SAVOIR RENAÎTRE APRÈS LA CHUTE

es larmes ma bell

enter de leurs convaincre, Sara m’a dit que ma famille m’a renié et qu’il fallait que je

ciée à son père, "J'ai pensé à ne pas l'utiliser" "J'ai pensé à simplement utilise

u’importe ce donc tu auras choisir on va te soutenir merci à Sara soit sage, et je pouvais sentir que ça le rendrait un

mais je ne disais rien à personne sauf à Sara qui n’avait mis en contact avec toute ma

e mon mari ne me toucher plus, il m’a demandé pardon, mais il sait que je vais réussir et ma béni. On peut parler de tout et

étaient très proches. À tel point que, quand j'étais plus jeune, je trouvai

une phase vra

n ils vont chercher à la nuire : J’avais écrit une lettre qu’ils avaient lu,

let

n prison, même la menace ni pense-même pas, j’ai laissé toute tes femmes même la plupart de tes enfants me maltraiter sous tes yeux , prend-toi à moi, je sais que tu ne m’avais plus jamais tou

les études et aider ma famille, mais si tu arrêt

ité d’enfant, et moi je vais te

nce je les ai envoyés une lettre de tout ce q

amie de Sara qui avait mis la lettre à

in, de la gare de Pa

J'avais mal, je hurlais, je lui disais 'non là ça me fait trop mal je ne peux pas' il me forçait. (...) Il me disait 'si

de rien n’étais, je n'arrêterai pas d’en parler. À tous ceux qui me diront que je suis ridicul

même pas leur dire que c'est une mauvaise personne.

de ce mariage, j’étais spectatrice à ce jeux mal

n ne vas m'ob

nt. Ils m'ont vraiment bien analysé pour me choisir à faire ç

comment y vivre, je le sais, mais je compose

s, mais je ne souhaiterais plus voir ses monstres. Si vous me retrouvez ne me remmener plus-bas, "Tu

son pour l’instant je ne souha

payer ses dettes familiales, on est

ais, c'est que je t'aime inconditionnellement papa j’espère que o

e pas pouvoir vous embrasser... C'est tellement ringard pour une famille de se battre publiqueme

du pleure de m’avoir sacrifié... Et pourtant, ta loyauté e

avais mentir à tout le monde que tu nous l’avais fait, au départ j’étais en colore contre toi, de cette vente, ce que papa m'avait fait, j’arrivais pas oublier ce geste, mais petit à petit quand mon cœur l’ai pardonner, tout était revenue, cette menace de cet homme devant mon père qui c’était retrouver petit même à genoux, ma mère avec le chapelait p

t honnêtement insensé pour moi, cet esprit me demandait de pardon pour avancer, et j’avai

moi et les heures que j'ai consacrées pendant ces an

leur a fallu des années pour me donner une tasse de café... Les person

ue je le ferai

t dans ses profondeurs qu'on tro

fondre sous ses dents comme

agneaux deviennent des lions... La vi

es rêves, c'est là que

e m