Liaisons dangereuses
mme si rien ne s'était passé. Elle n'a pas changé de comportement envers moi, e
'est bien indiqué. Elle sourit de nouveau et se retourne. - Viens, ferme la porte derrière toi. Je m'exécute et la suis. Je ne peux faire autrement que de garder mon regard collé à son petit cul bien rebondi serré dans cette belle robe. Elle a les jambes nues et une paire de talons, bien sûr assortie à la robe. Après quelques pas dans un couloir, on arrive dans la pièce principale. - Voilà, mets-toi à l'aise et serre toi un verre si tu veux, me dit-elle en m'indiquant un minibar ; je crois que vous vous connaissez, n'est-ce pas ? Je tourne la tête vers le canapé, et qu'elle n'est pas ma surprise d'y voir assis Julien ! Me voyant, il se lève avec un grand sourire et vient vers moi, alors que Jenny reprend le chemin du couloir. Il me serre la main, suivi d'une franche accolade : - Alors Flo, comment ça va depuis la dernière fois ? - Bah bien merci, et toi ? - Super bien !! Tu veux boire un truc ? - Oui merci, une bière ira très bien. Il se dirige vers le minibar, attrape une bière, la décapsule et me la tend. - Je suis un peu étonné de te voir ici après ton discours de l'autre jour, dis-je en attrapant la bouteille, je croyais que tu ne voulais plus entendre parler d'elle ; Il lève les mains en l'air en s'exclamant : - Oui, je sais, je suis coupable, je suis un homme faible, que veux-tu !! Je souris. - Elle t'a fait replonger alors ? - Eh oui, et c'est un peu grâce à toi ! Apparemment, t'as assuré l'autre fois, elle a beaucoup aimé ta performance, me lance-t-il avec un petit clin d'œil ; - Et bien je suis content que ça lui ait plu, mais ça a quoi à voir avec toi ? - Ben suite à ça, elle m'a appelé et bon, tu connais Jenny, elle m'a bien gueulé dessus en me disant que j'étais con et inconscient de t'avoir filé toutes ces documents, puis ensuite, elle s'est calmée et m'a avoué qu'au final, elle a beaucoup aimé, ça ne lui était jamais arrivé d'être un peu prise au dépourvu comme ça ; - Oui, j'ai bien senti qu'au début elle était un peu perturbée, mais elle s'est bien vite adaptée, dis-je en souriant et en m'asseyant sur le canapé. Julien m'imite en continuant : - Du coup, quand elle m'a dit qu'elle voulait te faire venir ce soir, ça m'a décidé à accepter de revenir ; - T'es sûr qu'il n'y a que ma venue qui t'a décidé à replonger ? Lui demandai-je l'air quelque peu soupçonneux ; - Ah ah, non bien sûr, me dit-il en me lançant à nouveau un clin d'œil ; - Bon, donc ce soir, quoi de prévu ? - Tu verras, tu ne devrais pas être déçu, me dit-il avec un grand sourire. Sur ces mots, le bruit des talons de Jenny se fait entendre et elle apparaît dans le salon, toujours vêtue de sa belle robe rouge. - Alors, ça va les gars, vous êtes à l'aise ? Nous demande-t-elle en se dirigeant vers nous. Nous acquiesçons tous deux, puis elle attrape la bière dans ma main et en boit une grande gorgée avant de la poser sur la table basse. - Tant mieux ! Elle se met ensuite face à moi et s'agenouille entre mes jambes. Avec un petit sourire gourmand, elle déboutonne rapidement mon pantalon et va chercher ma queue dans mon boxer. Alors qu'elle commence à me sucer, je m'efforce de descendre mon pantalon et mon boxer jusqu'à mes pieds. A peine ai-je fini que ma bite a déjà bien durci sous ses coups de langue bien placés. Pendant qu'elle continue à me sucer, elle lançe sa main vers Julien, qui se rapproche un peu de moi pour lui permettre de poser la main sur son sexe à travers son pantalon. Elle le caresse comme ça quelques instants avant que Julien ne prenne l'initiative de sortir sa queue. La vache, elle est d'une belle taille, bien plus grosse et épaisse que la mienne, la petite main de Jenny en fait difficilement le tour ; et si je suis circoncis, ce n'est pas le cas de Julien, son gland bien gonflé et déjà humide bondit de son prépuce à chaque mouvement que fait Jenny. Elle se décale alors entre nous deux et, tout en continuant à me branler, elle se met à sucer Julien. Sa grosse bite a bien du mal à se frayer un chemin dans sa petite bouche, elle arrive péniblement à y mettre à peine plus de la moitié avant de commencer à avoir un haut-le-cœur. Elle le suce comme ça un moment, c'est très excitant de la voir déguster une autre queue avec délectation, elle y met beaucoup d'attention, chacun des gestes de ses lèvres, sa langue, sa bouche ou ses doigts ont un but précis et servent son plaisir ainsi que, bien sûr, celui qui a la chance d'être le propriétaire de la bite en question. Julien est complètement ailleurs, la tête en arrière et les yeux à demi-fermés, il déguste ce moment en lançant de petits gémissements à chaque coup de langue sur sa queue, tout en passant sa main délicatement dans les cheveux de Jenny. Puis elle revient à ma bite, la suçant avec plus d'entrain cette fois tout en caressant les couilles de Julien. Il se penche légèrement pour aller caresser les fesses de Jenny, à travers sa robe au départ, puis en passant sa main dessous. - Regardez-moi ça, s'exclame Julien, Mademoiselle n'a pas estimé nécessaire de mettre de sous-vêtements !! Alors qu'il commence à la doigter, Jenny se met à gémir, ma queue toujours dans sa bouche. Julien s'écarte de moi pour la faire grimper sur le canapé. Toujours à genoux en train de me sucer, Jenny se cambre bien et Julien vient relever sa robe avant de commencer à lui lécher la chatte. Elle se met à gémir de plaisir en me suçant plus rapidement. D'une de mes mains, j'écarte ses cheveux pour pouvoir la regarder s'occuper de ma queue, et de l'autre, je passe sous sa robe pour lui caresser les seins. Sentant cela, elle redresse son buste et enlève les bretelles de sa robe pour libérer ses seins et me faciliter la tâche. Je lui caresse et agrippe ses seins l'un après l'autre, en allant lui pincer les tétons ; cela, combiné aux caresses de Julien la fait de plus en plus gémir. Julien se redresse en mettant une belle gifle sur les fesses de Jenny puis prend en main son sexe bien tendu et commence à la pénétrer lentement. Elle se met à gémir un peu plus fort en sentant la queue épaisse de Julien écarter sa chatte, ma bite, toujours dans sa bouche, qui étouffe ses complaintes. Au fur et à mesure de la pénétration, elle me suce toujours plus fougueusement,