Je vendais du sperme
ra définitivement de mon père. Il avait cassé sa pipe dans
transport urbain. Notre situation de vie avait légèrement changé. Nous pas
vait promis nous venir en aide pour nous permettre de traverser ce moment douloureux nous avait lâché d'un coup. Pas même un
ue nous avions était de rentrer au village. Mes parents étaient tous deux originaires de Pouma. Une commune du Cameroun située dans la région du littoral
e papa m'avait alors donné l'occasion de découvrir
sommes installés. J'avais jusqu'alors, abandonné mes amies Patricia et A
des taxi. J'allais juste vivre comme tout le monde. J'allais juste ê
ler au champs. Sauter en longueur de journée sur les arbres et creuser des pa
rter des choses sur la tête et se balader. Je ne voulais plus être sale quand il pleut. Je n'arrivais plus à me tenir sur mes pieds quand je voyais une connaissance. J'avais d
tate que tu es rentré t
au manque de luminosité. Je n'ava
s'en aller lorsque timid
n'y suis
'étendre vers l'interrupteur qu'elle ap
? Es-tu souffrante ? Q
uiétant pour mon état, elle s'approch
st ce qu'il y'a ? Q
retournée
us vendre. Je souffre assez comme ça. Je rentre
elle m'aurait déjà administré une claque digne d'un
rents riches. Des parents qui ont de quoi mettre leurs enfants à l'abri du besoin. Qu'est-ce que moi j'ai ? Ton père est mort. Le se
sommes déjà
st pas bien. J'ai mal quand j'entends ma premiè
r aussi une activité qui nous mettrait à l'abri du besoin. Regarde la mère de Papou. Elle travaille et est même véhicul
route de sa chambre. J'avais constaté bien après mon erreur et ce que j'avais dit de ma
e. Je n'aurais pas dû le dire. C'est juste que... Elle
doit être le premier rempart d'une femme. Je n'avais pas reçu ces conseils avant de me marier. Ton père était un homme très ambitieux. Je n'avais pas pensé un seul instant que je pouvais aussi trouver un travail. Jusqu'a
. Je te promets de travailler pour t'aider plus que jama
é et je m'étais juré de ne jam
vet d'étude du premier cycle, j'avais décidé d'arrêter l'école et de me forge
allons nous battre pour que tu ailles loin avec l
s comme toi maman. Pour
une formation pratique. Je veux apprendre
ne grande coiffeuse au marché. T
avais que 17 ans? C'était coûteux. Avec mes économies et l'appui de ma mère,
d'avoir un homme pour moi. L'aimer et me sentir aimer. Je voulais être comme mes copines au salon de coiffure qui ne cessaient
on de me flatter. Pompiste à la station total, il se débrouillait dans cette
boulot qui avait été catégorique : « ce gars ne t'aime pas. Un homme qui t'aime te trouve toujours attirante et a toujours envie de toi ». Elle avait surem
nnel. Un amour guidé par la canne dans ma culotte. Ce genre d'amour finit toujours et de la mauvaise des manières. Je v
uiv