que part
mains et nous a traitées de poltronnes. J'ai voulu répliquer mais après avoir lu l'expression qui s'
comptable au Gabon et Lilou la benjamine 3 ans à la maternelle . Je suis d'origine béninoise et vis à Cotonou l'une des belles villes du Bénin. J'ai connu une