SAVOIR RENAÎTRE APRÈS LA CHUTE

re, toujours triste, sa mère ne voulait pas qu’elle fasse pareil comme elle, même son propre père voulait pas un avenir pour sa seule fille, les traditions son père ne voulait plus y faire, il disait

emme comme rien, pour coucher faire des enfants, elle n’a pas droit à sa liberté de réussite, on la décapiter pour un inventer un mensonge d’i

ient compris leurs erreurs trop tard, l’un d’eux avait dit quand il était monte sur elle, elle criait et il y avait du sang, mais dans l’action, ils n’ont pas voulu l’écouter, ils ont fait

marié de force, tuer etc…. Il y a beaucoup de travailler à faire pour libérer les vois, et que les

nsions, les fléchissements que, depuis tant d'années, lui avait ajoutés la souffrance. Comme au temps lointain où ses parents lui avaient choisi un époux comme à moi, elle avait les traits d

de porte avec lourdeur, je n’avais pas ressentir ça, c’était le premier cadavre que j’allais vivre et accompagner. Un souri

sa grand-mère, elle avait eu le temps de lui parler ; elle tenait tellement à lui dire au revoir, sa grand-mère lui avait demandé

es côtes, les yeux de l’homme sont dans l’obscurité et son cœur dans de l’e

ient jamais les paroles comme ce qui devrait te dé

ils auront les pouvoirs éphémères, la victoire aussi, craint Dieu mais pas l’homme, ce que

ut Dieu te l’accordera et après

os sur ce petit corps on pouvait le compte. Je ne me sentais

is je n’avais pas la force avec tou

été tuées depuis la nuit des temps (...)une femme meurt tous les trois jours sous les coups de son conjoint. J'ai c

nt souvent du mal, à g

à l’intérieur et vous tuer à petit feu, on vous fait épouser un homme que vous ne voulez pas qui va vous

ucie de la haine des hommes, dit-toi qu’ils se battent avec lui qu’ils ne voient pas et qu’ils ne

ée à lui, c’est la coutume, sinon elle aura des problèmes, ses deux filles, elle les avait amener et épouse un homme d’affaire blanc e ses filles continue les études, elle m’avait bien expliquer pourquoi elle ne pouvait pas m’amener et j’avais comp

is su ce que je sais aujourd’hui, j

n enfant commence à aimer celui qui le toucher sans l’aimer, ce n’est pas un amour adulte mais l’amour d’un enfant, et j'

de moi ; elle avait une fille de mon âgée, quand on me punissait et m’accusait, e

te fouette tu ne survivrait pas, donc c’est pour cela que le ménage et elles ont toute acceptées, c’est pas eux toutes dans le monde qui sont comme ça, il y a dans d’autres foyer elles s’ententes toutes, aucune querelles mais t

de l’épouse, j’aime être la seconde femme, on partager tout, on est un peu âgées, moi je sui

esclavage, on pense une fille vierge va amener un hom

ays jouait dans l’insouciance, qui ne pouvait p

r les visages des gens ces bonheurs qu’ils montrent au monde entier est parfois faux et sonnerait tellement mal,

non, on a étouffée ta vie, tes projets on pense

i quand t’elles et notre mari te grondent, basse la tête mais que leurs paroles ne leurs

lus son pou, on chercherait à le redonner une seconde vie en cherchant à le sauver, nos erreurs impacter parfois la vie des autres, et c

e sais que tu vas réussir, sois patiente, chaque douleur va te rendre plus forte, je viendrais te ch

ure qu’ils vont chercher à me récupère qu’il fallait que j’attente une à deux semaines, heureusement elle n’avait payé l’hôtel au nom d’un de ses amies, pour qu’ils arrêtent de me chercher là-bas, et Sara allait là-bas comme si de rien n’était. J'ava

grâce à Sara, même remplir son ventre comme on dit il y a toujours quelqu’un que Di

emportez dans le bon chemin de la r